La pluie. La pluie battante. Une averse offrant sa mélodie, lourde, implacable, s’écrasant sur le sol et le noyant sous une couche de froid inévitable. Les gouttes filantes, à peine nées qu’elles s’éclatent dans les flaques, opérant une chorégraphie millimétrée. La pluie appelle la pluie, et le Passager Noir se réveille, il ordonne, il convainc, il me contrôle. Nous avons faim, lui comme moi, nous avons attendu plusieurs semaines, tout devait être parfait. Et ce soir, le vent souffle, il nous murmure que le moment fatidique arrive, que l’heure approche. Et nous sommes prêts, tout est paré, il ne manque plus que notre envie avide m’enraidit, ce besoin parcourait chacun de mes sens avec plus de férocité à chaque heure, depuis trois jours. Je restais là , sans agir, sans bouger malgré cette soif intarissable, il fallait encore attendre. Le rire de cet être qui habite mon corps, cette personne que je suis, mais qui n’est pas moi, il sait. Comme moi, il patiente, c’est mon passager, ma part sombre, et il me dit d’être calme. Toute cette attente, sans elle, le rituel n’aurait pas de saveur, tout devait être parfait. Les corbeaux croassent dans un chant sinistre, s’échauffant la voix avant de sonner le glas, avant d’entamer le requiem. Eux aussi le savent, c’est La nuit. Cette nuit n’est pas comme les autres. Ils sont prêts. Prêts à accueillir l’âme qu’ils aideront à passer, l’âme que je leur envoie. La pleine lune se cache derrière les nuages, elle détourne le regard. Elle déclenche chez les hommes plus qu’elle ne peut se permettre de voir. Fermer les yeux, plutôt que de voir les conséquences. Je ne suis pas comme elle, moi, je regarde, j’épie et je guette… je Passager se tait, c’est pour bientôt, le calme avant la tempête. L’averse continue, sa complainte n’est pas encore finie. Mes veines se gonflent, mon pouls s’accélère, je reste placide, les ténèbres sont mon royaume. Je suis moi à présent, aucun masque de tromperie, seulement moi et ce besoin tranchant. Il rit de nouveau, il voit à travers mes yeux et il savoure le spectacle. Bientôt, il sera bientôt assouvit et sa voix disparaîtra, il ne parlera plus, jusqu’à ce que le besoin revienne, et il reviendra. Il n’est pas tard, mais la nuit est présente, et quand le jour prend sa place, il fait aussi sombre. Le fil du temps n’emprunte pas la même direction, ici. Les cours de rattrapage de l’instituteur Menard finissent à vingt-deux heures. David Menard, un homme bon, son travail est exemplaire et il n’hésite pas à prendre sur son temps privé pour aider ses élèves. Il fait tout pour eux, pour leur réussite, il les aime. Un homme bon, vraiment, une personne qui porte le masque du conseiller, du confident, le masque de l’homme bon. Personne ne le sait, ou personne n’ose le dire, et moi, moi je me tais, j’attends. Une lumière, elle s’insinue difficilement entre les gouttes de pluie pour parvenir jusqu’à moi le premier signal. La porte grinçante en bois massif s’ouvre, je parviens à l’entende d’ici. Deux personnes passent sous le porche, l’instituteur Menard, ainsi qu’une fillette de dix ans. Il ne lui à rien fait, non, absolument rien, les enfants sont sa passion, il ne franchira pas la limite autorisée. Cela fait dix années qu’il cherche à se racheter, une décennie qu’il est honnête. Les personnes changent-elles vraiment, ont-elles le droit au pardon, à une seconde chance ? Non, pas quand elles n’ont pas payé, pas quand ça devient trop facile d’oublier pour repartir de zéro. Cette chance, Menard ne la mérite pas, par sa faute, certains n’y ont pas eut le rire devient de plus en plus perçant, je ne pouvais plus l’ignorer, c’était l’heure. Tout était parfait. La fillette serrait son instituteur dans ses bras, quelle chance elle avait de l’avoir, il partait de la maison. Menard dépliait son parapluie, il avait son vaisseau non loin, juste là , à vingt mètres, il s’empressait de le rejoindre. Il est maintenant à bord, il va pouvoir partir et se reposer, son travail a été dur, mais bien geste vif et