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On connaĂźt plus largement le terme d'empathie dont chacun peut faire preuve, mais ĂȘtre empathe c'est avoir un niveau supĂ©rieur d'empathie par rapport Ă  la JUIN 2016 Lecture min. L'empathie est un des ingrĂ©dients fondamentaux des relations humaines et de la communication. On parle d'empathie quand la personne arrive Ă  se projeter dans la situation de l'autre, celle-ci fait alors l'expĂ©rience d'une rĂ©ponse Ă©motionnelle face Ă  l'Ă©motion d'autrui. Qu'est-ce qui diffĂ©rencie alors l'empathie d'un empathe ? Et comment reconnaĂźtre un empathe ? De l'empathie... L'empathie se dĂ©finit comme "la facultĂ© intuitive de se mettre Ă  la place d'autrui, de percevoir ce qu'il ressent", d'aprĂšs le dictionnaire Larousse. C'est un trait de personnalitĂ© qui se caractĂ©rise par la capacitĂ© de ressentir une Ă©motion appropriĂ©e en rĂ©ponse Ă  celle exprimĂ©e par autrui, d'effectuer une distinction entre soi et autrui tout en rĂ©gulant ses propres rĂ©ponses Ă©motionnelles. L'empathe est donc capable d'ĂȘtre conscient de la source de l'Ă©motion et de dĂ©coder l'Ă©motion d'autrui. L'empathe a cela au plus profond de lui. Ne vous ĂȘtes-vous jamais demandĂ© pourquoi vous avez si facilement parlĂ© de vos problĂšmes Ă  cette personne que vous ne connaissiez pas ? Oui, certaines personnes sont capables de connaĂźtre le caractĂšre des gens dĂšs une premiĂšre rencontre, ces personnes peuvent ĂȘtre des empathes. Des connexions parfois immĂ©diates avec les animaux ou des difficultĂ©s Ă  voir des images de violence, de cruautĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision/dans les films sont des symptĂŽmes de ce type de personne. ... jusqu'Ă  ĂȘtre empathe. Un empathe est trĂšs sensible aux Ă©motions des gens et Ă  leur Ă©nergie. Cette sensibilitĂ© ressentie vaut autant pour les proches de l'empathe que de parfaits inconnus. Les empathes ressentent le monde qui les entoure et sentent ce que les autres Ă©prouvent par leur sens trĂšs dĂ©veloppĂ©s et leur intuition qu'ils utilisent. Ils comprennent comment se sentent les personnes et sont capables de comprendre ce qu'ils vivent. Qu'est-ce qui diffĂ©rencie alors un empathe d'une personne qui peut faire preuve d'empathie ? L'empathe a un niveau supĂ©rieur d'empathie par rapport Ă  la moyenne, mais a aussi des facilitĂ©s pour se connecter aux sentiments des autres. Les empathes n'Ă©prouvent pas toujours un sentiment d'empathie Ă  contrario des autres personnes, car ils n'ont pas besoin des sens physiques vue, ouĂŻe, odorat, etc. pour s'imprĂ©gner de l'Ă©motion et des Ă©nergies, mais ressentent et intĂ©riorisent ses Ă©motions. L'empathe aura donc tendance Ă  absorber les Ă©motions autour de lui oĂč qu'il aille. Aussi, des Ă©motions dĂ©sagrĂ©ables peuvent l'envahir, comme si c'Ă©taient les siennes. Les maisons de soins, de retraite ou encore les hĂŽpitaux peuvent aller jusqu'Ă  provoquer des sentiments de dĂ©pression, des maux physiques ou encore de la fatigue chez ce type de personne. Qu'est-ce qui caractĂ©rise les empathes ? Les empathes ne sont pas tous pareils, et certains ressentent les Ă©motions d'une maniĂšre plus intense que les autres. De mĂȘme, ils ne rĂ©agiront pas tous de la mĂȘme façon face aux bruits, etc. Sans dresser un profil type de l'empathe comme une vĂ©ritĂ© absolue, les empathes pourront se reconnaĂźtre dans ces traits particuliers qui leurs correspondent ils ont des difficultĂ©s Ă  se concentrer sur des choses qui ne stimulent pas leur esprit les empathes sont des rĂȘveurs qui s'ennuient ou sont facilement distraits. Alors si on ne les stimule pas, leur esprit s'Ă©gare, jusqu'Ă  se dĂ©tacher de la rĂ©alitĂ© physique. Les empathes dĂ©rivent donc facilement dans un Ă©tat de rĂȘverie. ils souhaitent trouver les rĂ©ponses aux problĂšmes les empathes sont de grands penseurs qui aiment travailler sur diffĂ©rents sujets. DĂšs lors qu'ils se sentent concernĂ©s, ils trouveront une solution Ă  un problĂšme. Pourquoi ? Pour eux, cela revient Ă  retrouver une tranquillitĂ© d'esprit. Dans leurs rĂȘves, ils agissent de la mĂȘme façon, ils rĂȘvent en dĂ©tail et sont curieux du contenu du rĂȘve. Ils iront jusqu' Ă  connecter leurs rĂȘves Ă  la vie rĂ©elle afin de les interprĂ©ter. ils dĂ©gagent beaucoup de chaleur et de compassion, ce qui attire les autres Ă  eux mĂȘme si les personnes ne les connaissent pas, ils le ressentiront inconsciemment et s'ouvriront Ă  eux pour raconter des dĂ©tails de leur vie privĂ©e. Les personnes ouvrent plus facilement leur cƓur Ă  un empathe, tout comme les animaux s'attacheront plus facilement Ă  eux. ils sont Ă  l'Ă©coute les empathes savent des choses sans qu'on leur dise, et plus ils sont Ă  l'Ă©coute, plus ils deviennent forts Ă  cela. Et s'ils sont capables d'ĂȘtre extravertis, joyeux et blagueurs, ils peuvent aussi subir des sautes d'humeurs, suivant les sentiments et les pensĂ©es qui les traversent. Ils auront tendance Ă  passer facilement de la joie Ă  la dĂ©prime. Quand ils sont malheureux, les empathes ne peuvent pas le cacher, mĂȘme s'ils le veulent, cela se lit sur leur visage. Ils ne peuvent donc pas faire semblant d'ĂȘtre heureux. ils n'aiment pas les restrictions la libertĂ© et le mouvement d'expression sont trĂšs importants pour un empathe. Les rĂšgles trop strictes, l'emprisonnement par un contrĂŽle ou la routine sont autant de choses qu'ils ne supportent pas. Ils ressentent un besoin de dĂ©couvrir le sens de la vie, et d'avoir des expĂ©riences pour avoir des connaissances sur de nombreux sujets. Les empathes sont comme des sages aux yeux des autres qui pourtant restent souvent silencieux, et prĂ©fĂšrent remarquer les qualitĂ©s et rĂ©alisations des autres. ils ont tendance Ă  ressentir ce qui est en dehors d'eux plus que ce qui est Ă  l'intĂ©rieur d'eux ils captent les sentiments des autres sans repĂ©rer forcĂ©ment leur origine au dĂ©but, et peuvent mĂȘme prendre ces Ă©motions comme leurs propres Ă©motions comme une Ă©ponge. Ils savent d'ailleurs trĂšs bien analyser les relations entre les gens. Ils connaissent les sentiments et les intentions des personnes, mĂȘme s'ils viennent de les rencontrer. Un des principaux inconvĂ©nients de l'empathe rĂ©side dans le fait qu'il peut refouler ses Ă©motions et se construire des barriĂšres Ă©motionnelles pour que les autres ne connaissent pas ses pensĂ©es intimes et ses sentiments. Aussi l'empathe a besoin de s'exprimer honnĂȘtement et franchement avec les autres, cela constitue une forme de guĂ©rison pour lui. Il recherche toujours la vĂ©ritĂ©, et ressent les menteurs car ils dĂ©gagent quelque chose de faux. Ils supportent difficilement l'hypocrisie et les non-dits, qui sont de la mĂȘme importance pour eux que ce qui est dit. ils sont sensibles aux images, Ă  la tĂ©lĂ©vision, aux films, etc. L'empathe sera facilement touchĂ© par la violence, les drames, les scĂšnes choquantes, et cherchera Ă  retenir ses larmes. Il ne saura gĂ©nĂ©ralement pas justifier cette souffrance qu'il voit et ressent. ils sont curieux, ont des connaissances en constante expansion et une imagination sans fin les empathes ont un grand intĂ©rĂȘt pour la musique, ils peuvent passer d'un style de musique complĂštement diffĂ©rent en quelques minutes. Les paroles d'un morceau peuvent affaiblir directement un empathe, surtout si celui-ci vient de vivre une expĂ©rience personnelle en relation avec celles-ci. Il est d'ailleurs conseillĂ© aux empathes d'Ă©couter des musiques sans paroles, pour ne pas jouer avec leurs Ă©motions. Ils sont aussi trĂšs expressifs avec le langage, le corps, les mots, les pensĂ©es et leurs sentiments. Leur crĂ©ativitĂ© s'exprime Ă  travers la danse, le théùtre, ou encore leurs expressions du corps. ils sont souvent fatiguĂ©s les empathiques peuvent ressentir un fatigue constante, car ils sont souvent vidĂ©s de leur Ă©nergie Ă  force de ressentir les Ă©motions des autres. ils ont du mal Ă  mentir les empathes ont du mal Ă  mentir car ils sont trĂšs expressifs, mais surtout car ils ont l'impression que les autres sentent qu'ils mentent. Ils ne sentent en rĂ©alitĂ© rien du tout, mais l'empathe agit comme si tout le monde Ă©tait empathe. Ils ne peuvent pas non plus se mentir Ă  eux-mĂȘmes, ou faire semblant d'aimer quelque chose qu'ils n'aiment pas dans leur travail ou dans leurs activitĂ©s sociales. Ils travaillent gĂ©nĂ©ralement dans des domaines crĂ©atifs Ă©criture, danse, musique, etc. pour pouvoir s'exprimer et nourrir leur Ăąme. en amour, l'empathe peut dire prĂ©cisĂ©ment comment l'autre le ressent la maniĂšre dont il l'aime, s'il le respecte ou pas, il n'y a pas besoin de lui demander. La recherche d'un partenaire est donc une chose difficile, et les relations restent souvent incomprĂ©hensibles aux yeux des autres. Les gens ne se rendent gĂ©nĂ©ralement pas compte de ce type de sensibilitĂ©, ils sont attirĂ©s par eux, et vont inconsciemment leur dĂ©voiler des choses trĂšs personnelles. À l'heure oĂč les Ă©motions sont vues comme des faiblesses, cette capacitĂ© peut mĂȘme d'ailleurs faire figure de malĂ©diction pour l'empathe. Avez-vous dĂ©jĂ  fait l'expĂ©rience de ce type de relation ? Vous sentez-vous empathe ? Photos Unsplash Les informations publiĂ©es sur ne se substituent en aucun cas Ă  la relation entre le patient et son psychologue. ne fait l'apologie d'aucun traitement spĂ©cifique, produit commercial ou service.
Associerl’échec Ă  une mauvaise stratĂ©gie et non aux capacitĂ©s. N’émettre aucun jugement nĂ©gatif sur les capacitĂ©s de l’élĂšve. Faire des retours prĂ©cis sur le rĂ©sultat (feedback) afin d’établir le rapport entre la stratĂ©gie employĂ©e et le rĂ©sultat. 3 : Les Ă©lĂšves sont motivĂ©s s’ils ont une vision claire de l’objectif. Selon Richard Davidson, professeur de psychologie, le style Ă©motionnel comporte six dimensions qui ont Ă©tĂ© Ă©tablies grĂące Ă  la recherche actuelle en neurosciences. Ces styles Ă©motionnels sont liĂ©s au cortex prĂ©frontal et non uniquement au systĂšme limbique, information fondamentale et rĂ©volutionnaire qui implique aussi que nous n’avons pas tous le mĂȘme cerveau et qu’il ne peut exister de recettes efficaces pour tous comme semblent le prĂ©tendre les gourous du dĂ©veloppement personnel. Chacun a son propre style Ă©motionnel. C’est-Ă -dire une constellation de rĂ©actions et de maniĂšres de faire face, qui diffĂšrent par leur nature, leur intensitĂ© et leur durĂ©e. » Ces styles Ă©motionnels sont des maniĂšres rĂ©currentes de rĂ©agir aux expĂ©riences vĂ©cues. Ainsi, un style prĂ©destinera Ă  ressentir plus souvent certains Ă©tats Ă©motionnels, traits Ă©motionnels et humeurs. Une humeur Ă©tant une Ă©motion qui persiste pendant des heures ou des jours alors qu’une Ă©motion dure quelques secondes. Les styles Ă©motionnels ont une signature cĂ©rĂ©brale » spĂ©cifique issue de l’hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique et des expĂ©riences vĂ©cues. Ils ont d’ailleurs Ă©tĂ© Ă©tablis grĂące Ă  la recherche actuelle en neurosciences qui a aussi dĂ©montrĂ© qu’il sont modifiables neuroplasticitĂ© en cultivant consciemment certaines qualitĂ©s et des habitudes mentales. Il est important de savoir que le style Ă©motionnel est constituĂ© de 6 dimensions qui sont prĂ©sentes en nous et plus prĂ©cisĂ©ment dans les zones de notre cerveau et plus ou moins actives et dĂ©veloppĂ©es selon notre bagage gĂ©nĂ©rique, les situations et notre histoire » personnelle. Notre tempĂ©rament et notre personnalitĂ© sont une combinaison de ces 6 dimensions du style Ă©motionnel. Les voici avec la zone du cerveau concernĂ©e – la RĂ©silience la vitesse Ă  laquelle vous surmontez les difficultĂ©s Forte Cortex prĂ©frontal gauche/ Faible Cortex prĂ©frontal droit + connexion entre Cortex prĂ©frontal et Amygdale respectivement forte et faible – la Perspective la persistance de vos Ă©motions positives activitĂ© forte dans cortex prĂ©frontal et noyau accubens – l’Intuition sociale la capacitĂ© Ă  repĂ©rer les signaux sociaux envoyĂ©s par votre entourage activitĂ© forte du Gyrus fusiforme et faible de l’amygdale pour un cerveau socialement intuitif – la Conscience de soi la facultĂ© de percevoir les sensations corporelles qui reflĂštent les Ă©motions l’insula; – la SensibilitĂ© au contexte l’art d’adapter vos rĂ©actions Ă©motionnelles au contexte l’hippocampe; – l’Attention la capacitĂ© de se concentrer avec clartĂ© et prĂ©cision cortex prĂ©frontal Et si nous corrĂ©lons les cinq grands traits de personnalitĂ© BIG FIVE communĂ©ment Ă©tablis comme modĂšles par la psychologie, nous retrouvons ces dimensions Une personne trĂšs ouverte aux expĂ©riences nouvelles possĂšde une forte Intuition sociale. Elle est aussi trĂšs consciente de soi et tend Ă  avoir une Attention trĂšs concentrĂ©e ; Une personne dotĂ©e d’une forte capacitĂ© de contrĂŽle possĂšde une Intuition sociale dĂ©veloppĂ©e, une Attention concentrĂ©e et une vive SensibilitĂ© au contexte ; Une personne extravertie est rĂ©active face Ă  l’adversitĂ©, et donc rapide Ă  rĂ©cupĂ©rer » en termes de RĂ©silience. Elle garde une Perspective positive ; Une personne aimable a une trĂšs fine SensibilitĂ© au contexte et une forte RĂ©silience ; elle tend aussi Ă  conserver une Perspective positive ; Une personne nĂ©gative, Ă©motionnellement instable est lente Ă  rĂ©cupĂ©rer face Ă  l’adversitĂ©. Elle a une Perspective sombre, nĂ©gative, est relativement insensible au contexte, et dotĂ©e d’une Attention peu concentrĂ©e. Voici d’autres exemples Impulsif combinaison d’une Attention non concentrĂ©e et d’une faible Conscience de soi ; Patient combinaison d’une forte Conscience de soi et d’une vive SensibilitĂ© au contexte. Savoir que, quand le contexte change, d’autres choses changent aussi, aide Ă  se montrer patient ; Timide combinaison d’une lenteur Ă  rĂ©cupĂ©rer RĂ©silience limitĂ©e et d’une faible SensibilitĂ© au contexte. À cause de cette insensibilitĂ© au contexte, timiditĂ© et mĂ©fiance persistent en dehors des situations oĂč elles pourraient sembler normales ; Anxieux combinaison de la lenteur Ă  rĂ©cupĂ©rer, de la Perspective nĂ©gative, d’un haut degrĂ© de Conscience de soi et d’un manque de focalisation, en termes d’Attention ; Optimiste combinaison de la rapiditĂ© Ă  rĂ©cupĂ©rer et de la Perspective positive ; Malheureux chronique combinaison de la lenteur Ă  rĂ©cupĂ©rer