Luc21 : 19. 19 par votre persévérance vous sauverez vos âmes. Jean 3 : 15-21. 15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. 16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Lire la suite.
Publié le 27/04/2014 à 0729 C'était un sacré bonhomme, le Père franciscain Marie-Antoine de Lavaur 1825-1907. Plus d'1,80 m, calot vissé sur la tête, barbe en longues mèches emmêlées, il porte la croix comme une épée, au côté d'une vieille bure qui lui bat les mollets. Envoyé sans un sou à Toulouse, dans le quartier de la Côte pavée de bonnes intentions, il parviendra à y édifier en 1861 un couvent de capucins. Natif d'une famille très religieuse de Lavaur, Léon Clergue de son nom de baptême déploie un tel charisme qu'on lui attribue des miracles un chou qui monte à plus de 2 mètres de hauteur dans le jardin d'un pauvre ouvrier et lui apporte la prospérité, la conversion d'un alcoolique au chevet de sa femme mourante, des enfants aux couples sans descendance. La légende est en route. Devenir saint n'est pas une mince affaire De son vivant, Père Marie-Antoine était considéré par la population toulousaine comme un saint, mais cent ans après sa mort à l'âge de 82 ans, au terme d'une vie combattante pour les pauvres et les religieux, il ne fait toujours pas partie des bienheureux» de la région. Il a bien fallu 500 ans à Jeanne d'Arc pour y parvenir», tempère la Toulousaine Jacqueline Baylé, à la tête de l'association pour la mémoire du Père Marie-Antoine*. En 2008, une lettre à Rome de l'archevêque de Toulouse, Mgr Le Gall, et les initiatives de l'association forte de 550 membres à travers le monde ont relancé un procès en béatification endormi depuis des décennies. C'est que devenir saint n'est pas une mince affaire et que le XXe siècle avait précipité le père Marie-Antoine dans l'oubli ! ll semble que les Capucins, dont les rangs se clairsemaient, aient eu d'autres préoccupations. Il soutient Bernadette Les papes Jean XXIII et Jean-Paul II dont la messe de canonisation est célébrée ce dimanche à Saint-Pierre de Rome ont, quant à eux, pris la voie rapide de la sainteté. Parmi les critères donnant droit à cette glorification, figurent les miracles accomplis après la mort. Deux guérisons au moins, survenues dans les années 30 et 50, renforcent le dossier du curé toulousain, ainsi qu'une réputation continue de sainteté» qui le suit depuis un siècle. C'est notamment le cas à Lourdes, où un buste le représentant vient d'être installé. Des pèlerins y déposent leur chapelet. Le père Marie-Antoine était venu soutenir Bernadette Soubirous, qui affrontait l'incrédulité en racontant les apparitions de la Vierge ! Il organisa aussi des processions dans la cité mariale. Ecrivain prolifique, missionnaire actif dans tout le sud de la France, le père Marie-Antoine de Lavaur va connaître à la fin de sa vie les persécutions qui ont chassé les religieux vers l'Espagne, à la veille de la séparation de l'état et de l'église de 1905. Resté seul dans son couvent de la Côte pavée, Il s'est opposé aux décrets en disant Tuez-moi mais je ne partirai pas !», raconte Jacqueline Baylé qui honore le personnage à travers les publications des éditions du Pech*. Sorte d'Abbé Pierre avant l'heure, pour qui les pauvres ont toutes les excuses», le père Marie-Antoine a été suivi par plus de 50 000 personnes lors de ses obsèques à Toulouse, en février 1907. Des photos en témoignent. Mais dans la course à la canonisation, il pourrait être doublé par le père d'origine ariégeoise Maurice Garrigou 1766-1852, fondateur de la congrégation des sœurs de la compassion, à Toulouse, à deux pas du Capitole. Encore un saint homme ! * Un buste du Père Marie-Antoine de Lavaur par le sculpteur toulousain Sébastien Langloÿs a été installé à Lourdes, où le père Marie-Antoine avait soutenu Bernadette Soubirous.SaintsRow : le reboot veut être le roi de la customisation outrancière, la preuve en images et en vidéos Deep Silver poursuit la campagne promotionnelle de Saints Row avec, cette fois-ci, des