précis, j’ai placé la lame tranchante de mon couteau contre sa gorge. Il eut un sursaut d’étonnement, mais comprit bien vite qu’il devait rester calme. Du sang coulait déjà légèrement, quelque chose qu’il aurait été facile d’éviter en usant d’un autre outil. J’avais l’embarra du choix, mon Single Action Army, un fil de pêche très résistant, mais non, je voulais ce couteau, il me voulait. Placé derrière Menard, j’entendais son souffle saccadé, perturbé, je le tenais enfin. Il resta muet, sachant que c’était encore le mieux à faire. Savait-il pourquoi je faisais irruption dans sa vie ? J’en doute, en dix années, on en oublie des choses. Bonsoir, Docteur Menard, ? Je ne suis pas docteur !-Oh non, bien sûr, dis-je, plus depuis dix ans, je me trompe ? » Il ne disait rien, avalait une gorgée, et son visage s’est transformé en une grimace de douleur lorsque sa gorge racla ma lame. Menard allait m’obéir, cela ne faisait aucun doute, il avait bien trop peur pour se rebeller. S’il avait sans doute pensé à un vol dans les premier temps, le simple fait de l’appeler docteur lui remit les idées en place. Le passager noir, lui, il riait aux éclats, se délectait avec joie de cette scène, ce n’était pas évident de le contenter. Menard avait eu de la chance, il était en tête de ma liste avant que je ne tombe sur Everett Shepard, qui m’a terriblement déçu. Tuer un homme, ainsi, sans avoir tout préparé au préalable, me mettant en danger inutilement… Le vingtième rattraperait l’honneur, des semaines d’attente qui récompenseront cette patience indéfectible. Allez jusqu’à la colline du couchant, ordonnais-je. - Mais pourq- - La colline, maintenant. »Il alluma le moteur qui ne couvrait même pas le bruit de la pluie. Vraiment, en matière de silence, la Shin-Ra savait y faire dans la confection de leurs produits. À cette heure, personne ne sortait, il y avait trop à faire en journée avec la Coalition Noire, le repos était essentiel. Je ne dors jamais beaucoup, j’ai su m’adapter à ma vie, la journée, employée modèle, dans la norme des soldats, mais parfois, la nuit, le passager se montre impatient. C’était lui qui nous conduisait, j’étais autant un spectateur que l’était Menard, à la différence près que je savais ce qui allait se produire et sommes tous les trois arrivés, rien à l’horizon ne nous regardait, sauf peut-être deux corbeaux curieux. Tournez-vous vers la portière, dis-je calmement, et restez assis. » C’est ce qu’il fit, bien entendu, pourquoi en serait-il autrement. Je lui attrapais un poignet, y attachait la première boucle d’une paire de menottes, puis l’autre. Sortez, lui chuchotais-je à l’oreille. » La portière s’ouvrit laissant une vague de froid pénétrer le véhicule. J’allais le suivre lorsque que le rire se transforma en un grommellement étrange, j’oubliais quelque chose. J’attrapais le parapluie et le gloussement rauque revint, c’était visiblement ça. J’ouvrais le parapluie et je sommais à Menard de se tenir près de moi, à quelques centimètres à peine. Nous avançâmes assez rapidement, le plus important ne se trouvait pas ici. Trois minutes plus tard, il y avait un homme qui titubait, un clochard, mais qui n’en restait pas moins un témoin. Je me suis collée à Menard, de cette façon, ainsi qu’avec la pluie et le manque de luminosité, nous apparaissions comme deux simples amants lors d’une ballade amoureuse. Le clochard ne pouvait pas voir les menottes dans le dos de Menard et je lui passais l’envie de les montrer en posant la pointe de mon couteau contre son dos. La chance, j’avais eu de la chance, oui, grâce au passager qui plus que tout, aurait refusé de laisser partir le terrasse du couchant se dévoila sous nos yeux, timide, enveloppée d’une nappe de brume, elle en aurait vu des horreurs, elle ne laisse pas tout le monde pénétrer sur ses terres et agir impunément. J’ai découvert l’un des secrets qu’elle cachait jalousement, ce n’avait pas été facile, même très difficile pour tout dire. Elle et Menard, une belle bande de cachotiers, mais tôt ou tard, la