et d’une Perspective nĂ©gative. L’individu peut Ă©prouver des Ă©motions positives mais, aprĂšs un revers, rester prisonnier d’émotions nĂ©gatives. Comment faire Ă©voluer notre style Ă©motionnel Comme nous l’avons Ă©voquĂ© plus haut, nous pouvons modifier nos styles Ă©motionnels et transformer ainsi nos circuits cĂ©rĂ©braux. Voici quelques idĂ©es puisĂ©es dans le livre PERPECTIVE Chaque jour pendant une semaine, faites ces trois exercices ‱ Notez l’une de vos qualitĂ©s et une qualitĂ© d’une personne avec qui vous avez interagissez rĂ©guliĂšrement. Faites cela trois fois par jour. Dans l’idĂ©al, changez de caractĂ©ristique chaque fois, mais si ne trouvez rien d’autre que le cĂŽtĂ© serviable » de votre collĂšgue de bureau, ce n’est pas grave. ‱ Exprimez rĂ©guliĂšrement votre gratitude. Faites attention lorsque vous dites merci ». Regardez droit dans les yeux la personne que vous remerciez et efforcez-vous de ressentir le maximum de gratitude authentique. Tenez votre journal ; tous les soirs, notez le nombre de fois oĂč vous avez Ă©prouvĂ© une connexion rĂ©elle, mĂȘme brĂšve, avec une autre personne alors que vous exprimiez de la gratitude. ‱ Complimentez rĂ©guliĂšrement les autres. Cherchez les occasions de le faire, comme quand une mission a Ă©tĂ© bien accomplie sur votre lieu de travail, quand votre voisin a embelli son jardin, ou mĂȘme quand une inconnue porte un manteau magnifique. Regardez droit dans les yeux la personne que vous complimentez. Dans votre journal, notez le nombre de fois oĂč vous avez Ă©prouvĂ© une connexion rĂ©elle avec la personne que vous complimentiez. CONSCIENCE DE SOI Voici une mĂ©ditation simple pour dĂ©velopper la conscience de soi ‱ Choisissez un moment de la journĂ©e oĂč vous ĂȘtes particuliĂšrement vif et Ă©veillĂ©. Asseyez-vous, par terre ou sur une chaise, en maintenant le dos droit et en gardant une posture dĂ©tendue mais ferme, afin de ne pas vous endormir. ‱ Maintenant, concentrez-vous sur votre respiration, sur les sensations qu’elle distille dans votre corps. Remarquez les mouvements de votre diaphragme chaque fois que vous inspirez et que vous expirez. ‱ Focalisez-vous sur le bout de votre nez, en notant les diffĂ©rentes sensations qu’entraĂźne chaque respiration. ‱ Quand vous remarquez que vous avez Ă©tĂ© distrait par des pensĂ©es ou des sentiments sans rapport avec l’exercice, ramenez simplement votre attention sur votre respiration. ATTENTION ‱ Trouvez un petit objet. ‱ Focalisez toute votre attention sur cet objet. Maintenez votre regard fixĂ© dessus. ‱ Si votre attention s’égare, tentez de la ramener en douceur vers cet objet. Faites cela tous les jours, au dĂ©part pendant une dizaine de minutes. RÉSILIENCE ‱ Visualisez aussi nettement que possible une personne qui souffre. Cela peut ĂȘtre un parent ou un ami qui est malade, un collĂšgue qui a des soucis au travail, un voisin dont le couple bat de l’aile. Plus proche est cette personne, plus claire et plus forte sera la visualisation. Si vous avez la chance de ne connaĂźtre personne qui souffre, essayez de visualiser un type d’individu, un enfant qui meurt de faim au Soudan, un pauvre qui fouille les ordures Ă  Delhi ou un patient atteint du cancer Ă  l’hĂŽpital. ‱ Chaque fois que vous inspirez, imaginez que vous absorbez la souffrance de cette personne. Ressentez-la dans votre chair tout en inspirant, imaginez que sa douleur et son angoisse entrent par vos narines, remontent votre nez et descendent dans vos poumons. S’il est trop difficile d’imaginer que vous vous emparez physiquement de cette souffrance, imaginez qu’elle sort de la personne chaque fois que vous inspirez. Quand vous inspirez, reprĂ©sentez-vous la douleur et l’angoisse qui quittent le corps de cette personne comme le brouillard est chassĂ© par un beau soleil. ‱ Chaque fois que vous expirez, imaginez que cette souffrance se transforme en compassion. Dirigez cette compassion vers la personne imaginez votre souffle qui s’avance vers elle, comme un don d’empathie et d’amour qui l’enveloppera et pĂ©nĂ©trera en elle pour calmer sa douleur. INTUITION SOCIALE ‱ Pour renforcer votre sensibilitĂ© aux indices vocaux de l’émotion, quand vous ĂȘtes dans un lieu public comme le mĂ©tro, un cafĂ©, un magasin oĂč des gens bavardent entre eux, ou encore un terminal d’aĂ©roport, fermez les yeux et prĂȘtez attention aux voix qui vous entourent. Écoutez certaines voix, concentrez-vous non sur leur contenu mais sur leur ton. ‱ DĂ©crivez ce qu’exprime ce ton sĂ©rĂ©nitĂ©, joie, attente enthousiaste, anxiĂ©tĂ©, stress, etc. Faites le test en fermant les yeux, puis rouvrez-les pour vĂ©rifier comment Ă©volue la situation rĂ©elle. Un tĂȘte-Ă -tĂȘte interrompu par le dĂ©part brusque de l’un des deux interlocuteurs a sans doute Ă©tĂ© caractĂ©risĂ© par des Ă©motions nĂ©gatives plutĂŽt que positives. ‱ Maintenant, faites la mĂȘme chose en observant les postures et le langage du corps. Quand vous Ă©coutez une conversation, notez comment les interlocuteurs s’orientent l’un vers l’autre, s’ils sont assis ou debout, quels gestes ils font. ‱ Choisissez un vecteur de communication non verbale – intonation, langage du corps – sur lequel vous vous concentrez pendant une journĂ©e entiĂšre. Dans le mĂ©tro, au travail, quand vous observez votre famille, vos amis ou vos collĂšgues, recherchez les occasions de vous dĂ©tacher de la situation, ne serait-ce qu’une minute, pour ĂȘtre observateur et non participant. Et entraĂźnez-vous aux trois premiĂšres Ă©tapes dĂ©crites ci-dessus, en vous concentrant sur le vecteur choisi. ‱ Le lendemain, changez de vecteur et rĂ©pĂ©tez l’exercice. SENSIBILITÉ AU CONTEXTE Voici un exemple d’exercice basĂ© sur un source d’anxiĂ©tĂ© un patron Ă©nervant » ‱ Dressez la liste des Ă©lĂ©ments et des comportements qui vous perturbent chez votre patron. Peut-ĂȘtre se plante-t-il devant vous Ă  intervalles rĂ©guliers. Peut-ĂȘtre vient-il traĂźner prĂšs de votre bureau vers 16 h 55, pour ĂȘtre sĂ»r que vous ne partez pas avec une minute d’avance. Peut-ĂȘtre juge-t-il de façon impitoyable tous les travaux que vous lui soumettez. Soyez aussi exact et dĂ©taillĂ© que possible. ‱ Ensuite, dans un contexte sĂ©curisant chez vous, le week-end, convoquez peu Ă  peu, dĂ©licatement, des images mentales associĂ©es Ă  votre patron. ReprĂ©sentez-vous exactement Ă  quoi il ressemble lorsqu’il vous observe Ă  la fin de la journĂ©e. Imaginez son visage lorsqu’il lit vos rapports. ‱ En mĂȘme temps, faites un exercice de respiration profonde. Continuez jusqu’à ce que vous vous sentiez Ă  l’aise et dĂ©tendu alors mĂȘme que vous imaginez le visage furieux de votre patron et sa façon de se planter devant vous. Consacrez un quart d’heure Ă  cet exercice. Source Les profils Ă©motionnels » de Richard Davidson disponible sur Lexposition E/MOTION retrace les changements sociaux, politiques et psychologiques des trois derniĂšres dĂ©cennies et Ă©value leur incidence sur la mode. E/MOTION, mode en transition est au voyage diffĂ©rent au cƓur de notre temps et de ses vĂȘtements. En outre, depuis sa rĂ©ouverture, le MoMu a choisi aussi de proposer entre autres, une

Si les Ă©motions viennent impacter l’apprentissage, quel est vraiment l’impact des Ă©motions sur l’apprentissage ? Parce qu’il est impossible de nous dĂ©tacher de nos Ă©motions, nos Ă©motions entrent en lien avec nos situations d’apprentissage. Lorsque nous sommes dans un Ă©tat Ă©motionnel difficile, quand nos valeurs personnelles ont Ă©tĂ© mises Ă  mal, les connexions ne sont plus Ă©tablies correctement entre les diffĂ©rentes zones de notre cerveau. L’émotion, un ressenti personnel Une Ă©motion est un Ă©tat affectif plus ou moins intense survenant Ă  la suite d’un stimulus. L’émotion est un Ă©tat subjectif. Elle nous appartient. Elle dĂ©clenche un ressenti qui nous est propre. Dans toutes situations d’apprentissage, nous ressentons des Ă©motions agrĂ©ables ou non. À l’école, les enfants continuent Ă©galement de ressentir des Ă©motions. Impossible de s’en dĂ©tacher, l’Homme est un ĂȘtre d’émotion » ! Leurs Ă©motions impactent leur apprentissage parce qu’elles sont en lien avec la mĂ©morisation. ➔ Lire l’article comment ĂȘtre dans de bonnes conditions d’apprentissage ? Les Ă©vĂ©nements chargĂ©s Ă©motionnellement sont mieux mĂ©morisĂ©s que les Ă©vĂ©nements neutres ». Ce lien entre Ă©motion et mĂ©moire met en relief son caractĂšre personnalisĂ©. En effet, face aux mĂȘmes Ă©vĂ©nements, nous ne retenons pas tous la mĂȘme chose. ➔ Lire l’article L’impact des Ă©motions sur la mĂ©moire Et Ă  l’école, quel est l’impact des Ă©motions sur l’apprentissage À l’école, les Ă©motions ne s’arrĂȘtent pas. Lorsqu’un Ă©lĂšve est dans un Ă©tat Ă©motionnel intense et notamment en cas de stress, il dĂ©branche » son cortex prĂ©frontal. Ce lobe frontal Ă©tant le siĂšge de nos fonctions exĂ©cutives, adieu planification, attention, prioritĂ©, anticipation, organisation ou encore concentration. ➔ Lire l’article qu’est-ce que les fonctions exĂ©cutives ? en parlant des enseignantsMais peu ont conscience de l’impact affectif qu’ils ont sur les enfants. Certains instituteurs, professeurs de collĂšge et de lycĂ©es, vont rassurer et rĂ©conforter les enfants par leur façon d’ĂȘtre, leur maniĂšre de parler, leur attention Ă  reprendre autrement une explication mal comprise. » Boris Cyrulnik – Article VNI du 15 juin 2015 L’impact affectif et donc l’impact des Ă©motions sur l’apprentissage ne peut donc ĂȘtre un facteur nĂ©gligeable. Ce sont bien les encouragements, les mots qui marquent positivement une progression, un effort, ou encore une attitude qui aideront l’élĂšve Ă  rester cĂąblĂ© ». Source Un encouragement ou une apprĂ©ciation positive de leur part, qui serait souvent perçu comme une banalitĂ© par des adultes, aura chez un enfant en recherche de sĂ©curisation, une valeur inestimable. Ce sera un Ă©vĂ©nement Ă©motionnel fort qui participera Ă  structurer sa personnalitĂ©. ➔ Lire l’article 10 idĂ©es d’encouragements qui donnent du courage Encourager les Ă©lĂšves permet de les mettre dans un cadre sĂ©curisant qui est favorable Ă  leur apprentissage. Bien sĂ»r, nous pourrions rappeler l’importance d’apprendre Ă  rĂ©guler, autrement dit Ă  apprivoiser ses Ă©motions, mais nous en avons dĂ©jĂ  parlĂ© dans diffĂ©rents articles dossier Ă©motions et apprentissage », je vais essayer de rester concrĂšte et vous proposer des pistes Ă  explorer. Comment rĂ©duire l’impact des Ă©motions sur l’apprentissage lorsque celles-ci sont ressenties comme dĂ©sagrĂ©ables ? Lire le dossier Ă©motions et apprentissage » tous les liens sont mis en bas de cette page. Quelques pistes Ă  explorer pour rĂ©duire l’impact des Ă©motions dans les apprentissages. Positiver les situations mĂȘme les progrĂšs les plus minimes sont des progrĂšs. Encourager et non pas fĂ©liciter permet d’envoyer un message positif Ă  l’apprenant. Il peut ressentir cet encouragement comme une vĂ©ritable rĂ©compense. C’est donc son circuit de la rĂ©compense qui va Ă©galement entrer en jeu, et lui donner envie de recommencer. Encourager tous les progrĂšs
 mĂȘme petits ». De plus, il est courant que lorsqu’un enfant est en difficultĂ© dans des apprentissages, les petits » progrĂšs ne soient pas valorisĂ©s et vus comme une rĂ©elle progression. Les remettre Ă  leur vĂ©ritable niveau, les voir comme de rĂ©els progrĂšs et non pas un retour dans la norme est important pour l’enfant. Donner les axes de progression rĂ©alisables inutile de voir gravir immĂ©diatement l’Everest si l’on n’est pas encore capable de grimper en haut d’une colline. Envisager de passer de 6 de moyenne Ă  16, c’est se mettre en difficultĂ© pour atteindre son objectif et donc prendre le risque d’ĂȘtre déçu de soi-mĂȘme. Viser juste permet aussi de jouer sur la motivation. Valoriser tous les domaines de compĂ©tence la crĂ©ativitĂ©, artistique, musicale
 Les rĂ©sultats scolaires et l’école ne constituent pas toute la vie de votre enfant. En se focalisant sur un seul domaine de compĂ©tence, nous Ă©cartons les autres ou nous leur donnons peu de place. Le systĂšme scolaire ne met que trĂšs peu en avant les compĂ©tences crĂ©atives, artistiques, ou sportives, il est important qu’elles soient valorisĂ©es comme une compĂ©tence Ă  part entiĂšre. Atelier REGULATION EMOTIONNELLE pour t’aider Apprendre Ă  rĂ©guler ses Ă©motions Un atelier pour apprendre Ă  trouver des stratĂ©gies pour attĂ©nuer les Ă©motions que tu ressens comme nĂ©gatives une occasion d’apprendre Ă  apprivoiser ses Ă©motions. Des lectures que je peux te conseiller Isabelle Filliozat. L’intelligence du coeur aux Editions Marabout. MoĂŻra Mikolajczak et Martin Desseilles. TraitĂ© de rĂ©gulation des Ă©motions aux Editions DE BOECK SUP. Pour les jeunes enfants Anna Llenas. La couleur des Ă©motions aux Editions GlĂ©nat Jeunesse. Pour qu’un enfant grandisse, il faut tout un village. A propos de moi Je suis coach professionnelle depuis 2010. Je vous accompagne pour vous aider Ă  atteindre vos objectifs, Ă  gravir vos marches, une Ă  une, Ă  votre rythme. Ouvrir le champ des possibles Je peux t’aider Ă  reprendre confiance en toi, Ă  trouver des outils pour t’aider pour rĂ©pondre Ă  certains de tes objectifs, tant au niveau scolaire grĂące Ă  de la mĂ©thodologie adaptĂ©e aux troubles dys qu’au niveau de ta vie personnelle ou professionnelle. Mon rĂŽle est alors de te guider en t’accompagnant, pour qu’ensemble, nous puissions trouver des solutions adaptĂ©es. AprĂšs plus de 10 ans d’expĂ©rience, ma mallette d’outils est bien remplie ! Comment je peux t’aider ? 01. Rendez-Vous Coaching ou consultation en individuel. Tu as des questions, toi ou tes parents, besoin de conseils, d’ĂȘtre guidé  Rencontrons-nous en tĂȘte Ă  tĂȘte. 02. Ateliers et stages Coaching de groupe. Selon des thĂšmes dĂ©finis, pour les enfants, ados, parents
 03. Articles Des articles de ce site pour trouver des conseils, des astuces, et des outils quotidien, scolaritĂ©, amĂ©nagements
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Àla lecture d’une situation donnĂ©e, chaque participant·e est invité·e Ă  se positionner sur l’une des Ă©motions proposĂ©es et dont il·elle se sent le·la plus proche. Il·elle Ă©change ensuite un regard avec son partenaire et mise sur l’émotion qu’il pense choisie par celui-ci. L’objectif est de trouver justement l’émotion de l’autre.