Jésusnous attend dans ce sacrement de l’amour. Ne refusons pas le temps pour aller Le rencontrer dans l’adoration, dans la contemplation pleine de foi et ouverte à réparer les fautes graves et les délits du monde. Que ne cesse jamais notre adoration. » (Bx Jean Paul II) La Basilique du Sacré-Cœur est vouée à l’Adoration perpétuelle du Saint-Sacrement En effet
Dimanche, tard dans la soirée, après une nouvelle journée épuisante, dans la nuit froide de Jérusalem, devait avoir lieu la rencontre historique entre le Pape et le patriarche Athénagoras, accueilli à la grille de la délégation apostolique par trois cardinaux, tandis que le Pape l’attendait sur le perron. Le Pape et le Patriarche se donnèrent une accolade fraternelle sur le seuil de la porte, au-dessus de laquelle est gravée l'inscription Domus Dei et porta coeli. Ensuite devait se dérouler un tête-à -tête d'environ cinq minutes. Après les événements religieux des deux jours précédents, chacun espérait l'effusion de la grâce de l'Esprit sur l'entretien des deux chefs d'Église, humbles pèlerins des Lieux Saints, suivant les pas du Christ, unique Médiateur et tête invisible de l' furent introduites les deux suites du Pape et du Patriarche. Et, devant cette assemblée, lecture fut donnée, en grec et en latin, du chapitre 17 de l’Evangile de saint Jean, rapportant la prière du Christ à la veille de sa Passion qu'ils soient un. Tous, ensuite, récitèrent ensemble le Pater. Je suis prêt à aller à Rome, m’avait dit le patriarche Athénagoras, le 6 août 1959. Le Pape est le premier évêque de l'Église du Christ, il est dans l'ordre que le deuxième voie le premier, à condition qu'à la main tendue répondent des bras ouverts. » Quelle parole, me suis-je dit alors, et quel patriarche, dans le passé, parla jamais ainsi ? Oui, poursuivit le patriarche Athénagoras, nous vivons une ère cosmogonique, un monde nouveau naît. Malheur aux chefs des Églises s'ils ne voient pas les signes des temps. »Athénagoras resta attentif aux signes que furent le pontificat de Jean XXIII, le Concile, le pèlerinage de Paul VI, sans oublier la rencontre panorthodoxe de Rhodes et le développement du Conseil œcuménique des rencontre désirée se réalise aujourd’hui. Elle n'a pas lieu à Rome, mais à Jérusalem, pour signifier que l'unité sera non l'absorption d’une Église par une autre, mais un retour au Christ, dont la présence est ici plus sensible que partout qui se proclame tête et mère de toutes les Églises, en vertu de la primauté de Pierre, vient vénérer l’antique Église de Jérusalem, que les catéchismes orthodoxes appellent également mère de toutes les Églises. Jérusalem l'est, en vérité, et elle eut longtemps Pierre pour chef, avec le Collège des matin, le Pape devait rendre sa visite au patriarche Athénagoras selon le même cérémonial. Il sera accueilli par trois métropolites à l’entrée de la résidence du patriarche Benedictos au mont des Oliviers, tandis qu'Athénagoras l'attendra à la événements constituent l’aboutissement de la volonté tenace du patriarche Athénagoras, qui sut convaincre et rallier toutes les Églises orthodoxes, et trouva chez Paul VI la vénération et l'estime des Églises orientales plus grande que jamais dans le passé. La rencontre Rome-Constantinople est un rappel de la communion qui exista dans le passé et se renouvelle dans le présent par la prière et la charité. Les témoins de l'événement ont senti le passage de vérité, une ère nouvelle a commencé. Jérusalem en fut le théâtre, pour bien montrer que la fidélité au Christ est source de tous biens, et que seule une parfaite obéissance à l’Evangile amènera la consommation de l'Unité.