vérité remonte à la surface, ce qui finira par m’arriver, à moi aussi. Pas aujourd’hui, nous avons encore de belles années devant nous, avant cette inéluctable chute. Par là , lui dis-je en montrant du doigt un D’accord, bafouilla-t-il avec effort. »Nous sommes entrés, j’ai refermé le parapluie et j’ai attrapé le bras de Menard. Il n’y avait plus une seconde à perdre, je le tirais en avant en prenant un pas forcé vers l’endroit que j’ai mis du temps à trouver. De nombreux mètres nous séparaient encore de la destination, le souffle de Menard s’accentua, percutant vivement les parois humides du tunnel créant un écho, tel un murmure d’effroi. Mon passager répondit avec un rire de plus en plus perçant à mes oreilles, j’étais la seule à pouvoir le y voilà , un cul de sac avec au fond, une masse et une pelle. Je détachais prudemment les bracelets de Menard et lui faisais signe d’aller prendre la mase. Il se massait les poignets encore rougis au contact des menottes et se dirigeait vers l’outil indiqué. Je me tenais à cinq mètres de lui et observait avec attention. Qu’est-ce que je dois faire avec ça ?- Vous cassez les dalles, répondis-je, là où il y a des croix. »Il avala sa salive avec amertume, ce que je lui demandais de faire lui glaçait le sang. C’était pleinement voulu, cela faisait bien trop longtemps qu’il ne s’était pas regardé dans un miroir, une glace qui reflète une image juste de la personne qu’il est. Il s’attela à la tâche forcée de démolir les dalles. Menard n’y mettait pas tout son cœur, il y allait lentement, espérant que quelque chose l’oblige à s’arrêter. Rien ne vînt, seulement l’écho des coups de masse et moi, qui le regardions toujours. Après deux minutes de martellement intensif, il changea d’appui, mais continua à frapper de la même façon. L’idiot, s’il pensait que je n’allais pas comprendre ce qu’il voulait… De cette façon, il perdait une force considérable à moins de frapper autre chose. Il commença à pivoter, mais quand sa tête se tourna vers moi, j’avais déjà mon SAA braqué sur lui, avec sa tête en ligne de mire. Je doute que ce soit très judicieux docteur, lançais-je, prenez la pelle. »Il soupirait, plus en réalisant sa bêtise qu’autre chose. Vraiment parfait tout ça, j’avais tout prévu, même sa tentative de rébellion. Même sans mon pistolet, à mains nues, je l’aurais mis en échec, mais je ne voulais pas l’abîmer. Cela aurait été d’une tristesse déplaisante, mais tout se passait à merveille. Menard prit la pelle et se mit à enlever la terre qui était sous les dalles brisées. Il fut obligé de creuser pendant dix longues minutes avant que la pelle n’heurte quelque chose. Le docteur fut pris de terribles tremblements, il essuyait maladroitement son front avant de tomber en arrière. Son réflexe à été de ramper en arrière jusqu’à ce trouver contre le mur, il savait ce qui se trouvait là . Des enfants, n’est-ce pas ? Dis-je avec une voix Ce.. Ce n’était… J’y étais obligé !- Pas à moi, je ne suis pas un idiot, épargnez-moi ces conneries, dis-je avec dégoût. »J’étais maintenant certaine de sa culpabilité, il venait d’avouer. J’ai longuement hésité avant que je le soupçonne, mais je le tenais. Le travail administratif est formidable, il permet souvent de trouver la pièce manquante d’un puzzle compliqué. Je ne me rappelle pas comment je suis tombée sur les registre de la démographie vieille de dix ans de la cité du crépuscule, mais j’ai été captivée. Pas moi de cinquante morts d’enfants en trois mois, j’ai d’abord cru qu’il ne s’agissait là que du résultat de l’épidémie qui avait été déclarée. Mais tout de même, cinquante, il y a de quoi être curieuse. Ce qui m’a le plus mis la puce à l’oreille n’est autre que le vaccin qui a été découvert exactement à la même époque, d’où le fait que les décès ont chutés. Dans ce cas, pourquoi la disparition de ces chers et adorables enfants a continué une bonne semaine ? Les mérites du vaccin avaient été vantés, un remède miracle, agissant sans effet secondaire et sans attente. Très tiré par les cheveux pour que j’y trouve là une raison quelconque à des meurtres. Sauf quand j’ai remarqué une chose, dix enfants dont la cause de la mort avait été déclarée comme étant celle du virus n’ont pas été retrouvés. Suspect, la cause de la mort sans le moindre élément pour le prouver. J’ai cherché un peu plus loin, il m’aura fallu cinq jours pour voir un point récurant chez les dix disparus, le même docteur, à savoir Menard. Jouons franc jeu, pourquoi s’en prendre à des enfants ?