LES ÉMOTIONS đŸ˜‚đŸ˜­đŸ˜ĄđŸ€ąđŸ˜±đŸ˜Č Objectifs Mieux comprendre se qui se passe dans son corps. La connaissanceRessentir et observer ses ressentis. La perceptionIdentifier ses rĂ©actions et ajuster ses comportements. La maĂźtrise La connaissance Qu’est-ce qu’une Ă©motion? En tant que concept, il est difficile de donner une dĂ©finition simple de ce que sont les Ă©motions. Cependant, nous pouvons tout de mĂȘme dire qu’une Ă©motion se ressent. Elle a une dimension corporelle et cĂ©rĂ©brale. Selon le biologiste Walter Cannon, les Ă©motions sont ressentis en mĂȘme temps dans le corps et le cerveau. Les Ă©motions existent parce que le cerveau y participe de façon pleine et entiĂšre. Le monde tel qu’il existe pour toi est unique. Le monde est avant tout perçu par ton cerveau. Émotions positives ou nĂ©gatives? Depuis ta naissance, tu es confrontĂ© Ă  tes Ă©motions que l’on dit “positives” ou “nĂ©gatives”. Mais ce n’est pas aussi simple que cela. Prenons comme exemple la tristesse qui est une Ă©motion que l’on considĂšre comme nĂ©gative. Cette Ă©motion fait partie des expĂ©riences que chaque ĂȘtre humain vient Ă  vivre un jour oĂč l’autre. Ce vĂ©cu animĂ© de cette Ă©motion, te permet d’identifier les situations qui te sont douloureuses moralement. Ainsi, une prochaine fois, tu pourras choisir soit de ne plus vivre ces expĂ©riences qui te rendent triste soit d’adapter ton comportement. En ce sens ces Ă©motions dites “nĂ©gatives” deviennent bien au contraire positives c’est-Ă -dire utiles Ă  ta comprĂ©hension du monde. De ces expĂ©riences teintĂ©es de diffĂ©rentes couleurs ou Ă©motions, tu Ă©volues et choisis tes ressentis. Tu choisis les Ă©tats dans lesquels tu prĂ©fĂšres ĂȘtre. Alerte Il y a cependant un moment oĂč l’on peut parler d’émotions nĂ©gatives. Ce moment est lorsque l’individu pense d’une maniĂšre nĂ©gative trĂšs trĂšs souvent. Pourquoi? Parce que la consĂ©quence de telles pensĂ©es inscrites dans la durĂ©e, stress le corps. Ce stress perturbe tout l’organisme. En premier, c’est le cortisol qui rend le corps encore et encore plus triste et/ou en colĂšre
 Sans maĂźtrise et sans connaissance de la part de l’individu, ces nĂ©gations prennent alors le dessus et l’empĂȘchent d’ĂȘtre libre. Si de telles pensĂ©es sont vraiment inscrites dans le temps, cela met le corps de l’individu Ă  rudes Ă©preuves. Il se retrouve Ă  ressentir du mal autant dans sa tĂȘte que dans son corps. Les six Ă©motions fondamentales Le psychologue amĂ©ricain Paul Eckmann, a identifiĂ© 6 Ă©motions fondamentales, Ă  partir des expressions faciales dans diffĂ©rentes cultures La peurđŸ˜±La tristesse😭La colĂšre😡Le dĂ©goĂ»t đŸ€ąla surpriseđŸ˜ČLa joie😂 Comme tu le vois, remercions grandement la joie d’exister! Cela permet de contre balancer, ces diffĂ©rents Ă©tats afin de vivre des instants de bonheur! Petite apartĂ© qui me tient Ă  cƓur sur la fĂ©licitĂ©đŸ˜Œ que l’on confond souvent avec la joie! La fĂ©licitĂ© est un Ă©tat d’ĂȘtre primordial. Un Ă©tat de bien ĂȘtre intense. C’est une joie diffĂ©rente de l’émotion qui elle est Ă©phĂ©mĂšre. C’est cette joie profonde qui te fait sentir en vie et en connection avec la nature. Cet Ă©tat d’ĂȘtre est dĂ©tachĂ© de toutes Ă©motions, parce que la fĂ©licitĂ© est dĂ©tachĂ©e d’un stimuli extĂ©rieur ou d’un stimuli attendu. Tes Ă©motions au service de Ta survie. Tes Ă©motions se dĂ©clenchent afin de t’alerter que tu es face Ă  un danger. En rĂ©action ton corps se prĂ©pare pour la fuite ou le combatTon apprentissage de la vie via la maĂźtrise😉. L’ĂȘtre humain apprend des expĂ©riences vĂ©cues. Les Ă©motions sont lĂ , afin de colorer ses expĂ©riences et de lui permettre d’apprendre et d’évoluer. La perception Ressentir, c’est Ă©prouver une sensation. L’Amour, la peur, la joie
 sont des Ă©motions et des sentiments qui sont vĂ©hiculĂ©s sous forme d’énergie. Ainsi quand tu as peur, ton corps tout entier se met Ă  frissonner, trembloter et Ă  vouloir fuir la situation qui te met dans cet Ă©tat. À l’opposĂ©, quand tu ressens de la joie, tu perçois une ouverture au milieu de ton corps que l’on nomme le plexus solaire. Tu te sens bien, et souvent une envie de partager s’associe Ă  cette Ă©motion. Les chiens et autres animaux ont la capacitĂ©s de ressentir les Ă©motions des humains ainsi que leur congruence. C’est-Ă -dire qu’ils voient si l’émotion est en relation avec le comportement. Ci-dessous je te mets le lien sur un article scientifique qui vient Ă©tayer ce sujet. *Le coin des parents Voici un lien vers un article scientifique en Anglais relatant la capacitĂ© du chien Ă  ressentir la congruence Ă©motionnelle des humains. Il est important de reconnaĂźtre quels Ă©motions et sentiments viennent t’habiter l’espace d’un instant, afin de mettre des mots sur tes sensations. Ainsi, tu peux t’exprimer et Ă©noncer clairement se qui se passe en toi, afin de demander l’aide adĂ©quat si nĂ©cessaire, et surtout arriver Ă  la maĂźtrise de ce que Toi tu veux vivre comme expĂ©rience. La maĂźtrise Une Ă©motion est un indicateur sur ce qui se passe en toi. L’identifier te permet de te connaĂźtre. Ainsi, tu mets “un mot” sur tes ressentis, “un mot” sur tes expĂ©riences. Cette reconnaissance te permet, pour une prochaine expĂ©rience vĂ©cue, non plus de rĂ©agir mais bien au contraire de choisir tes futurs comportements et actions Ă  l’opposĂ© de subir des Ă©tats qui te mettent mal face Ă  toi mĂȘme et/ou face aux autres. Tu deviens le maĂźtre de ta vie. Ton cerveau et ton corps te disent Merci! Le coin des parents et des adultes Des mots exprimĂ©s consciemment Ă©vitent des maux cachĂ©s Amiot Symbole du yin et du yang afin d’illustrer la maĂźtrise Symbole du Yin et Yang afin d’illustrer la maĂźtrise de tes Ă©motions Les sentiments En cours de rĂ©daction

DĂ©crivezle problĂšme principal en rĂ©flĂ©chissant Ă  voix haute pour aider votre Ă©lĂšve Ă  modĂ©liser les mĂȘmes techniques de rĂ©solution de problĂšmes sur d’autres exemples concrets pour les mettre en pratique dans sa propre vie. 2. Demander des conseils aux Ă©tudiants. Si vous avez un problĂšme, demandez un conseil Ă  vos Ă©lĂšves.
AprĂšs la thĂ©orie, la pratique. Nadia Florian nous donne quelques trucs et astuces pour gĂ©rer ses Ă©motions au travail afin de mieux s’épanouir dans son conseils Retrouvez la thĂ©orie en lisant GĂ©rer ses Ă©motions ou Comment passer du moi personnel » au moi professionnel » Recommandations gĂ©nĂ©rales Je conseille aux assistantes de Prendre du recul vis-Ă -vis de leur fonction Suivre une formation Sortir de son entreprise aller se confronter Ă  d’autres expĂ©riences participent de cette prise de distance Les assistantes expriment ce besoin de distance lors du tour de table avant le dĂ©but d’un stage. Et je les fĂ©licite de leur prĂ©sence car elles accomplissement dĂ©jĂ  prĂšs de la moitiĂ© du chemin ! Buts Ă  atteindre au niveau personnel Pour le reste, nous cheminons ensemble avec pour finalitĂ© Comprendre leur subjectivitĂ©, l’accepter, et tendre vers une objectivitĂ© qui leur permettra de rĂ©pondre efficacement aux exigences de la fonction d’assistante. Les managers attendent de leurs assistantes qu’elles soient autonomes, rĂ©actives et surtout pro-actives qu’elles soient force de proposition. Elles savent qu’il leur est difficile de rĂ©pondre Ă  ces attentes car elles sont toujours dans l’action, le nez dans le guidon ». Perspectives professionnelles Pour rĂ©pondre aux attentes des managers, les assistantes doivent AcquĂ©rir des outils de rĂ©solution de problĂšmes S’amĂ©nager des temps de rĂ©flexion pour penser leur fonction, penser leur action, Se rĂ©unir entre elles pour Ă©changer leurs compĂ©tences S’entraider Elles enrichiront ainsi leur poste et pourront rĂ©pondre aux attentes de leurs responsables. Toute l’articulation des formations que je propose tourne autour de cette posture » muscler » son moi pro ». Comment muscler son moi pro » ? Par une bonne connaissance De son entreprise De sa culture Des objectifs de son service Des objectifs de son responsable De ses propres objectifs Mais cela passe aussi par L’organisation de son temps La capacitĂ© Ă  gĂ©rer les prioritĂ©s La capacitĂ© Ă  communiquer La capacitĂ© Ă  ĂȘtre en relation de maniĂšre constructive Toute cette prise de conscience et ce regard nouveau portĂ© sur son environnement rendent l’assistante plus autonome, plus actrice de sa fonction, plus opĂ©rante. RĂ©capitulatif Ressources internes Bien connaĂźtre son entreprise, sa culture ; IntĂ©grer les objectifs de son service, celles de son responsable et ses propres objectifs ; S’amĂ©nager des temps de rĂ©flexion pour penser sa fonction, penser son action ; Se rĂ©unir entre assistantes pour Ă©changer ses compĂ©tences, s’entraider ; Organiser son temps, gĂ©rer les prioritĂ©s ; Communiquer, ĂȘtre en relation de maniĂšre constructive. Ressources externes Prendre du recul vis-Ă -vis de sa fonction ; Sortir de son entreprise ; Suivre des formations mĂ©tier » organisation, positionnement dans la fonction et des formations sur les relations interpersonnelles ; Aller se confronter Ă  d’autres expĂ©riences ; Comprendre la place des Ă©motions subjectivitĂ©, l’accepter pour soi, pour l’autre et en faire un levier pour agir de maniĂšre constructive ; Tendre vers plus d’objectivitĂ© ; AcquĂ©rir des outils de rĂ©solution de problĂšmes. En conclusion Toute cette prise de conscience et ce regard nouveau portĂ© sur son environnement aideront l’assistante Ă  ĂȘtre autonome, actrice de sa fonction, opĂ©rante pour son bien-ĂȘtre personnel et celui de son Ă©quipe.
Celaimplique la capacité à comprendre les dimensions émotionnelles de son interlocuteur mais le positionnement des acteurs les uns par rapport aux autres ainsi que leurs attentes réciproques. 5 managers, à la prise en compte des émotions découlera de ce questionnement. Parmi les voies qui se dessinent pour reconnecter le manager à ses émotions, celle de la
Faut-il apprendre Ă  mettre de la distance » dans la relation d’aide ? Vous n’échapperez jamais Ă  ce dont vous n’avez pas la connaissance rĂ©elle. C’est une certitude. Comment pouvez-vous ĂȘtre libres d’un ennemi, d’un danger, d’une prison que vous ne connaissez pas ? C’est la Connaissance qui donne la maĂźtrise et la libertĂ©. » Arnaud Desjardins. Le mois dernier, par le biais de l’espace Poser une question » de mon site internet, je reçois ce courriel dĂ©semparĂ© Je suis infirmiĂšre en rĂ©animation depuis 8 mois environ, diplĂŽmĂ©e depuis 2 ans. Je suis tombĂ©e sur votre site en recherchant sur internet des conseils sur comment prendre du recul par rapport aux situations que je vis au travail. J’ai beaucoup de mal Ă  laisser les problĂšmes au boulot » comme on dit
 Pour vous donner un exemple j’ai pris en charge une jeune fille de 19 ans qui est dĂ©cĂ©dĂ©e d’une mĂ©ningite et j’ai souffert d’un torticolis pendant un mois, je savais que c’était lié  J’ai beaucoup de mal Ă  accepter les dĂ©cĂšs des personnes dont je me suis occupĂ©e. Alors on me dit qu’il faut m’endurcir mais je ne me vois pas faire ce travail avec un cƓur de pierre ! En plus de ça je me sens coupable parce que je suis de plus en plus agressive envers mon ami, en fait je me dĂ©foule un peu sur lui !
 Je crois tout simplement que j’aurai besoin d’en parler mais je ne sais pas vers qui me tourner
 Si vous avez un conseil Ă  me donner, il sera le bienvenu, sinon cela m’aura quand mĂȘme fait du bien d’exprimer ce qui me pĂšse sur le cƓur par Ă©crit
 Merci. » Quelques jours plus tard, cet autre message dĂ©sespĂ©rĂ© InfirmiĂšre depuis prĂšs de 20 ans dont 3 ans en long sĂ©jour, je suis en arrĂȘt pour dĂ©pression nerveuse depuis 2 mois suite au burn-out selon mon mĂ©decin je n’ai plus rien Ă  donner, je suis vidĂ©e, je ne supporte plus de voir souffrir, ni mourir, peut-on s’en sortir et comment, car pour le moment, ma seule solution est de tout arrĂȘter
 » Au cours de leurs Ă©tudes et de leurs formations, les instructeurs des diffĂ©rents types d’aidants Ă©ducateurs, soignants, assistantes sociales, psychologues se sentent justifiĂ©s d’insister sur la nĂ©cessitĂ© de mettre de la distance, pour l’aidant, entre lui-mĂȘme et l’aidĂ© ». La plupart des jeunes infirmiĂšres se voient prodiguer ce genre de conseils par leurs ainĂ©s Tu ne devrais pas t’investir autant », ou encore la simple prĂ©diction nĂ©gative et manipulatrice Tu verras, tu ne pourras pas tenir longtemps en continuant ainsi », qui laisse le plus souvent les novices mal Ă  l’aise et dubitatives quant Ă  leur rĂŽle. En groupe de formation, j’entends souvent des aidants concĂ©der C’est vrai, au dĂ©but je m’impliquais trop, aujourd’hui, j’ai appris Ă  mettre de la distance, Ă  faire en sorte que les choses ne me touchent plus autant, j’ai appris Ă  m’endurcir. » Un directeur de Maison de Retraite me disait rĂ©cemment Plus la fin de la vie de Madame X – qui se meurt d’un cancer du foie avec blocage biliaire – approche, plus les aides-soignantes de ma maison s’investissent auprĂšs d’elles et plus je les sens dĂ©primer. Il faut absolument qu’elles apprennent Ă  mettre de la distance ! » Dans un Groupe de Parole que j’anime, un Conseiller Ă  l’Emploi partageait Il faut absolument que je parvienne Ă  mettre de la distance vis-Ă -vis de personnes au vĂ©cu aussi dramatique, sinon je n’ai plus qu’à changer de boulot ! » Pourquoi les aidants croient-ils devoir mettre de la distance ? Il est vrai que le premier souci de l’aidant doit ĂȘtre de se prĂ©server lui-mĂȘme car s’il ne le fait pas, il risque de devenir une victime dans sa relation Ă  l’autre. Si l’espĂšce humaine a rĂ©ussi Ă  se prĂ©server, c’est certainement parce qu’elle fonctionne communĂ©ment de cette maniĂšre basique elle s’éloigne de ce qu’elle considĂšre comme un danger, donc de ce qui lui fait peur. La mise Ă  distance est donc le moyen premier que nous employons vis-Ă -vis de ce que nous craignons. Regardons de plus prĂšs de quoi l’aidant a peur. Comme le dit si bien cette Ă©lĂšve infirmiĂšre en train de mourir, dans sa lettre dĂ©sormais cĂ©lĂšbre1 Pourquoi avez-vous peur ? AprĂšs tout, c’est moi qui meurs ! » N’est-ce pas la personne ĂągĂ©e, atteinte d’un cancer du foie avec blocage biliaire , qui se meurt, alors de quoi les aides-soignantes du service ont-elles peur ? Ce n’est pas le Conseiller Ă  l’Emploi qui vit aujourd’hui la situation dramatique du chĂŽmage mais la personne assise en face de lui. Pourquoi avons-nous peur Ă  la place de l’autre ? Une aide-soignante, rencontrĂ©e Ă  l’occasion d’une formation sur l’accompagnement des personnes en fin de vie, nous met sur la voie Comment voulez-vous que j’ose me confronter Ă  la douleur de cette famille qui vient de perdre sa vieille mĂšre quand le simple souvenir de la mort de la mienne me remplit de terreur ? » Nous dĂ©couvrons donc que quand un ĂȘtre humain se retrouve face Ă  une situation ou un Ă©vĂ©nement qui lui rappelle un vĂ©cu personnel traumatisant, il ne peut pas faire autrement que de le craindre pour lui-mĂȘme, mĂȘme s’il n’est pas, ici et maintenant, mis en cause. Parce que notre dĂ©veloppement, depuis l’enfance, se fait par cristallisation autour d’impressions emmagasinĂ©es dans l’inconscient, nos souvenirs traumatisants nous obligent Ă  agir en nous protĂ©geant afin d’apaiser une souffrance insupportable. Parce que la douleur de cette famille rappelle au psychisme de cette aide-soignante un souvenir personnel trop douloureux, elle ne peut pas agir autrement qu’en tentant de toutes ses forces de l’éviter. Ainsi, l’aidant en proie au malaise est animĂ© par une confusion des rĂŽles qui l’amĂšne Ă  redouter pour lui, ce qui arrive Ă  l’autre. Parfois, cette confusion des rĂŽles amĂšne l’aidant Ă  penser qu’il doit faire pour l’aidĂ© ce qui ne fait pas partie de sa tĂąche propre