Lourdes le passage des saints : là où les saints passent, dieu passe avec eux aux éditions Ontau. Les pèlerins de Lourdes vivent, dans l'Eglise, une grâce, sous le regard de Marie, conscients d'être portés par la prière de la communauté qui est là , présente,
On ne s’attend pas à entendre de "bonnes nouvelles" le jour d’un enterrement. On se sent plutôt pris dans le collimateur des mauvaises nouvelles. Et pourtant, l’espérance chrétienne transmet des messages forts, emplis d’amour et de réconfort. Un diacre de Bourgogne les décrypte pour vie éternelle, la communion des saints, la prière et les sacrements, sont des dons que le Christ nous a faits, et qui nous laissent espérer que la vie ne s’arrête pas avec la mort. Le jour de notre baptême, le Christ nous a ouvert les portes de la Résurrection. Nous sommes donc déjà , aussi vivants sommes-nous, dans la vie éternelle. Cet état de fait entraîne de vraies bonnes nouvelles ».L’espérance de notre propre résurrectionUn enterrement nous renvoie à deux réalités qui pourraient nous attrister celle de la mort d’un être cher, et celle de notre propre mort. Cependant, la mort ne devrait pas nous rendre triste. Elle est un passage vers un au-delà de la mort qui est la vie éternelle. Le Christ nous a promis la vie éternelle, en d’autres termes, nous allons ressusciter. Saint Jean le rappelle dans sa Première Lettre Telle est la promesse que lui-même nous a faite la vie éternelle. » 2-25.Lire aussi Martin Steffens L’assurance de la vie éternelle est un don absolu »Une autre bonne nouvelle est qu’en réalité, notre vie éternelle a déjà commencé ici-bas, le jour de notre baptême. Elle a commencé, et la mort n’y mettra pas fin. La mort provoque un changement d’état, mais pas un changement d’être. De la même manière, il y a un changement d’état pour un nourrisson qui passe de l’état in utero à l’état ex utero au moment de l’accouchement, mais il n’y a pas de changement d’être, c’est bien la même personne qui était dans le ventre de sa mère et qui en est sortie. Nous sommes donc déjà dans la vie éternelle et il y a une continuité après la mort. Nous ne savons pas dans quel état, mais nous savons que nous serons en communion d’amour avec le communion des saintsLa mort d’un proche est une souffrance, car elle est une séparation. Les liens semblent à tout jamais rompus. Mais, étant donné que nous sommes déjà dans la vie éternelle, nous sommes dans la même vie que ceux qui nous ont précédés. Dans la foi, nous entrons dans une nouvelle relation avec nos défunts une communion spirituelle portée par la prière et l’espérance de les retrouver un jour. C’est ce qu’on appelle la communion des saints, par le Christ et par Marie. Et ensemble, nous avançons vers la plénitude des temps. Ce n’est pas parce qu’on est au Ciel qu’on ne fait rien, on continue d’ aussi Comment prier le chapelet pour les âmes du purgatoire ?La communion des saints se traduit par des prières réciproques les vivants prient pour les défunts, notamment pour les âmes du purgatoire et les défunts viennent en aide aux vivants. Sainte Thérèse de Lisieux disait Je passerai mon Ciel à faire du bien sur la terre ». Nous sommes aidés par tous ceux qui sont déjà auprès de Dieu, les saints, qui intercèdent pour en présence de DieuAutre conséquence de cette vie éternelle qui a déjà commencé et que nous partageons avec le Christ nous pouvons vivre en présence de Dieu, alors même que nous sommes sur terre. Ceci est rendu possible grâce à la prière et aux sacrements. À nous, donc, de rendre le Christ présent dans nos vies. Rappelons-nous que Quand deux ou trois sont réunis en son nom, Il est là , au milieu d’eux. » Matthieu 18, 20.
Dieun’attend pas des chrétiens qu’ils soient insipides, ni qu’ils soient pour le monde des rabat-joie insensibles et tristes. Au contraire. Le passage de saint Matthieu qui vient d’être proclamé et que Xavier a choisi fait suite immédiatement au célèbre énoncé des huit béatitudes. Heureux ! Heureux ! Heureux ! Huit fois ! CChaque15 juillet, on célèbre la fête de Donald en l'honneur de Saint-Donald. Dans le calendrier des saints bretons, en date du 15 juillet, nous fêtons : St Riwal. Aujourd'hui 15 juillet, c'est la fête de Saint-Donald, le patron des familles nombreuses. La prière à Saint-Bonaventure soulagera les maladies des intestins.
p9jSG.