- L’épidémie était vorace, répondit-il sans chercher à se protéger, plus elle progressait et pire c’était. Les enfants s’en retrouvaient paralysés à vie, mais ça commençait par petite étape. Les premiers symptômes n’étaient que des doigts difficiles à plier, un peu comme une sclérose. Après avoir vu trois enfants mourir sous mes yeux car ils n’étaient même plus capable de se nourrir, avec ou sans aide, c’en était trop. Je n’ai pas fais ça de gaieté de cœur, vous savez… - Pourtant, il y avait un vaccin, mais je ne le savais pas encore, ce jour là , j’en ai soulagé dix qui commençaient à montrer des symptômes, ce n’est que le lendemain que j’ai reçu le remède… »Soulagé, il aurait attendu un jour, ils l’auraient vraiment étés… Quand on sait que la maladie mettait deux semaines à tuer après les premiers stigmates, il aurait pu attendre. Dans toute cette affaire, le moins aisé avait été de trouver où les corps avaient été dissimulés. C’est à cette époque que le tunnel avait été arrangé, dalles, tout avait été mis en bon état par de longs et fastidieux travaux. J’avais rendu une visite à l’appartement de Menard, après avoir étudié ses faits et gestes. Aussi étrange que cela puisse paraitre, il avait laissé des traces derrière lui, délibérément. Un simple schéma de l’architecture du tunnel avec des endroits précis notés d’une croix. J’ai vérifié en creusant et j’ai tout remis en place. Vous regrettez ? Dis-je en simulant la Bien sûr ! Qu’es-ce que vous croyez ? Je ne suis pas un monstre !- Moi, si. »Il tourna la tête vers moi lorsqu’il comprit ce que je m’apprêtais à faire, mais trop tard, il était trop tard pour lui. Une injection de tranquillisant s’est infiltrée dans sa nuque, le plongeant dans un profond sommeil, c’était la dernière fois qu’il s’endormait, la toute dernière fois. Lorsque je tue un homme tel que Menard, j’aime que ce soit parfait, jusqu’à la présentation du corps inanimé. Il allait devenir une œuvre d’art, j’avais le temps nécessaire à le faire contentieusement, il méritait une belle mort, après tout, il aimait les enfants, lui aussi. J’ai allongé le corps droit comme un I. J’ai vérifié son pouls, il se faisait de moins en moins présent. Il avait la chance de périr d’une overdose sans aucune douleur. J’ai déterré les restes de corps enfantins, pour les placer côte à côte, cinq à gauche de Menard, cinq à droite. Tous étaient placés de la même façon. La personne qui découvrirait ça, alerterait les forces de l’ordre. Tout le monde trouver vite le lien entre cet ancien docteur et dix enfants portés disparus. Ils se tenaient la main, comme un groupe d’ami, personne ne trouvera cette image belle, mais moi si. Elle offrait un paradoxe, de jeunes et purs enfants, salis par la terre, méconnaissables, des parties de corps en moi. Au centre, un assassin à l’âme torturée pourtant à l’apparence si propre, délicate. J’ai coupé une mèche de cheveux à Menard pour finaliser, j’avais mon trophée, suis partie en ayant attrapé le parapluie. Quand je suis sortie, plus la moindre pluie, le vent avait cessé et les corbeaux étaient absents. Même le passage ne riait plus, sa faim était passée, j’étais seule. J’ai laissé le vaisseau de Menard où il était, je n’avais rien laissé de compromettant, j’avais porté des gants toute la soirée. Finalement, n’ayant pas besoin de parapluie, je l’ai laissé par terre, juste là . Le clochard que j’avais vu plus tôt se dirigeait vers moi, sans m’apercevoir. Il aura de quoi s’abriter de la prochaine pluie, mais dans le fond, ça m’était bien égal.