 comme cette aide-soignante qui emporte rĂ©guliĂšrement chez elle pour le laver, le linge sale d’une pensionnaire seule au monde plutĂŽt que d’alerter sa Surveillante du problĂšme. Incapable de voir la limite de son rĂŽle, prenant sur elle » c’est-Ă -dire prenant contre elle », elle s’oblige contrainte par son idĂ©al de bonne » soignante Ă  faire ce qu’elle se reproche de n’avoir pas fait pour sa grand-mĂšre, par exemple. Cette confusion des rĂŽles fait que certains aidants ne peuvent pas vivre autre chose que de la pitiĂ© pour l’aidĂ©. Ainsi ce psychologue de ma connaissance qui, aprĂšs beaucoup d’hĂ©sitations, dĂ©cide d’aller rendre visite Ă  sa collĂšgue, victime d’une attaque cĂ©rĂ©brale et totalement paralysĂ©e dans son lit. Prenant son courage Ă  deux mains en fait, tentant d’agir contre sa peur, il se rend Ă  l’hĂŽpital pour dĂ©couvrir qu’il lui est impossible de pousser la porte de la chambre de sa collĂšgue malade et qu’il ne peut que rebrousser chemin. PoussĂ© par son Ă©motion de pitiĂ© qui le faisait souffrir de l’état de sa collĂšgue, ce psychologue a pensĂ© qu’il devait ĂȘtre capable d’aller la soutenir dans une situation aussi dramatique. La pitiĂ© est une Ă©motion nĂ©gative parce qu’elle nous fait agir non pas en harmonie avec nous-mĂȘme mais contraint, lĂ  encore, par notre idĂ©al. Il a donc couru Ă  l’échec et s’en est voulu culpabilitĂ© de n’ĂȘtre pas conforme Ă  l’image qu’il avait de lui et de ce dont devait ĂȘtre, Ă  ses yeux, capable un psychologue. Or ce n’est ni de souffrir de l’état de l’aidĂ©, ni de culpabiliser de ses incapacitĂ©s temporaires qui nous aidera Ă  aider ! Souffrir de la souffrance de l’autre ne rajoutera que de la souffrance Ă  la souffrance et rendra notamment l’aidant dĂ©pendant de son besoin de s’en protĂ©ger. Une fois encore, la confusion des rĂŽles animĂ©e par les bons sentiments » je dois ĂȘtre Ă  la hauteur
 empĂȘche celui qui veut aider de le faire. D’ailleurs, l’élĂšve infirmiĂšre en train de mourir1 dont nous parlions plus haut poursuit Ne nous disait-on pas, dans les cours de psychologie, que si on approche la pathologie du mourant avec sa propre pathologie, cela ne peut que nuire Ă  la relation d’accompagnement ? Et que pour pouvoir ĂȘtre au clair avec l’autre, il faut connaĂźtre ses propres sentiments ? » Ceci dit, la plupart des aidants, font par devoir, ou comme ils peuvent, avec la souffrance et la mort mais ils en crĂšvent », et soit se rĂ©fugient dans la dĂ©pression, soit dĂ©cident de s’endurcir en se convainquant qu’il leur faut prendre de la distance vis-Ă -vis de ceux qu’ils se proposent d’aider. La prise de distance est la solution que croit avoir trouvĂ©e l’aidant qui ne sait quoi faire d’autre pour se protĂ©ger d’une relation qui lui fait peur, soit parce qu’il redoute l’état de l’autre pour lui-mĂȘme, soit parce qu’il se sent en porte Ă  faux dans la relation honte, culpabilitĂ©. Incapable d’imaginer un autre comportement, il pratique la politique de l’autruche. Un peu comme une mĂšre qui, se sentant dĂ©munie devant les hurlements de son bĂ©bĂ©, fermerait la porte de sa chambre et se rĂ©fugierait dans le salon pour ne plus l’entendre. C’est parfois ce qui se passe dans les services de gĂ©riatrie ! La mise Ă  distance dans la relation d’aide est le sauve-qui-peut de l’aidant qui va peu Ă  peu se blinder au point de ne plus avoir la sensibilitĂ© suffisante pour ĂȘtre capable de discerner l’opportunitĂ© de ses interventions. C’est vrai que j’entends souvent dire de la part des personnes qui gĂšrent mal leur sensibilitĂ© qu’elles auraient rĂȘvĂ© d’ĂȘtre moins sensibles. Elles croient pouvoir fermer les vannes de leur sensibilitĂ© en parlant fort, regardant peu la personne qu’elles sont censĂ©es aider, et surtout en ne l’écoutant pas vraiment. En mettant de la distance, elles ne sont bien sĂ»r pas en mesure de lui rĂ©pondre de maniĂšre juste2. Comme telle infirmiĂšre qui, ne pouvant pas s’ouvrir Ă  la peine d’une personne ĂągĂ©e lui confiant en pleurant qu’elle aimerait voir son fils aĂźnĂ©, a cru pouvoir la consoler en lui disant de penser aux enfants de sa fille qui sont si mignons ». A votre avis, la vieille dame s’est-elle sentie comprise et a-t-elle Ă©tĂ© rĂ©confortĂ©e ? Loin des yeux, loin du cƓur », dit-on, la prise de distance endurcit. Avec beaucoup de sensibilitĂ©, la jeune infirmiĂšre qui m’a Ă©crit pressent le piĂšge en exprimant Je ne me vois pas faire ce travail avec un cƓur de pierre ! » La mise Ă  distance, mĂȘme si elle le protĂšge momentanĂ©ment, ne peut que frustrer l’aidant – qui s’éloigne en mĂȘme temps de ce qui l’a poussĂ© Ă  vouloir consacrer sa vie professionnelle Ă  s’occuper de ceux qui souffrent. Comment en effet concilier le souci de l’autre », le fait de s’impliquer suffisamment pour aider et la nĂ©cessitĂ© de se prĂ©server pour ne pas se perdre ? Peut-on encore parler de relation d’aide lorsque l’aidant ne s’implique qu’avec rĂ©ticence ? Une interview du DalaĂŻ Lama3 me revient en mĂ©moire Il m’est arrivĂ© de rencontrer des mĂ©decins qui travaillaient derriĂšre d’énormes machines en n’éprouvant apparemment aucune Ă©motion humaine ; ça fait une drĂŽle d’impression. Ces praticiens avaient peut-ĂȘtre de grandes capacitĂ©s professionnelles, mais ils ne m’inspiraient aucune confiance. » Et peut-on aller mieux si on n’a pas confiance dans la personne qui vous soigne ou vous accompagne ? J’en appelle Ă  l’expĂ©rience de chacun d’entre nous. Il vous est sans doute arrivĂ© de rencontrer des mĂ©decins pour lesquels vous n’étiez visiblement qu’une pathologie Ă  soigner et qui ne croyaient pas devoir prendre l’ĂȘtre humain en considĂ©ration. D’expĂ©rience, je me sens mieux soignĂ© par un mĂ©decin souriant, qui s’intĂ©resse Ă  mon cas en toute sincĂ©ritĂ©. » poursuit le DalaĂŻ Lama 3 . La relation d’aide demande donc,pour exister, l’authenticitĂ© et la sincĂ©ritĂ© de celui qui l’entreprend, car ce sont ces qualitĂ©s qui permettent en retour la nĂ©cessaire confiance de l’aidĂ© sans laquelle aucune aide ne peut aboutir. Comment alors ne plus courir le risque de se perdre dans la relation Ă  l’autre ? Il est dangereux pour nous comme pour ceux que nous prĂ©tendons aider d’entrer en relation d’aide sans s’y ĂȘtre prĂ©alablement prĂ©parĂ© ; le drame est que certains aidants, la tĂȘte bien pleine » de connaissances thĂ©oriques et techniques, dĂ©couvrent leurs malaises sur le tas, en situation d’aide. LĂ , en proie Ă  la peur quand ils veulent bien la reconnaĂźtre, ils n’ont pas d’autre recours que de cĂ©der Ă  la prise de distance, en se convainquant eux-mĂȘmes qu’ils doivent moins s’investir personnellement. Or c’est une lapalissade, la mise Ă  distance
 Ă©loigne ! Pour ne plus devoir se blinder, pour ne plus devoir mettre de la distance entre l’aidĂ© et nous, nous avons besoin d’apprendre Ă  entrer en relation d’aide. Ce n’est certes pas le fruit du hasard si la formation que j’anime depuis plus de 15 ans sur le thĂšme de l’accompagnement des mourants s’intitule Se prĂ©parer Ă  accompagner les mourants », et qu’on y pratique un certain nombre d’exercices dont celui de nous situer personnellement par rapport Ă  notre propre mort ou celui de faire le bilan de ses propres valeurs ». Car l’un des objectifs exprimĂ©s de cette formation est de permettre Ă  ceux qui y participent de commencer de rĂ©pondre Ă  certaines de leurs interrogations sur la mort comme d’engager un processus de rĂ©conciliation avec leur propre crainte de la mort. Accompagner la vie d’une personne jusqu’à sa mort, Ă©couter une femme ou un homme en proie au dĂ©sespoir d’avoir perdu celui qu’elle aime, accueillir un adolescent au bord du suicide ou recevoir la colĂšre d’un salariĂ© victime d’une injustice n’est possible pour un humain aidant que parce qu’il a fait lui-mĂȘme le plus gros du travail avec ses propres Ă©motions4. Sinon, de mĂȘme que l’aidĂ© non accueilli par l’aidant souffre, l’aidant non accueilli par lui-mĂȘme est en proie au mal-ĂȘtre qu’il projettera en retour sur l’aidĂ©. Comment travailler sur ses Ă©motions ? La premiĂšre chose Ă  Ă©tablir est que, quelle que soit l’émotion, si elle est lĂ , nous ne pouvons que composer avec elle. Parce que nous n’avons pas le pouvoir qu’elle ne soit pas lĂ , donc que nous ne pouvons pas l’éliminer, il nous reste comme seule possibilitĂ© de faire avec ». Faire avec » c’est devenir capable de ne pas rajouter un refus je ne devrais pas ressentir ce que je ressens donc une Ă©motion Ă  l’émotion premiĂšre ce que je sens. Prenons l’exemple de BĂ©atrice, une infirmiĂšre qui est particuliĂšrement touchĂ©e par le drame d’HervĂ©, 14 ans, atteint d’un cancer des os, qui a Ă©tĂ© successivement amputĂ© du pied droit, de la jambe et maintenant de la hanche et pour qui le pronostic est trĂšs sombre parce que des mĂ©tastases envahissent presque tous ses organes principaux. Une nuit, aprĂšs un sondage vĂ©sical, HervĂ© lui demande Tue-moi cette nuit pendant qu’il n’y a personne. » Premier cas de figure l’identification inconsciente. BĂ©atrice, qui ne se connaĂźt pas ne sait pas que si elle est littĂ©ralement terrorisĂ©e par la demande d’HervĂ©, au point de ranger rapidement le matĂ©riel et de sortir discrĂštement de sa chambre sans avoir dit un mot, c’est parce qu’elle l’associe Ă  ce qu’elle redoute le plus personnellement une souffrance telle qu’elle engendre une demande d’euthanasie. Elle n’a pas conscience que cette demande rĂ©veille en elle le formidable malaise qu’elle a vĂ©cu Ă  6 ans en secondant sa mĂšre auprĂšs de son grand-pĂšre qui criait toutes les nuits et suppliait qu’on mette fin Ă  ses souffrances atroces. Elle est donc la victime de ce qu’elle n’a pas reconnu en elle et qui est actif tant qu’il n’est pas reconnu ! Pire, elle rajoutera une difficultĂ© Ă  sa difficultĂ©, une souffrance Ă  sa souffrance, une Ă©motion Ă  son Ă©motion convaincue que la demande d’euthanasie d’un enfant de 14 ans est nĂ©cessairement horrible parce que c’est ce qu’elle craint le plus donc incapable d’y faire face, elle s’en voudra de son incapacitĂ© Ă  ĂȘtre Ă  la hauteur de la relation d’aide qui lui est demandĂ©e. CondamnĂ©e Ă  la fuite, elle sombrera dans la mauvaise conscience et la culpabilitĂ©. Cette situation est banale et habituelle. Quand elle se rĂ©pĂšte jour aprĂšs jour et annĂ©e aprĂšs annĂ©e ce qui est souvent le cas, elle mĂšne l’aidant au burn-out. Second cas de figure l’acceptation de soi et de ses limites. BĂ©atrice qui se connaĂźt, donc qui connaĂźt les principales causes de ses Ă©motions parce qu’elle les a Ă©tudiĂ©es sait que si elle est tellement affectĂ©e par la demande d’euthanasie de cet enfant, c’est parce qu’elle l’associe Ă  la mort douloureuse de son grand-pĂšre Ă  une Ă©poque de sa vie oĂč elle Ă©tait impuissante. Elle se sert alors de la connaissance qu’elle a d’elle-mĂȘme comme d’une force en ce sens qu’elle ne nie pas ce qui lui fait si peur et lui rappelle une telle souffrance elle ne rajoute pas un refus Ă  son Ă©motion, elle s’y ouvre, s’appuie dessus et tente de toute sa force d’accepter sa limite Ici maintenant, je suis ce que je suis, et il n’y a rien d’autre » ce qui, je me permets de vous le rappeler, ne laisse rien prĂ©sager du futur. La connaissance de soi permet d’ĂȘtre en contact avec la rĂ©alitĂ© de ce qui est dans l’instant, donc de ne plus avoir besoin de nos interprĂ©tations c’est trop horrible, cela ne devrait pas toucher des enfants – qui sont Ă  l’origine de nos Ă©motions perturbatrices ultĂ©rieures. Il est donc trĂšs important de garder Ă  l’esprit que si nous ne pouvons rien faire pour stopper nos Ă©motions premiĂšres, il est par contre en notre pouvoir d’agir pour Ă©viter qu’elles ne durent en se multipliant. Il est donc possible si nous nous donnons les moyens de l’accepter de laisser l’émotion perturbatrice simplement se dissoudre. BĂ©atrice donc, ayant acceptĂ© le jaillissement de sa mĂ©moire et n’y surajoutant aucun refus pourra rĂ©pondre en aidante » Ă  la demande de la situation en disant, par exemple, Ă  HervĂ© Je sens qu’on a besoin de parler tous les deux
 », elle pourra Ă©couter ce qu’il a besoin de dire de sa peur – Ă  lui – de souffrir et de mourir et cela lui permettra peut-ĂȘtre mĂȘme de rĂ©parer un peu
 en faisant avec HervĂ© ce qu’elle n’avait pas pu faire avec son grand-pĂšre. Quand l’ĂȘtre humain n’est plus en contradiction, divisĂ© contre lui-mĂȘme, il devient naturellement capable de faire ce qu’il faut » dans le cadre de son rĂŽle2, c’est-Ă -dire de ne plus devoir obĂ©ir Ă  ses contradictions internes. Je rĂ©capitule le travail de base pour un aidant est de gĂ©rer donc d’accepter ses propres Ă©motions pour qu’elles ne le troublent pas au point de l’empĂȘcher d’aider. L’aidant – au quotidien – se retrouve confrontĂ© aux Ă©motions des autres, il ne peut gĂ©rer cette confrontation avec bonheur que parce qu’il a appris Ă  gĂ©rer ses propres Ă©motions, sinon, il se perd dans celles des autres qu’il confond avec les siennes. L’idĂ©e selon laquelle il est souhaitable de mettre de la distance psychologique » dans la relation d’aide est donc un faux semblant et un leurre, un mensonge Ă  soi-mĂȘme, parce qu’en mettant cette distance nous ne faisons que conforter le malaise Ă©motionnel qui nous la fait mettre. Un peu comme un enfant qui se raconte Ă  lui-mĂȘme qu’il n’a pas peur
 alors qu’il tremble de peur. Pour nous comme pour les autres, seul l’accueil de l’émotion telle qu’elle est » est aidant ». Pour garder l’équilibre et ne pas sombrer dans le burn-out, l’aidant doit apprendre Ă  accueillir la vĂ©ritĂ© de ce qu’il vit, de ce qu’il sent, sans rien dissimuler, pour devenir capable d’accueillir ce que vit et sent l’aidĂ©. Tant que l’aidant vivra sa pratique professionnelle dans la crainte et la confusion des rĂŽles identification donc oubli de l’altĂ©ritĂ©5, il ne pourra pas ĂȘtre accueil » et se condamnera Ă  plus ou moins rejeter l’aidĂ© en s’en mĂ©fiant. Parce que l’aidant vivra dans sa chair, c’est-Ă -dire au plus profond du ressenti qu’il a de lui-mĂȘme, qu’il n’est pas l’aidĂ©, donc qu’il est distinct de lui,il n’aura plus le besoin de mettre de la distance vis-Ă -vis de lui. C’est parce qu’il n’y a plus de mĂ©prise ni de confusion possible entre l’aidant et l’aidĂ© qu’une ouverture plus grande est possible. L’aidant distinct de l’aidĂ© n’a plus besoin d’ĂȘtre distant de lui. Je redonne la parole Ă  l’élĂšve infirmiĂšre1 en train de mourir J’ai encore entre un et six mois Ă  vivre, un an peut-ĂȘtre, mais personne n’aime aborder ce sujet. Je me trouve donc en face d’un mur qui est tout ce qui me reste. Personne ne veut voir le malade mourant en tant qu’ĂȘtre humain et par consĂ©quent ne peut communiquer avec moi. » Pourquoi les soignants ne veulent-ils pas voir le malade mourant comme un humain ? Parce qu’ils en ont peur. Pourquoi en ont-ils peur ? Parce qu’ils sont dans la confusion entre eux et lui. S’ils remettent les choses Ă  leur place Je suis moi, il est lui, ils vont pouvoir s’ouvrir au malade tel qu’il est. Pour pouvoir communiquer avec l’aidĂ©, il est nĂ©cessaire de le voir, de l’apprĂ©hender tel qu’il est ». Si, sur un champ de bataille, la plaie d’un enfant – occasionnĂ©e par un obus – rend un secouriste trop mal Ă  l’aise, il ne pourra pas le soigner. Pour qu’il puisse soigner cet enfant, ce secouriste doit accepter, de tout son ĂȘtre, d’avoir Ă©tĂ© touchĂ© par lui, ce qui lui permettra de sentir qu’il n’est pas cet enfant blessĂ© et, l’ayant senti les rĂŽles de chacun Ă©tant clairement dĂ©limitĂ©s, de faire tout ce qui est en son pouvoir pour l’aider distinct mais non distant. Cette attitude d’acceptation lucide de l’aidĂ© distinct permettra aux aidants de ne plus avoir besoin de mettre de la distance, d’entrer dans une relation d’aide donc dans une relation humaine. Je vous propose une dĂ©finition simple de la relation aidante au niveau psychologique Aider l’autre, c’est lui permettre de dĂ©tendre ses tensions. » Pour permettre Ă  l’aidĂ© de se dĂ©tendre, nous avons Ă  lui montrer notre chaleur humaine, Ă  nous intĂ©resser Ă  lui en toute sincĂ©ritĂ©. Cette fameuse lettre de l’ Ă©lĂšve infirmiĂšre1 en train de mourir le dit avec simplicitĂ© Si nous pouvions seulement ĂȘtre honnĂȘtes, admettre nos peurs, nous toucher mutuellement. Votre professionnalisme serait-il vraiment menacĂ© si vous alliez jusqu’à pleurer avec moi ? Est-il vraiment exclu que nous communiquions vraiment pour qu’à l’heure oĂč ce sera mon tour de mourir Ă  l’hĂŽpital, j’aie auprĂšs de moi des amies ? » Attention la confusion est sous roche
 j’entends penser certains de mes lecteurs
 Alors si je comprends bien, il faut pleurer avec ceux qui pleurent
 qu’allons-nous devenir ! Et puis pourquoi devrions-nous ĂȘtre les amis de ceux qui vont mourir ?! » La principale qualitĂ© de l’aidant Ă©tant l’honnĂȘtetĂ©, il n’est pas question de jouer » avec l’aidĂ©. Etre honnĂȘte, c’est oser ĂȘtre ce que l’on est. Je m’explique si en face de cette personne souffrante, vous n’éprouvez aucune Ă©motion particuliĂšre, il n’y a aucun problĂšme le problĂšme serait de penser devoir en ressentir une, ici maintenant, l’aidant ne peut aider que sur la base de ce qu’il est. Mais si – par contre – en face de cette personne souffrante, vous Ă©prouvez une Ă©motion de tristesse par exemple, cela n’est pas un problĂšme non plus le problĂšme serait de penser devoir la lui cacher, un aidant peut, bien sĂ»r, ĂȘtre touchĂ© dans son humanitĂ© et s’il accepte d’ĂȘtre l’aidant qu’il est, il renverra Ă  l’aidĂ© une image congruente, conforme Ă  ce qu’il est, par exemple celle d’un aidant momentanĂ©ment en proie Ă  la tristesse. Souvenons-nous que ce ne sont pas nos Ă©motions qui nous usent en fait elles nous aident Ă  vivre en nous permettant de gĂ©rer des situations mais leur refus. L’émotion de tristesse devant l’aidĂ© n’est pas le problĂšme, le problĂšme serait son refoulement Ă  travers la honte de soi. Sur le visage d’un aidant, touchĂ© par le vĂ©cu de l’aidĂ©, une larme coule. Parce qu’il l’accepte, cette larme n’est pas un problĂšme pour lui, elle peut mĂȘme faire sentir Ă  l’aidĂ© combien son histoire l’a touchĂ©. Cela s’appelle la compassion, et c’est Ă  ce moment que l’aidant et l’aidĂ© sont vrais » unis dans leur humanitĂ©. Cette relation vraie » permettra Ă  l’aidĂ© de se sentir accueilli, donc de pouvoir partager en retour ce qui lui est intime et le touche profondĂ©ment. La relation d’aide ne doit pas se conjuguer en termes de il faut » mais en termes de je peux »  alors j’y vais. En fait – et peut-ĂȘtre contre toute attente – nos Ă©motions d’aidants ne sont pas des obstacles Ă  la relation d’aide car elles sont la part humaine Ă  travers laquelle nous nous exprimons. J’ai envie de partager avec vous cette interview du Dr. Baghded Sereir, mĂ©decin dans un service de cancĂ©rologie, que j’ai retranscrite Ă  partir du film de Jean-Xavier de Lestrade La vie jusqu’au bout 6 » Question du journaliste Vous rĂ©agissez d’abord en tant qu’humain ou en tant que mĂ©decin ? Ou c’est la mĂȘme chose ? Le Dr. Sereir Pas forcĂ©ment, mais je ne pense pas que ce soit la mĂȘme chose, comme je fonctionne, c’est en tant qu’humain d’abord. Ce que je pense primordial en fin de vie, c’est l’aspect humain qui prime sur tous les autres. C’est Ă  partir de ce contact humain qu’on pourra mettre en place tout ce qui est secondaire et nĂ©anmoins trĂšsimportant, le cĂŽtĂ© technique, soulagement et accompagnement. Le journaliste Le fait de cĂŽtoyer la mort des autres vous a rendu plus humain ? Le Dr. Sereir Plus que ça, pas seulement humain dans le sens oĂč on comprend et on essaye de remĂ©dier Ă  la souffrance de l’autre, oĂč on essaye d’apporter une certaine chaleur. C’est presque un honneur, d’ĂȘtre, de partager un certain nombre de choses, d’ĂȘtre acceptĂ©, Ă  ce moment lĂ  par celui qui finit sa vie. Moi, j’ai appris ça en Ă©tant Ă  cĂŽtĂ© des gens en fin de vie qui Ă©taient dĂ©bordants d’émotions, d’intelligence, de crĂ©ativitĂ©. Et cette gĂ©nĂ©rositĂ© qu’on nous donne une fois, fait qu’on laisse un petit peu la carapace tomber. » Que se passera-t-il au moment oĂč, plutĂŽt que de la renforcer, nous oserons laisser un petit peu la carapace tomber » ? Non, nous ne tomberons pas dans la dĂ©pression j’espĂšre vous avoir fait sentir que la dĂ©pression du burn-out est le rĂ©sultat du refoulement de nos propres peurs, au contraire nous nous ouvrirons encore davantage, en ressentant au fond de nous que nous sommes des privilĂ©giĂ©s de pouvoir travailler dans un tel contexte. Mais le Dr. Sereir le dit tellement mieux que moi Le journaliste A aucun moment vous n’avez imaginĂ© partir d’ici, fuir cet endroit ? Le Dr. Sereir Non, au contraire. Non, pas du tout. Mais c’est vrai, quand on parle Ă  des collĂšgues, Ă  ceux qui n’ont pas cĂŽtoyĂ© ces maladies graves, ces fins de vie, c’est vrai qu’il y a une Ă©tape Ă  franchir qui est celle-lĂ . Accepter ses propres faiblesses, retrouver un Ă©quilibre avec soi-mĂȘme pour pouvoir apporter quelque chose aux autres. S’accepter dĂ©jĂ  en tant que quelqu’un qui finira un jour et accepter la mort comme une fin pour nous tous. En fait, il faut avoir une certaine philosophie de la vie, et la mienne rejoint ce que je fais. Je ne me sens pas malheureux de faire ça. Au contraire, je pense que c’est une chance, c’est une chance de pouvoir faire ça. » Je vous souhaite donc – Ă  vous jeune infirmiĂšre qui avez partagĂ© avec moi votre errance – de lui trouver un sens, c’est-Ă -dire de comprendre ce qui en vous vous entraĂźnerait Ă  devoir vous endurcir plutĂŽt qu’à accepter les dĂ©cĂšs auxquels vous ĂȘtes confrontĂ©e car, je suis d’accord avec vous, il n’est pas possible de faire ce travail avec un cƓur de pierre. Laisser les problĂšmes au boulot » n’est que le conseil simpliste de ceux qui, ne savent pas gĂ©rer les leurs. Laisser les problĂšmes au boulot » n’est tout simplement pas possible car avoir un problĂšme, c’est avoir quelque chose qui nous trotte dans la tĂȘte et, quand cela nous arrive, nous n’avons pas la possibilitĂ©, la libertĂ© de le mettre de cĂŽtĂ© ! Par contre il est possible plutĂŽt que de le laisser trotter dans notre tĂȘte, de nous y confronter afin de le voir comme inhĂ©rent Ă  notre pratique, puis de l’accepter comme tel pour qu’enfin il se dissolve. C’est la confrontation Ă  nos difficultĂ©s qui nous permettra de les rĂ©soudre, rien d’autre. Comme nous l’avons vu, avec le cas BĂ©atrice, c’est quand elle s’est confrontĂ©e Ă  ses propres Ă©motions, qu’elle a pu agir vraiment de maniĂšre juste en faisant sentir Ă  HervĂ© qu’elle le comprenait. Votre travail demande votre bonne volontĂ©, votre honnĂȘtetĂ© notamment vis-Ă -vis de vos propres sentiments et votre ouverture. Souvenez-vous que vos Ă©motions – comme les Ă©motions des autres – ne sont problĂ©matiques pour vous que parce que vous ne les acceptez pas la difficultĂ© ne rĂ©side donc pas dans vos conditions de travail aussi dures soient-elles mais en vous. Remarquez que c’est une bonne nouvelle car s’il n’est pas possible de changer ce qui n’est pas de notre ressort, il nous est possible d’évoluer, si nous le souhaitons vraiment. Posez-vous la question de votre paradoxe Qu’est-ce qui, dans mon histoire personnelle, fait – qu’ayant souhaitĂ© du fond de moi-mĂȘme ĂȘtre infirmiĂšre donc m’attendant Ă  ĂȘtre confrontĂ©e Ă  la souffrance et Ă  la mort – je me retrouve devant un si grand malaise, voire une impossibilitĂ© Ă  accepter la mort de l’autre ? Quand vous dites que vous savez que le dĂ©clenchement de votre torticolis Ă©tait liĂ© Ă  votre refus de voir mourir une jeune fille de 19 ans, c’est trĂšs intĂ©ressant. Et si vous voulez – Ă  l’avenir – ne plus avoir besoin de dĂ©clencher un torticolis, il faut aller voir plus profond en vous. D’oĂč provient ce sentiment de rĂ©volte ? Comprenez bien que si vous souhaitez, dans le futur, ĂȘtre capable d’accompagner une jeune personne qui va mourir jusqu’à sa fin, vous devez comprendre ce qui vous en empĂȘchait auparavant. Il est Ă©galement important que vous voyiez que vos rĂ©actions Ă©motionnelles concernant votre entourage proche votre ami sont normales tant que vous n’apprenez pas Ă  gĂ©rer seule, ou avec un thĂ©rapeute bien choisi, votre malaise, mĂȘme si je comprends que vous dĂ©sireriez que cela se passe autrement. Vous faites comme vous pouvez et vous en vouloir ne fait que rajouter une seconde Ă©motion Ă  une premiĂšre Ă©motion. Encore une fois gĂ©rer ses Ă©motions et la culpabilitĂ© en est une, c’est les intĂ©grer et non pas les juger en les critiquant ce qui revient Ă  les refouler. Un mot encore, comme vous le dites si bien Je crois tout simplement que j’aurai besoin d’en parler. », je suis d’accord, lĂ  aussi, avec vous et c’est pour cela que le Groupe de Parole est si prĂ©cieux7 pour ceux qui travaillent dans un contexte professionnel potentiellement chargĂ© en Ă©motions ! A vous infirmiĂšre depuis prĂšs de 20 ans », je souhaite que cette alerte, cette dĂ©pression, ce burn-out, vous aide Ă  sentir qu’il est possible d’aider sans se perdre notamment en comprenant comment vous vous y ĂȘtes prise pour vous perdre. C’est ce travail qu’à mon sens vous aurez Ă  entreprendre si vous voulez aller au-delĂ  de votre symptĂŽme de dĂ©pression. Pourquoi la mort et la souffrance vous sont-elles devenues insupportables Ă  vous ? Cela ne vous sera possible de le comprendre que sur la base du respect de ce que vous ĂȘtes et de ce que vous vivez. Puissiez-vous ĂȘtre Ă©tonnĂ©e, bousculĂ©e par les propos du Dr. Sereir citĂ©s plus haut Je pense que c’est une chance, c’est une chance de pouvoir faire ça. » Non, ce mĂ©decin n’est ni fou ni inconscient, il avance comme il le peut, ici maintenant, en s’ouvrant Ă  l’immensitĂ© de la souffrance Ă  laquelle il est confrontĂ©. Cet homme a compris que son acceptation est le garant de sa capacitĂ© Ă  aider et Ă  soulager la souffrance de l’autre. Puissent ses propos vous aider Ă  retrouver espoir et confiance en vous. Notes 1 Lettre d’une Ă©lĂšve infirmiĂšre en train de mourir, voir la nouvelle et libre traduction, sur mon blog ICI. 2 Voir mon article intitulĂ© RĂ©ponses aidantes ou maladresses nuisibles ? ». 3 Interview accordĂ©e par le DalaĂŻ Lama Ă  Fabien Ouaki, en 1996, pour son livre “La vie est Ă  nous”. 4 Voir les articles intitulĂ©s Voir ses schĂ©mas Ă  l’Ɠuvre pour y renoncer » et Comment devenir soi-mĂȘme ? » 5 Voir la rĂ©flexion sur l’attachement, au dĂ©but de mon article intitulĂ© Le travail de deuil ». 6 Film de 65 mn, de Jean-Xavier de Lestrade, diffusĂ© le 8 septembre 1998 sur France 3. Au Centre MĂ©dical SpĂ©cialisĂ© en CancĂ©rologie et en hĂ©matologie Praz-Coutant dans l’IsĂšre, 500 patients sont traitĂ©s par an. Certains, trop gravement atteints, y finissent leurs jours. C’est l’opportunitĂ© pour le rĂ©alisateur de poser des questions essentielles Quelle attitude adopter face Ă  celui qui va mourir ? Lorsque l’on est mĂ©decin ou parent proche comment affronter l’angoisse de celui qui va nous quitter ?Comment faire face Ă  la mort lorsque l’on sait la sienne si imminente ? Un film lumineux sur l’accompagnement. 7 Voir mes articles intitulĂ©s Le dĂ©fi de l’aidant » et Le Groupe de Parole et d’Analyse de la Pratique de la Relation d’Aide ». © 2006 Renaud PERRONNET Tous droits rĂ©servĂ©s. ————– Moyennant une modeste participation aux frais de ce site, vous pouvez tĂ©lĂ©charger l’intĂ©gralitĂ© de cet article 11 pages au format PDF, en cliquant sur ce bouton —————- Pour aller plus loin, vous pouvez tĂ©lĂ©charger les fiches pratiques inĂ©dites 5 points pour ĂȘtre en harmonie avec soi-mĂȘme et les autres Comment s’y prendre avec un aidĂ© agressif ? Apprendre Ă  se dĂ©tendre La ligne de conduite de l’écoute ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d’accompagnement psychothĂ©rapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes rĂ©ponses. Avertissement aux lectrices et aux lecteurs Il est possible que les idĂ©es Ă©mises dans ces articles vous apparaissent osĂ©es ou dĂ©concertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expĂ©rience, je ne vous invite pas Ă  croire ces idĂ©es parce qu’elles sont Ă©crites, mais Ă  vĂ©rifier par vous-mĂȘme si ce qui est Ă©crit et que peut-ĂȘtre vous dĂ©couvrez est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions et peut-ĂȘtre de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes. Cliquez ici pour en savoir plus sur qui je suis Cliquez ici pour en savoir plus sur Évolute Conseil
DĂ©velopper la capacitĂ© Ă  apprendre de ses erreurs. ‱ DĂ©velopper des stratĂ©gies pour demander de l’aide. ‱ Participer aux activitĂ©s scolaires. ‱ AmĂ©liorer son apparence physique. 1.4 MOTIVATION ‱ ReconnaĂźtre des agents motivateurs Ă  travers les exigences rencontrĂ©es.