A mon avis, lorsque l'on est confronté à des choix, que ce soit en acte ou en pensée, gardons à l'esprit que nous sommes mortels. Et tâchons de vivre de manière à ce que personne n'ait à se réjouir de notre mort. » JONH STEINBECK « Peut etre donnons nous tout le meilleur de nous meme à ceux qui de leurs coté ne nous accorde que rarement une Autres designs que vous aimeriez certainementpar TypologiePaperCo10,25 €par posterQté votre œuvre !À partir de 24,00 €Ajoutez au panier pour voir les cadresJesuis le maître de mon destin, Je suis le capitaine de mon âme. William Ernest Henley; Encouragement > Poème publié et mis à jour le: 02 novembre 2019. Search for: Citation du Jour. Quand l'amour est profond et vrai, il nous donne le courage de tout affronter, de tout braver? Eva Sénécal . Poèmes Similaires. Lire les autres
Invictus signifie invincible. Ce poème a été écrit par William Ernest Henley suite à l’amputation de son pied. Il symbolise la résistance, la résilience face à l’adversité. Il fut l’une des sources d’inspiration de Nelson Mandela, enfermé pendant 27 ans à la prison de Robben Island. Chacune de ses lignes montre ce qu’il y a de meilleur dans l’homme confronté à ce qu’il y a de pire dans l’accomplissement de sa destinée. Dans les ténèbres qui m’enserrent, Noires comme un puits où l’on se noie, Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient, Pour mon âme invincible et fière. Dans de cruelles circonstances, Je n’ai ni gémi ni pleuré, Meurtri par cette existence, Je suis debout bien que blessé. En ce lieu de colère et de pleurs, Se profile l’ombre de la mort, Je ne sais ce que me réserve le sort, Mais je suis et je resterai sans peur. Aussi étroit soit le chemin, Nombreux les châtiments infâmes, Je suis le maître de mon destin, Je suis le capitaine de mon âme. Le texte original pour les anglophones Out of the night that covers me, Black as the pit from pole to pole, I thank whatever gods may be For my unconquerable soul. In the fell clutch of circumstance I have not winced nor cried aloud. Under the bludgeonings of chance My head is bloody, but unbowed. Beyond this place of wrath and tears Looms but the Horror of the shade, And yet the menace of the years Finds and shall find me unafraid. It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll, I am the master of my fate, I am the captain of my soul.
Jesuis le capitaine de mon âme, le maître de mon destin Mxorgane. Description : Moo' :) Monter a cheval est un avant-gout du Paradis ! L'équitation; il n'y a que sa de vrai x$ Ici je veux fixer mon éternel demeure, et soustraire au joug d’adverses étoiles cette chaire lasse du monde. Mes yeux un dernier regard, Mes bras un dernier baiser, vos lèvres portes de l’âmeViens rejoindre AXA, la première société d'assurances de Suisse, en qualité de Pour notre Agence Principale d'Echallens, nous recherchons une personnalité de meneur, un entrepreneur dans l'âme et celui qui saura être le capitaine d'une équipe à es un leader, tu sais mener tes équipes à la réussite ; par ailleurs tu connais également l'ensemble des aspects d'une petite entreprise, allant de la vente à la comptabilité, ainsi que les recrutements et l'administration générale. 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En tant que leader suisse de l'assurance, nous proposons aux personnes pleines d'ambition des opportunités de carrière intéressantes assorties d'une grande liberté d'action. Envoie ton dossier dès maintenant! Pour toute question concernant ce poste, José Rozas, Agent Général à Yverdon, se tient volontiers à ta disposition par email à l'adresse suivante des raisons administratives et de protection des données, seules les candidatures effectuées par le lien de candidature en ligne seront prises en compte. 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11déc. 2018 - La réplique « Je suis le maitre de mon destin, le capitaine de mon âme. » de la série « Les frères Scott ». Note : 9.3/10 avec 1175 votes.
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