La rĂ©gulation des Ă©motions fait partie de notre vie quotidienne et elle participe Ă  notre santĂ© mentale. La capacitĂ© Ă  gĂ©rer ses propres Ă©motions peut ĂȘtre un vĂ©ritable atout, car elle rend moins vulnĂ©rable Ă  des rĂ©actions excessives et Ă  ses consĂ©quences. A contrario, l’altĂ©ration de cette fonction peut jouer des tours » en cas de situations Ă©motionnelles et crĂ©er des difficultĂ©s dans les relations personnelles, professionnelles ou en cas de prise de dĂ©cision. En identifiant la rĂ©gion clĂ© du cerveau spĂ©cifique Ă  cet auto-contrĂŽle des Ă©motions, ces chercheurs de l’University College London livrent une cible thĂ©rapeutique possible pour aider certaines personnes Ă  gĂ©rer des situations fortement Ă©motionnelles. Conclusions dans la revue Brain Structure and Function. Leur dĂ©couverte ? Des zones diffĂ©rentes du cerveau sont activĂ©es quand nous choisissons de supprimer une Ă©motion ou quand on nous demande d'inhiber une Ă©motion. Pour y parvenir, les chercheurs ont scannĂ© les cerveaux de participants en bonne santĂ© et constatent qu'une zone clĂ© du cerveau est activĂ©e au moment de dĂ©cider, soi-mĂȘme, de supprimer une Ă©motion. Cette zone du cerveau Ă©tait connue, auparavant, pour son rĂŽle dans la dĂ©cision d'arrĂȘter un mouvement. Le Dr Simone Kuhn, de l'UniversitĂ© de Ghent, rappelle, que dans la vie de tous les jours, on nous contraint souvent Ă  refreiner nos Ă©motions et il est plus rare qu'on s'en intime l'ordre soi-mĂȘme. Or dans la plupart des Ă©tudes prĂ©cĂ©dentes sur le self-control », on demandait aux participants d'exprimer ou d'inhiber une rĂ©action Ă©motionnelle. Dans cette nouvelle Ă©tude, une quinzaine de participantes en bonne santĂ© ont visionnĂ© des images dĂ©sagrĂ©ables ou effrayantes avec le choix de se laisser aller Ă  l'Ă©motion suscitĂ©e par l'image ou d'inhiber volontairement leur Ă©motion en se distanciant par un acte d'auto-contrĂŽle ou encore avec l'ordre de refreiner leurs Ă©motions. Durant l'expĂ©rience, leurs cerveaux Ă©taient analysĂ©s par imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique fonctionnelle IRMf. Lorsque les participantes font le choix, par elles-mĂȘmes de contrĂŽler leur Ă©motion, les chercheurs repĂšrent une activation dans . Lorsque les participantes sont invitĂ©es par le chercheur Ă  contrĂŽler leur Ă©motion, c'est la zone, du cortex prĂ©frontal dorsolatĂ©ral qui a Ă©tĂ© activĂ©e. Si les 2 zones sont distinctes, il existe nĂ©anmoins un recouvrement, expliquent les auteurs. Mais la distinction peut ĂȘtre faite entre la capacitĂ© de self-control et la capacitĂ© Ă  suivre des instructions. Ce mĂ©canisme du cerveau identifiĂ© pourrait ĂȘtre une cible potentielle pour des interventions permettant de surmonter la dĂ©tresse Ă©motionnelle face Ă  certaines situations, parfois courantes de la vie personnelle ou professionnelle. Source Brain Structure and Function May 2013 Differences between endogenous and exogenous emotion inhibition in the human brain Visuel © cynoclub - AccĂ©der aux derniĂšres actus en “Psycho” Lire aussi PSYCHO Self-control, pourquoi notre cerveau ne gĂšre pas toujours – PSYCHO Et si les Ă©motions Ă©taient contagieuses? -

LarĂ©gulation des Ă©motions permet de rĂ©duire la vulnĂ©rabilitĂ© aux Ă©motions non-dĂ©sirĂ©es en les reconnaissants et en nous aidant Ă  pouvoir choisir d’agir en fonction de l’émotion ou de s’y opposer. Elle augmente ainsi la rĂ©silience Ă©motionnelle. Bien que la TCD comprenne d’autres compĂ©tences, comme la tolĂ©rance Ă  la

Une capacitĂ© ou attaque move en anglais est le moyen utilisĂ© par les PokĂ©mon pour combattre. Habituellement, chaque PokĂ©mon lance une capacitĂ© par tour sous l'impulsion de son dresseur ou seul dans le cas des PokĂ©mon sauvages. Les capacitĂ©s peuvent avoir des effets trĂšs divers blesser l'ennemi, augmenter ou baisser une statistique, provoquer un changement de statut, se soigner, etc. Certaines peuvent mĂȘme ĂȘtre utilisĂ©es hors-combat. CaractĂ©risation des capacitĂ©s[modifier] Chaque capacitĂ© peut ĂȘtre diffĂ©renciĂ©e selon un certain nombre de critĂšres qualitatifs, permettant d'Ă©valuer plus facilement l'intĂ©rĂȘt de celle-ci. Bien souvent, ces critĂšres permettent de comparer plusieurs capacitĂ©s entre elles, afin de dĂ©terminer judicieusement quelle capacitĂ© utiliser Ă  un moment donnĂ© ou encore laquelle conserver. DonnĂ©es de combat[modifier] Les combats formant la principale quĂȘte des dresseurs dans le monde des PokĂ©mon, il n'est pas Ă©tonnant de retrouver la majeure partie des caractĂ©ristiques associĂ©es Ă  ce domaine. Ainsi, pour faire simple, il est possible de distinguer Principalement le type, la puissance, la prĂ©cision, la catĂ©gorie depuis la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration, cette donnĂ©e ayant Ă©tĂ© dissociĂ©e du type et finalement les PP ; Plus secondairement les cibles affectĂ©es, le fait qu'une capacitĂ© puisse ĂȘtre directe, le taux de coups critiques, etc. ; Finalement, il faut noter que l'effet associĂ© Ă  la capacitĂ© est Ă©galement essentiel, mĂȘme si moins facilement classable au vu de la variĂ©tĂ© des effets proposĂ©s comme une baisse de stats dans le cas par exemple de TempĂȘte Verte. Types et catĂ©gories[modifier] De mĂȘme que les PokĂ©mon, chaque capacitĂ© se voit attribuer un type unique, contrairement Ă  certains PokĂ©mon qui peuvent en avoir deux. Les types forment des bases Ă©lĂ©mentaires du choix des capacitĂ©s notamment lorsqu'elles sont offensives, donc Il faut Ă©viter de prendre deux capacitĂ©s de mĂȘme type mĂȘme si de catĂ©gories diffĂ©rentes pour une meilleure couverture de type ; Aussi, des capacitĂ©s du mĂȘme type que du lanceur, bĂ©nĂ©ficiant ainsi du STAB seraient favorables Ă  savoir, une puissance multipliĂ©e par 1,5. En parallĂšle, il est possible de remarquer une notion de catĂ©gorie les capacitĂ©s offensives sont triĂ©es dans les catĂ©gories physique et spĂ©ciale. La diffĂ©rence principale Ă  retenir se situe dans les statistiques utilisĂ©es pour le calcul des dĂ©gĂąts dans le cas des capacitĂ©s physiques, ce sont les statistiques d'attaque du PokĂ©mon offensif et de dĂ©fense du PokĂ©mon dĂ©fensif qui seront pris en compte. Dans le cas des capacitĂ©s de catĂ©gorie spĂ©ciale, ce sont respectivement les statistiques d'Attaque spĂ©ciale et de DĂ©fense SpĂ©ciale. Choc Psy, Lame Ointe et d'autres capacitĂ©s prennent en compte l'attaque spĂ©ciale contre la dĂ©fense adverse. Jusqu'Ă  la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration, ces catĂ©gories Ă©taient entiĂšrement liĂ©es au types de la maniĂšre suivante Mais depuis PokĂ©mon Diamant et Perle, ces notions sont devenues totalement indĂ©pendantes. La catĂ©gorie Statut, qui Ă©tait presque inutilisĂ©e jusqu'ici ne contenait que MalĂ©diction, cependant cette capacitĂ© est depuis la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration de type Spectre, accueille dĂ©sormais toutes les capacitĂ©s non-offensives. Mais pour les capacitĂ©s offensives, si le PokĂ©mon est largement meilleur en attaque qu'en attaque spĂ©ciale, mieux vaut privilĂ©gier les capacitĂ©s physiques et vice-versa. Les types Acier et TĂ©nĂšbres sont apparus avec la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration. Le type FĂ©e Ă©tant apparu avec la sixiĂšme gĂ©nĂ©ration, il ne peut ĂȘtre classĂ© dans les trois catĂ©gories prĂ©cĂ©dentes. Puissance, PrĂ©cision et PP[modifier] Chaque capacitĂ© est dotĂ©e d'une prĂ©cision et d'un nombre de PP prĂ©cis, ainsi que d'une puissance dans le cas des capacitĂ©s offensives Il ne faut pas oublier que la puissance peut ĂȘtre soumise Ă  de trĂšs nombreuses modifications lors du calcul des dĂ©gĂąts. Il faut notamment penser au STAB, au climat, etc. La puissance est donc une statistique de base pouvant ĂȘtre modifiĂ©e par plusieurs facteurs ; La prĂ©cision est exprimĂ©e en pourcentage. Elle calcule les chances de rĂ©ussites qu'une capacitĂ© soit lancĂ©e. Les chances de rĂ©ussite peut ĂȘtre aussi modifiĂ©es par plusieurs facteurs. Certaines capacitĂ©s ont de base une prĂ©cision trĂšs basse et ont donc peu de chances de rĂ©ussir. Ces capacitĂ©s-lĂ  sont donc Ă  Ă©viter. ; les PP correspondent au nombre de fois qu'une capacitĂ© est utilisable. Les PP sont Ă©galement augmentables jusqu'Ă  60 % en plus de la valeur de base via les objets PP Plus et PP Max. Il est donc important de rĂ©ussir faire un compromis entre les trois valeurs lorsque le joueur choisit une capacitĂ©. Il est souvent tentant de prendre des capacitĂ©s trĂšs puissantes, mais ce sont souvent des capacitĂ©s imprĂ©cises et trĂšs limitĂ©es en PP. Si le joueur n'arrive pas Ă  se dĂ©cider, il faut prendre l'exemple d'un PokĂ©mon comme Tortank, pour les capacitĂ©s Surf et Hydrocanon CapacitĂ© Type CatĂ©gorie Puissance PrĂ©cision PP Hydrocanon 110 80% 5 Surf 90 100% 15 Puisqu'une capacitĂ© manquĂ©e Ă©quivaut Ă  un zĂ©ro pointĂ©, il peut ĂȘtre considĂ©rĂ© que Hydrocanon aura une puissance de 110 puissance basique × 1,5 STAB × 0,8 prĂ©cision, soit 132 ; Surf aura une puissance de 90 puissance basique × 1,5 STAB × 1 prĂ©cision, soit 135. Donc la capacitĂ© Surf est plus efficace qu'Hydrocanon. À noter que jusqu'Ă  la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration, Hydrocanon avait une puissance de 120, en multipliant par le STAB et la prĂ©cision on obtenait 144; quant Ă  la capacitĂ© Surf, elle avait 95 de puissance soit 142,5 d' "efficacitĂ©"; Hydrocanon Ă©tait donc plus efficace, sauf qu'avec ses 5 PP, le joueur tomberait rapidement Ă  court. Pour une diffĂ©rence de puissance aussi modeste comme dans ce cas, mieux vaut utiliser la capacitĂ© ayant le plus de PP, ici Surf. Effets[modifier] En parallĂšle, il n'est pas rare de voir les capacitĂ©s munies d'autres effets. En gĂ©nĂ©ral, pour les capacitĂ©s offensives, ces effets ont des probabilitĂ©s de se produire plutĂŽt basses de l'ordre de 10%, soit une chance sur 10 et se limitent Ă  Modifier les statistiques que ce soient les siennes ou celles de l'adversaire. Il faut penser par exemple Ă  Psyko pouvant rĂ©duire la dĂ©fense spĂ©ciale du PokĂ©mon en face, ou encore Ă  Pouvoir Antique augmentant parfois toutes les statistiques en un coup. AltĂ©rer le statut adverse par exemple, les capacitĂ©s de type Feu sont amenĂ©s Ă  brĂ»ler l'adversaire, tout comme les capacitĂ©s glace Ă  le geler, ou encore les capacitĂ©s Ă©lectriques peuvent paralyser, certaines capacitĂ©s peuvent aussi apeurer Éboulement, etc., rendre confus Uppercut, etc., etc. ; Mais aussi prendre des PV de dĂ©gĂąts sur le contrecoup de certaines capacitĂ©s BĂ©lier, Boutefeu, etc.. Ainsi qu'aspirer des PV Ă  l'adversaire Vol-Vie, Encornebois, etc.. Mais du cĂŽtĂ© des capacitĂ©s non-offensives, les possibilitĂ©s d'effets sont plus vastes, n'Ă©chouant presque jamais Certaines capacitĂ©s augmentent les statistiques Danse-Lames, Gonflette, HĂąte, etc. ou les baissent Rugissement, Strido-Son, etc. ou transmettre ces changements Relais. ; D'autres peuvent gĂȘner l'adversaire en perturbant ses PokĂ©mon via des changements de statut Toxik, Cage-Éclair, Vantardise, etc. ; Certaines capacitĂ©s peuvent Ă©galement soigner le PokĂ©mon attaquant ainsi que le reste de l'Ă©quipe Repos, Soin, VƓu, Glas de Soin, etc. ; Elle peuvent aussi se dĂ©barrasser des adversaires problĂ©matiques Hurlement, Cyclone, etc. ; PiĂ©ger l'ennemi avec Picots, Pics Toxik ou encore PiĂšge de Roc ; S'offrir une protection Abri, Clonage, Mur LumiĂšre, etc. ; Changer ou ajouter un type au lanceur ou Ă  l'adversaire DĂ©trempage, Halloween, Conversion, etc. ; etc. ProblĂšme de statut. Se dĂ©barrasser d'un gĂȘneur. Mauvaise surprise. Vol de PV. Soins individuels. Soins pour toute l'Ă©quipe. Ces capacitĂ©s Ă  effets constituent la base de la stratĂ©gie PokĂ©mon. Utiliser seulement des capacitĂ©s qui font de gros dĂ©gĂąts est une mauvaise façon de procĂ©der. Il est nĂ©cessaire de dĂ©finir des rĂŽles et movesets prĂ©cis afin de monter une Ă©quipe compĂ©titive. CaractĂ©ristiques secondaires[modifier] À ces caractĂ©ristiques principales, il est notamment possible de rajouter d'autres Ă©lĂ©ments pouvant avoir leur importance dans un contexte donnĂ© comme le climat, etc. Cibles affectĂ©es en double/triple combat[modifier] Cette donnĂ©e a son importance depuis la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration et l'avĂšnement des match en 2 vs 2. En effet, les capacitĂ©s peuvent parfois toucher plusieurs PokĂ©mon, ce qui peut les rendre d'autant plus intĂ©ressantes pour des joueurs de ce format. Les cibles suivantes peuvent ĂȘtre dĂ©finies les notations adoptĂ©es ici sont celles retrouvables dans la liste des capacitĂ©s lanceur la capacitĂ© ne concerne que le lanceur de cette derniĂšre. C'est notamment le cas des capacitĂ©s d'augmentation de statistiques ; 1 la capacitĂ© ne touche qu'un seul PokĂ©mon. 2 les deux PokĂ©mon adverses seront affectĂ©s par la capacitĂ© cas d'Éboulement, Éruption ou encore GiclĂ©do 3 tous les PokĂ©mon mis Ă  part le lanceur pourront ĂȘtre touchĂ©s Surf et SĂ©isme sont au rayon des capacitĂ©s les plus courantes ; Tous tous les PokĂ©mon sur le terrain seront affectĂ©s Requiem, Champ Herbu, changements de climat, etc. ; Équipe toute l'Ă©quipe du PokĂ©mon utilisant la capacitĂ© est directement concernĂ©e Glas de Soin, AromathĂ©rapie, etc. ; ? dans d'autres cas rares, il arrive qu'il ne soit pas possible de dĂ©terminer Ă  l'avance les adversaires pouvant ĂȘtre touchĂ©s. C'est le cas des capacitĂ©s basĂ©es sur l'alĂ©a comme Blabla Dodo ou MĂ©tronome parmi d'autres. Taux de coups critiques[modifier] Les capacitĂ©s suivantes ont un taux de coups critiques doublĂ©. Il est ainsi Ă©gal Ă  12,5% au lieu des 6,25% habituels CapacitĂ© Type CatĂ©gorie Puissance PrĂ©cision PP Cible AĂ©roblast 100 95% 5 1 Appel Attak 90 100% 15 1 Coup-Croix 100 80% 5 1 Coupe Psycho 70 100% 20 1 Coupe-Vent 80 100% 10 2 Griffe Ombre 70 100% 15 1 Lame de Roc 100 80% 5 1 Lame-Feuille 90 100% 15 1 Poing-KaratĂ© 50 100% 25 1 Pied BrĂ»leur 85 90% 10 1 Pince-Masse 90 85% 10 1 PiquĂ© 140 90% 5 1 Poison-Croix 70 100% 20 1 Queue-Poison 50 100% 25 1 Spatio-Rift 100 95% 5 1 Tir de PrĂ©cision 80 100% 15 1 Tranch'Air 60 95% 25 2 Tranch'Herbe 55 95% 25 2 Tranche 70 100% 20 1 Tranche-Nuit 70 100% 15 1 Tunnelier 80 95% 10 1 CapacitĂ© directe[modifier] Les capacitĂ©s directes sont les capacitĂ©s dĂ©finies comme Ă©tablissant un contact avec l'adversaire lorsqu'elles sont effectuĂ©es. Ainsi, des capacitĂ©s comme Tacle Feu, Aile d'Acier ou Crocs Givre peuvent ĂȘtre logiquement reconnues comme des capacitĂ©s directes. Ce caractĂšre, trĂšs secondaire, peut engendrer l'activation de certains talents Corps Ardent, Joli Sourire, Point Poison, Pose Spore, Statik et ainsi de suite. Apprentissage et modifications des capacitĂ©s[modifier] Durant leur croissance et leur entraĂźnement, les PokĂ©mon seront amenĂ©s Ă  apprendre diffĂ©rentes capacitĂ©s l'ensemble des capacitĂ©s qu'un PokĂ©mon peut apprendre est appelĂ© movepool. Cependant, dans les diffĂ©rents jeux vidĂ©o, les PokĂ©mon ne pourront en conserver que quatre formant le moveset. Ces capacitĂ©s peuvent ĂȘtre apprises par des moyens trĂšs variĂ©s Par niveau[modifier] Une nouvelle capacitĂ© pour Roucool. En gagnant des niveaux, un PokĂ©mon apprendra de nouvelles capacitĂ©s sauf chez certains cas particuliers comme MĂ©tamorph, Zarbi, ..., souvent en lien avec ses types. Celles-ci seront en gĂ©nĂ©ral d'une puissance de plus en plus Ă©levĂ©e ou plus Ă©laborĂ©es ayant des effets bien plus diversifiĂ©s. Les PokĂ©mon de dĂ©part ont comme toute premiĂšre capacitĂ© offensive Charge ou Griffe, avec Mimi-Queue ou Groz'Yeux. La premiĂšre capacitĂ© du type de ce PokĂ©mon de dĂ©part est obtenue au niveau 7. Par exemple dans les jeux de cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration, Gruikui apprend automatiquement Charge et Mimi-Queue au niveau 5, pour obtenir FlammĂšche au niveau 7, et finir avec Boutefeu Ă  la fin de son dĂ©veloppement s'il n'a pas Ă©voluĂ©. Par CT , CS et DT[modifier] Tous les PokĂ©mon ne sont pas aptes Ă  apprendre une certaine CT. Au cours de son aventure, un Dresseur PokĂ©mon obtiendra diffĂ©rentes capsules permettant d'apprendre une capacitĂ© Ă  un PokĂ©mon Les Capsules Techniques ou CT, qui sont utilisables Ă  une unique occasion jusqu'Ă  la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration, depuis elles ont un nombre illimitĂ© de reprises ; Les Capsules SecrĂštes ou CS, Ă©galement utilisables en un nombre illimitĂ© de reprises, mais contrairement aux CT les capacitĂ©s des CS ne peuvent pas ĂȘtre oubliĂ©es lors de l'apprentissage d'une nouvelle capacitĂ©. Elles ont disparu lors de la septiĂšme gĂ©nĂ©ration, ne laissant derriĂšre elles que les CT. La plupart du temps, les CT apprennent des capacitĂ©s utilisables uniquement en combat et les CS apprennent des capacitĂ©s utilisables Ă©galement hors combat pour accĂ©der Ă  de nouvelles zones du jeu par exemple, mĂȘme si ce n'est pas forcĂ©ment une vĂ©ritĂ© absolue. Ces capsules ont aussi la particularitĂ© d'ĂȘtre spĂ©cifiques tous les PokĂ©mon ne peuvent pas apprendre n'importe quelle CT ou CS. D'ailleurs il existe Ă©galement des PokĂ©mon qui ne peuvent apprendre aucune capacitĂ© par capsule Chenipan, Magicarpe, ... Cas particulier, tout PokĂ©mon apte Ă  l'apprentissage par CT peut obtenir Retour, Frustration et Toxik par cette mĂ©thode. Les Disques Techniques ou DT sont apparus durant la huitiĂšme gĂ©nĂ©ration. Ceux-ci reprennent le concept de ce qu'Ă©taient les CT avant la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration ce sont des disques Ă  usage unique se brisant immĂ©diatement aprĂšs qu'un PokĂ©mon l'a utilisĂ© pour apprendre la capacitĂ© que le disque contient. Ils sont achetables Ă  volontĂ© dans les Boutiques Watts Ă  Galar. Par reproduction[modifier] Depuis la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration, un PokĂ©mon peut apprendre une capacitĂ© particuliĂšre avant mĂȘme de naĂźtre. Ces capacitĂ©s, transmises par leur pĂšre, peuvent ĂȘtre trĂšs variables du fait des groupes d'ƒuf, le pĂšre peut ĂȘtre trĂšs diffĂ©rent et permettent ainsi au rejeton de disposer d'un panel de capacitĂ©s supplĂ©mentaires souvent trĂšs intĂ©ressant. C'est ainsi qu'il est possible d'obtenir MalĂ©diction pour Ronflex, ou encore AromathĂ©rapie chez Leveinard et mĂȘme VƓu sur Évoli, etc. Par Ă©vĂšnement[modifier] Certains PokĂ©mon Ă©vĂšnementiels peuvent connaĂźtre certaines CapacitĂ©s qu'ils ne peuvent apprendre autrement, comme par exemple Pikachu de la ForĂȘt Jaune qui peut connaĂźtre Surf ou bien Celebi de la Banque PokĂ©mon qui connaĂźt Retenue. D'ailleurs certaines capacitĂ©s ne sont disponibles que par Ă©vĂ©nement, comme par exemple Coup Victoire ou CĂ©lĂ©bration. Par MaĂźtre de CapacitĂ©s[modifier] Il existe trois types de MaĂźtres de CapacitĂ©s, ayant chacun une influence diffĂ©rente sur les capacitĂ©s des PokĂ©mon. Donneur de CapacitĂ©s[modifier] Des capacitĂ©s intĂ©ressantes Ă  trouver. Depuis PokĂ©mon Cristal, certains personnages sont capables d'apprendre des capacitĂ©s aux PokĂ©mon ce sont les Donneurs de CapacitĂ©s. Contre des jetons, des points de combat, si le PokĂ©mon est suffisamment heureux ou mĂȘme gratuitement, ils apprendront une capacitĂ© Ă  un PokĂ©mon sous rĂ©serve de compatibilitĂ©. C'est un moyen efficace d'apprendre des capacitĂ©s trĂšs utiles. Il faut donc penser aux possibilitĂ©s d'apprendre des capacitĂ©s comme Cage-Éclair, Danse-Lames, Frappe Atlas, Éboulement, Tranch'Air, Poing de Feu, Poing-Éclair ou encore Poinglace et bien d'autres. Effaceur de CapacitĂ©s[modifier] Au dĂ©but de la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration, un personnage apparaĂźt, capable de persuader les PokĂ©mon d'oublier des capacitĂ©s. L'intĂ©rĂȘt semble plutĂŽt minime, vu qu'il est possible d'apprendre une capacitĂ© Ă  la place d'une autre lorsque ce dernier aura atteint le maximum de quatre, mais il ne faut pas oublier les CS ou le fait de vouloir faire rapidement oublier une capacitĂ© de la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration Ă  un PokĂ©mon pour pouvoir le transfĂ©rer dans PokĂ©mon Rouge, Bleu et Jaune. Ces derniĂšres ne sont oubliables que via cette personne. Impossible de l'oublier. Un futur gros carnage. MaĂźtre des CapacitĂ©s[modifier] À partir de la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration, un nouveau personnage, nommĂ© le MaĂźtre des CapacitĂ©s, peut ĂȘtre rencontrĂ©. Cette personne prĂ©sente la particularitĂ© de pouvoir rĂ©apprendre aux PokĂ©mon des capacitĂ©s qu'ils peuvent apprendre par niveau, mais qu'ils n'ont plus actuellement. L'intĂ©rĂȘt est double RĂ©cupĂ©rer des capacitĂ©s qui ont pu ĂȘtre oubliĂ©es du fait d'erreurs ou qui sont dĂ©sormais voulues aprĂšs mĂ»re rĂ©flexion ; Obtenir des capacitĂ©s que le PokĂ©mon n'a pas pu conserver cas des PokĂ©mon apprenant cinq capacitĂ©s Ă  la base, comme Kecleon, voire sept comme Mastouffe ou encore oubliĂ©es du fait de niveaux de capture trop Ă©levĂ©s comme pour les PokĂ©mon lĂ©gendaires. En Ă©change, cet expert demandera soit des ÉcaillecƓur soit un Petit ou Gros Champi Dans PokĂ©mon Rouge Feu et Vert Feuille uniqement. Concours[modifier] Pour plus d'informations sur le sujet, rĂ©fĂ©rez-vous Ă  Concours PokĂ©monEffets des capacitĂ©s. Depuis la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration et l'apparition des Concours PokĂ©mon, ces capacitĂ©s disposent d'un intĂ©rĂȘt supplĂ©mentaire impressionner le jury, parfois au dĂ©triment des adversaires. Les capacitĂ©s en concours. Pour les concours, tout le monde retrouve encore une fois des donnĂ©es similaires. Cependant, avec l'apparition des Super Concours, les effets ont quelque peu changĂ© LĂ  encore, le joueur retrouve des types spĂ©ciaux pour les concours, bien diffĂ©rents et indĂ©pendants des types liĂ©s au combat ; Deux statistiques supplĂ©mentaires existent le charme et le blocage ; la premiĂšre indiquant l'impression exercĂ©e sur le jury, alors que la seconde indiquera l'effet nĂ©gatif qui peut ĂȘtre exercĂ© sur les concurrents. Dans les Super Concours, le blocage disparaĂźt, et les statistiques de charme ont Ă©tĂ© trĂšs souvent revues. La statistique de blocage n'est prĂ©sente que dans les concours Ă  Hoenn ; LĂ  encore, il s'ajoute un effet trĂšs variable Ă  ces statistiques mathĂ©matiques. Type de concours[modifier] IndĂ©pendamment du type "classique", chaque capacitĂ© se voit dotĂ©e d'un type de concours Chaque type de concours est reprĂ©sentĂ© ensuite par une catĂ©gorie en concours. Les capacitĂ©s d'un type sont plus efficaces dans le concours de ce mĂȘme type. Si un Dresseur souhaite dĂ©velopper des PokĂ©mon spĂ©cialement pour les concours, il faut donc essayer de conserver des capacitĂ©s d'un mĂȘme type et d'effets variables, afin de pouvoir prendre aisĂ©ment l'avantage. Charme et Blocage[modifier] Selon la statistique de charme de la capacitĂ© indiquant les points rapportĂ©s par votre capacitĂ© sans application de bonus et de malus, reprĂ©sentĂ©e par le symbole , le PokĂ©mon sera amenĂ© Ă  plaire au jury. Plus la capacitĂ© a un nombre de Ă©levĂ©, plus elle peut ĂȘtre intĂ©ressante Ă  ĂȘtre utilisĂ©e en concours. Mais il faut tout de mĂȘme Ă©viter de l'employer plusieurs fois Ă  la suite sous peine de sanction fatale dans certaines situations. Une statistique de blocage reprĂ©sentĂ©e par des apparaĂźt. Cette fois-ci, plus la capacitĂ© sera composĂ©e de , plus elle sera nocive et retirera des points aux adversaires. Effets[modifier] LĂ  encore, chaque capacitĂ© peut disposer d'effets de concours Changer l'ordre des compĂ©titeurs HĂąte, Brouhaha, etc. ; Augmenter la condition Croissance, Grondement, etc. ; Rendre plus sensibles aux malus BĂ©lier, etc. ; Assurer une protection contre les malus adverses PlongĂ©e, Tunnel, etc. ; Et, inĂ©vitablement, d'autres effets notables. Pour en savoir plus, il faut connaĂźtre les effets de ces capacitĂ©s, lĂ  encore pour adopter des capacitĂ©s pouvant permettre au joueur de gagner aisĂ©ment un concours. Hors des jeux vidĂ©o[modifier] Dans le dessin animĂ©[modifier] Dans l'animĂ© principal, il n'y a ni CT ni CS. Le sujet n'est Ă©voquĂ© briĂšvement que dans PokĂ©mon Les origines. Les PokĂ©mon ont un certain nombre de capacitĂ©s lors de leur apparition et semblent en acquĂ©rir de façon inconnue au fil des Ă©pisodes. Le fait d'Ă©voluer fait rĂ©guliĂšrement qu'un PokĂ©mon apprenne de nouvelles capacitĂ©s. On a vu certains PokĂ©mon s'entraĂźner pour renforcer leurs capacitĂ©s ou pour en apprendre de nouvelles, comme le Pikachu de Sacha qui a beaucoup travaillĂ© pour maĂźtriser Queue de Fer. Les PokĂ©mon ont parfois plus de quatre capacitĂ©s. Par exemple, le Draco de Sandra en a 8. Dans le JCC[modifier] Pour plus d'informations sur le sujet, rĂ©fĂ©rez-vous Ă  Attaque JCC. Dans le jeu de cartes, chaque PokĂ©mon est dotĂ© d'une Ă  trois attaques dans les derniĂšres sĂ©ries. Le principe reste similaire aux jeux vidĂ©o chaque PokĂ©mon peut lancer des attaques infligeant un certain nombre de dĂ©gĂąts au PokĂ©mon adverse et pouvant Ă©galement avoir quelques effets particuliers. Mais contrairement au support Ă©lectronique, il est impossible de changer les attaques des PokĂ©mon sur cartes. Gestion des types[modifier] Pour plus d'informations sur le sujet, rĂ©fĂ©rez-vous Ă  Type JCC. Le principe des types est Ă©galement lĂ©gĂšrement diffĂ©rent, dĂ©jĂ , au niveau de la nature des types existants Toutes les attaques d'un PokĂ©mon sont du mĂȘme type que le PokĂ©mon, et au passage, la notion de catĂ©gories d'attaques n'existe pas. Un systĂšme de faiblesses et de rĂ©sistances est retrouvĂ©. Cependant, si les dĂ©gĂąts sont doublĂ©s dans le cas des faiblesses, il faut noter que la rĂ©sistance retire 30 PV de dĂ©gĂąts Ă  l'attaque. À partir de l'extension Diamant & Perle, le systĂšme a Ă©tĂ© revu, et les PV augmentĂ©s ou retirĂ©s des dĂ©gĂąts est directement indiquĂ© sur la carte du PokĂ©mon. Énergie[modifier] À la place du systĂšme de PP, chaque PokĂ©mon peut se voir attacher des cartes Ă©nergies, Ă  raison d'une par tour dans le cas gĂ©nĂ©ral. Chaque attaque aura des besoins particuliers en terme d'Ă©nergie, besoins qu'il faut satisfaire pour pouvoir l'utiliser. Cependant, une attaque peut nĂ©cessiter diffĂ©rents types d'Ă©nergies mĂȘme si gĂ©nĂ©ralement, elle utilise le type du PokĂ©mon, ainsi que le type incolore, pouvant ĂȘtre remplacĂ© par n'importe quel type d'Ă©nergie. En prime, certaines attaques souvent puissantes peuvent nĂ©cessiter de dĂ©fausser certaines cartes Ă©nergies Ă©tant attachĂ©es au joueur. Il faut donc recharger avant de pouvoir attaquer de nouveau, et ainsi de suite. Effets[modifier] De maniĂšre similaire au jeux vidĂ©o, les attaques peuvent ĂȘtre accompagnĂ©es de diffĂ©rents effets NĂ©gativement pour le joueur, lui dĂ©fausser de cartes Ă©nergies ou lui infliger des dĂ©gĂąts ; Changer le statut du PokĂ©mon adverse ; Soigner ses PokĂ©mon ; Attaquer des PokĂ©mon du Banc adverse effet intĂ©ressant sans reprĂ©sentant dans les jeux vidĂ©o ; etc. Il faut donc penser Ă  bien vĂ©rifier la description des attaques des PokĂ©mon avant de les choisir. Dans le Jeu de Figurines Ă  Collectionner[modifier] Pour plus d'informations sur le sujet, rĂ©fĂ©rez-vous Ă  JFCRotation et combat. Voir aussi[modifier] Liste des capacitĂ©s Calcul des dĂ©gĂąts Moveset RĂŽle
CeshabiletĂ©s sociales passent par la lecture des Ă©motions des autres (plus ou moins emphatique, et par des comportements verbaux et de communication non verbale [1]. En effet, ces capacitĂ©s permettent Ă  l'individu de s'engager dans l'interaction et de maintenir celle-ci par la production de boucles de communication caractĂ©risĂ©es par plusieurs Ă©changes consĂ©cutifs Il est important d’apprendre Ă  accueillir, dĂ©coder et prendre soin de ses propres Ă©motions au travail. Une fois qu’on y est soi-mĂȘme parvenu, on peut passer au stade Ă©largi faire de la place aux Ă©motions des autres. Une compĂ©tence essentielle de l’intelligence Ă©motionnelle et un gage d’harmonie, de cohĂ©sion et de collaboration saine et efficace dans l’entreprise. A en croire les rĂ©actions sur les rĂ©seaux sociaux suscitĂ©es par nos articles sur les Ă©motions au travail, beaucoup de personnes sont convaincues de l’importance de leur faire de la place, mais dĂ©clarent, avec un certain fatalisme, que c’est illusoire parce que ni l’environnement professionnel, ni les personnes qui nous entourent, ne nous en donnent la possibilitĂ©. En effet, pour s’autoriser Ă  exprimer ses Ă©motions, nous avons besoin de nous sentir en sĂ©curitĂ© et en confiance. Des conditions trop souvent absentes des environnements de travail, oĂč est plutĂŽt encouragĂ© l’esprit de compĂ©tition. Nous avons alors tendance Ă  nous "autobrider" pour ne rien laisser paraĂźtre, Ă  museler nos sentiments, par peur des autres, de leur jugement, par crainte qu’ils en profitent pour s’en servir contre nous si nous nous montrions trop sincĂšre ou vulnĂ©rable. Beaucoup d’équipes pĂątissent par consĂ©quent du mĂȘme problĂšme une communication rompue. On ne se "dit pas" les choses. On n’ose pas s’avouer les frustrations, les colĂšres, les jalousies. Puisque personne ne dit rien, chacun se retrouve Ă  faire des suppositions. Les non-dits s’accumulent, gĂ©nĂ©rant malentendus et conflits larvĂ©s. Tout cela mine considĂ©rablement la qualitĂ© des relations au travail qui, on le sait, constitue l'un des principaux facteurs de bien-ĂȘtre. Pour que les Ă©motions puissent enfin retrouver leur juste place dans les relations, c’est donc l’attitude collective qui est Ă  revoir. Charge Ă  chacun d’adopter la bonne posture pour laisser aux autres la libertĂ© d’utiliser leurs Ă©motions au travail et favoriser un climat positif et bienveillant. Les managers sont les premiers concernĂ©s. Ce sont eux, les pivots de la cohĂ©sion et de l’ambiance au sein de leurs Ă©quipes. Manager par les Ă©motions favorise le sentiment d’appartenance et de reconnaissance, et permet de comprendre les besoins propres Ă  chacun et de cerner les leviers de motivation. D’ailleurs, les leaders les plus inspirants sont souvent ceux capables d’entrer en connexion Ă©motionnelle avec leurs Ă©quipes et collĂšgues. Les managers ont tout Ă  gagner Ă  encourager la prise en compte des Ă©motions dans leur management et le fonctionnement de leurs Ă©quipes gestion plus sereine des tensions, collaboration plus efficace, dĂ©veloppement de l’intelligence collective, renforcement de l’engagement. NĂ©anmoins, il n’y a pas que les managers qui ont un rĂŽle Ă  jouer. Vous aussi vous pouvez faire votre part et contribuer, Ă  votre mesure, Ă  donner leur place aux Ă©motions dans vos relations au travail. Voici quelques conseils pour y parvenir. Donner l'exemple Bien comprendre ses propres Ă©motions est un prĂ©alable nĂ©cessaire pour pouvoir s'ouvrir Ă  celles des autres. Oser soi-mĂȘme montrer ses Ă©motions encouragera les autres Ă  le faire. Les managers, en particulier, ont intĂ©rĂȘt Ă  ouvrir la voie. Faire preuve d’exemplaritĂ©, c’est aussi respecter certaines bonnes pratiques lorsqu’on partage ses Ă©motions. Enfin, cela passe par cultiver des Ă©motions confiance, optimisme
 qui, par effet de miroir, favorisent un climat bienveillant et authentique. Cultiver son empathie L’empathie est la capacitĂ© Ă  comprendre les Ă©motions des autres, Ă  ne pas confondre avec la compassion ou la sympathie qui impliquent de partager lesdites Ă©motions. Ici, il s’agit de s’ouvrir aux ressentis des autres, tout en maintenant une certaine distance pour ne pas se laisser dĂ©border. Un vrai dĂ©fi pour certains, car on ne nous a pas appris Ă  rĂ©agir de façon appropriĂ©e face aux Ă©motions des autres, Ă  trouver le juste Ă©quilibre entre les prendre trop Ă  coeur et s’en dissocier. TrĂšs souvent, on projette par rĂ©flexe nos propres expĂ©riences et sentiments plutĂŽt que de garder un oeil neutre sur ce que vit et ressent l’autre. On se retrouve parfois Ă  Ă©prouver des difficultĂ©s Ă  garder notre sang-froid et Ă  rĂ©pondre Ă  la colĂšre par de la colĂšre. Ou bien Ă  Ă©noncer des petites phrases qui nient l’émotion de l’autre du style "ce n’est pas grave", "inutile de te mettre dans tes Ă©tats pareil" ou "tu exagĂšres". Dans ce cas, une attitude plus empathique permet de remplacer ces phrases par d’autres comme “je comprends”, qui montrent qu’on reconnaĂźt Ă  l’autre le droit de ressentir ces Ă©motions. Pour aller plus loin Pour apprendre Ă  verbaliser prĂ©cisĂ©ment vos Ă©motions > tĂ©lĂ©charger le guide gratuit proposĂ© par Bloomr. Ecouter sans juger L’écoute est le meilleur moyen de permettre Ă  l’autre de se sentir entendu, compris et en confiance pour exprimer ses Ă©motions. Il s’agit d’accueillir ses sentiments sans les minimiser, sans condition et sans chercher Ă  rationaliser. Pour apprendre Ă  Ă©couter, on peut appliquer les principes de l’écoute active. Cette technique consiste Ă  Ă©couter son interlocuteur en lui consacrant son attention exclusive, en l’interrompant le moins possible et en Ă©vitant toute interprĂ©tation ou tout jugement. Elle permet de mettre l’autre en confiance pour l’inciter Ă  s’ouvrir. Aider Ă  nommer Pour aider l’autre Ă  nommer ses Ă©motions, Ă©tape essentielle pour parvenir Ă  les comprendre et Ă  les exprimer, le dialogue est un atout prĂ©cieux. Vous pouvez amener une personne Ă  pousser sa rĂ©flexion plus loin et Ă  rĂ©ussir Ă  formuler son besoin, en le questionnant avec bienveillance. Posez des questions ouvertes et neutres pour l’aider Ă  creuser son ressenti "qu’est-ce que tu veux dire par
?". VĂ©rifiez avec lui que vous avez bien compris ce qu’il ressent en reformulant ses propos "J’ai l’impression que tu es frustrĂ©, je me trompe ?” plutĂŽt que “tu es frustrĂ©". Pour aller plus loin Communication Non Violente mode d'emploiLa CNV s’attache Ă  instaurer entre les ĂȘtres humains, des relations fondĂ©es sur une coopĂ©ration harmonieuse, sur le respect de soi et des autres. Comprendre les besoins Aidez l’autre Ă  nommer, d’abord, et Ă  comprendre les besoins qui se cachent derriĂšre ses propos ou son comportement. Puis, si possible, Ă  trouver une solution ensemble pour y rĂ©pondre. Par exemple, Marie et LĂ©o, son manager, ont un dĂ©saccord qui mĂšne Ă  une discussion un peu Ă©nergique en rĂ©union. Marie craque et se met Ă  pleurer. Sa rĂ©action semble disproportionnĂ©e. LĂ©o prend le temps d’en discuter calmement avec elle, seuls Ă  seuls. Marie est trĂšs stressĂ©e et fatiguĂ©e, et elle ne supporte plus l’agitation permanente de l’open space qui ajoute Ă  sa pression. Elle a besoin de calme pour travailler. Ensemble, ils dĂ©cident de lui accorder une journĂ©e de tĂ©lĂ©travail par semaine. LĂącher prise Laisser les Ă©motions entrer dans les relations au travail favorise des environnements plus sains, mais pas forcĂ©ment plus calmes. Lorsqu’on ĂŽte le couvercle, et qu’on autorise chacun Ă  s’exprimer, cela risque de crĂ©er quelques remous et agitations jusqu’ici contenus. Dans ces conditions, il est bon d’apprendre Ă  accepter que vous ne pourrez pas contrĂŽler les Ă©motions des autres, ni leur rĂ©action. Faites de votre mieux pour les accueillir avec bienveillance et recul. Cet article clĂŽture notre dossier pour faire de la place aux Ă©motions au travail. Tout au long de cette sĂ©rie, nous vous avons invitĂ©s Ă  Ă©couter et comprendre vos propres Ă©motions, Ă  les utiliser pour guider vos actions, mais aussi Ă  vous servir de cette capacitĂ© pour amĂ©liorer vos relations au travail et cultiver votre intelligence Ă©motionnelle. Tout ceci est un cheminement qui vous aidera Ă  garder la main sur vos Ă©motions, non pas pour les “gĂ©rer” mais pour les rĂ©guler afin qu’elles vous aiguillent, vous protĂšgent et mĂȘme vous donnent de l’énergie. Il ne s’agit pas d’ĂȘtre dans le contrĂŽle permanent au dĂ©triment de la spontanĂ©itĂ© mais de vous connecter Ă  votre baromĂštre interne pour savoir Ă  quel moment appuyer sur pause pour vous mettre Ă  l’écoute de vos Ă©motions et Ă  quel moment laisser libre cours. Beaucoup de personnes Ă©touffent leurs Ă©motions pour ne pas paraĂźtre vulnĂ©rable. En rĂ©alitĂ©, la bonne maĂźtrise des Ă©motions vous donne de la puissance et un certain contrĂŽle sur ce qui se passe autour de vous. C’est aussi une façon de se libĂ©rer de la peur du pouvoir que les autres pourraient avoir sur vous car plus vous ĂȘtes au clair et en paix avec vos Ă©motions, moins les autres ont d’emprise sur ce que vous ressentez. => TESTEZ-VOUS Calculez votre quotient Ă©motionnelPour s'adapter Ă  un monde en mouvement, l'intelligence classique ne suffit plus. Nous devons quotidiennement faire appel Ă  ce que l'on nomme l'intelligence Ă©motionnelle notre capacitĂ© Ă  utiliser au mieux nos Ă©motions et notre intuition. PopularisĂ©e par le journaliste amĂ©ricain Daniel Goleman, la notion d'intelligence Ă©motionnelle est aujourd'hui trĂšs opĂ©rante. Elle permet de comprendre pourquoi, Ă  QI Ă©gal, certains s'Ă©panouissent et rĂ©ussissent mieux que d'autres... Faites ce test en suivant votre intuition. Attaquezvous aux problĂšmes et non aux individus. DĂ©terminez les comportements qui vous agacent plutĂŽt que de vous attarder Ă  vos prĂ©jugĂ©s vis-Ă -vis de cette personne. Si vous ĂȘtes Ă  l’aise, privilĂ©giez une touche d’humour; Souvenez-vous qu’une opinion ou une autre approche que la vĂŽtre n’est pas mauvaise en soi. IRM Par RaphaĂ«lle de Tappie Alors qu'il est trĂšs difficile de mesurer l'empathie chez les patients souffrant d'autisme ou de schizophrĂ©nie, des chercheurs ont dĂ©couvert qu'il Ă©tait possible de la calculer en Ă©tudiant l'activitĂ© cĂ©rĂ©brale de personnes au repos. Gorodenkoff/iStock PubliĂ© le Ă  14h00 L’empathie se caractĂ©rise par la capacitĂ© de s'identifier Ă  autrui dans ce qu'il ressent. Chez les personnes souffrant de troubles mentaux comme l’autisme ou la schizophrĂ©nie, cette capacitĂ© peut ĂȘtre altĂ©rĂ©e et ainsi souvent difficilement mesurable par les professionnels de santĂ©. Aujourd’hui, des chercheurs amĂ©ricains ont dĂ©couvert qu’il Ă©tait possible d’évaluer la capacitĂ© d’une personne Ă  ressentir de l’empathie en Ă©tudiant son activitĂ© cĂ©rĂ©brale pendant qu’elle se reposait. Les rĂ©sultats de cette Ă©tude sont parus le 14 fĂ©vrier dans la revue Frontiers in Integrative Neuroscience. A terme, ceux-ci pourraient aider Ă  contribuer Ă  amĂ©liorer le diagnostic de certains troubles mentaux ainsi que leur traitement. Cela fait des annĂ©es que le docteur Marco Iacoboni, professeur de psychiatrie et de sciences du comportement Ă  la David Geffen School of Medicine de l'UCLA Etats-Unis Ă©tudie l’empathie chez les humains. Traditionnellement, cette derniĂšre est Ă©valuĂ©e Ă  l’aide de questionnaire et d’évaluation psychologique. Cependant, les personnes qui souffrent de schizophrĂ©nie ou d’autisme ont souvent des difficultĂ©s Ă  remplir ces questionnaires, ce qui complique les Ă©tudes et diagnostics. C’est pourquoi, ici, en plus des questionnaires traditionnels, Iacoboni et ses collĂšgues ont dĂ©cidĂ© de mesurer l’activitĂ© cĂ©rĂ©brales des participants de leur Ă©tude. Les chercheurs ont suivi 58 patients, ĂągĂ©s de 18 Ă  35 ans et les ont invitĂ©s Ă  laisser leur esprit vagabonder pendant qu’ils fixaient une croix sur un Ă©cran noir. Ils ont alors recueilli les donnĂ©es relatives Ă  leur activitĂ© cĂ©rĂ©brale grĂące Ă  imagerie par raisonnance fonctionnelle, qui Ă©tudie les petites modifications de flux sanguin. Ils les ont ensuite analysĂ©es grĂące Ă  une intelligence artificielle. “Evaluer l’empathie est souvent le plus difficile dans les populations qui en ont le plus besoin” Les participants ont ensuite dĂ» rĂ©agir Ă  des phrases telles que “J'ai souvent des sentiments tendres et inquiets pour des personnes moins chanceuses que moi” ou “J'essaie parfois de mieux comprendre mes amis en imaginant comment les choses se prĂ©sentent de leur point de vue”. RĂ©sultat grĂące aux mesures cĂ©rĂ©brales, les chercheurs ont rĂ©ussi Ă  prĂ©dire les rĂ©sultats du questionnaire de chaque participant et sa disposition empathique. Ainsi, les rĂ©seaux cĂ©rĂ©braux du cerveau au repos peuvent interagir de la mĂȘme maniĂšre que lorsqu'ils effectuent une tĂąche. “Nous avons dĂ©couvert que mĂȘme lorsqu'elle n'est pas directement impliquĂ©e dans une tĂąche qui implique de l'empathie, l'activitĂ© cĂ©rĂ©brale au sein de ces rĂ©seaux peut rĂ©vĂ©ler la disposition empathique des gens”, explique Marco Iacoboni. “Évaluer l'empathie est souvent le plus difficile dans les populations qui en ont le plus besoin, poursuit-il. L'empathie est une pierre angulaire de la santĂ© mentale et du bien-ĂȘtre. Elle favorise un comportement social et coopĂ©ratif grĂące Ă  notre souci des autres. Elle nous aide Ă©galement Ă  dĂ©duire et Ă  prĂ©voir les sentiments, le comportement et les intentions des autres. Si nous pouvons dĂ©montrer que le cerveau des personnes souffrant de schizophrĂ©nie ou d’autisme a la capacitĂ© d'empathie, nous pouvons travailler Ă  l'amĂ©liorer par la formation et l'utilisation d'autres thĂ©rapies.” “Adapter des stratĂ©gies optimales dĂšs le dĂ©part” A terme, cette technique pourrait ĂȘtre Ă©tendue pour amĂ©liorer le traitement ainsi que le diagnostic des malades. “La puissance prĂ©dictive des algorithmes d'apprentissage automatique comme celui-ci, lorsqu'ils sont appliquĂ©s aux donnĂ©es du cerveau, peut Ă©galement nous aider Ă  prĂ©dire comment un patient donnĂ© rĂ©agira Ă  une intervention donnĂ©e, ce qui nous aide Ă  adapter des stratĂ©gies thĂ©rapeutiques optimales dĂšs le dĂ©part”, ajoute l'auteur principal Leonardo Christov-Moore. L’empathie est constituĂ©e de trois volets. Notre capacitĂ© Ă  dĂ©chiffrer les Ă©motions sur le visage d’un autre est attribuĂ©e Ă  l’empathie cognitive, soit l’habilitĂ© Ă  se reprĂ©senter les Ă©tats mentaux d’une personne. L’empathie affective est le volet qui nous pousse Ă  ressentir les Ă©motions en miroir de celles ressenties par l’autre. Ainsi, il nous est dĂ©sagrĂ©able de voir quelqu’un souffrir. Enfin, l’empathie compassionnelle ou la sollicitude consiste Ă  constater la souffrance ou la joie d’un autre et Ă  avoir une attitude bienveillante face Ă  ces Ă©motions. En 2017, une Ă©tude parue britannique dans la revue Molecular Psychiatry, montrait que notre capacitĂ© Ă  dĂ©crypter les Ă©motions des autres serait associĂ©e Ă  un gĂšne prĂ©sent sur le chromosome 3. Ce dernier, Ă©galement baptisĂ© LRRN1, existe en plusieurs variantes. Certaines d’entre elles seraient notamment liĂ©es Ă  une meilleure perception des Ă©motions chez les femmes.
ActivitĂ©sĂ©motionnelles pour les enfants. Si vous ĂȘtes enseignant et que vous souhaitez Ă©duquer vos Ă©lĂšves Ă  l'intelligence Ă©motionnelle, vous pouvez trouver une liste d'activitĂ©s qui permettront aux plus petits de dĂ©velopper des compĂ©tences Ă©motionnelles intelligent. instagram story viewer. 1. Equilibre de groupe: la star.
Comment dĂ©finir les Fonctions ExĂ©cutives?Les fonctions exĂ©cutives peuvent ĂȘtre dĂ©finies comme l'ensemble des capacitĂ©s cognitives nĂ©cessaires pour contrĂŽler et autorĂ©guler le comportement. C'est Ă  dire que les fonctions exĂ©cutives nous permettent d'Ă©tablir, maintenir, superviser, corriger et atteindre un plan d'action pour atteindre un objectif. Cet ensemble de fonction est de grande importance Ă©tant donnĂ© que nous l'utilisons au quotidien. Le terme "Fonctions ExĂ©cutives" a Ă©tĂ© proposĂ© par Muriel Lezak en 1982. Cet ensemble de capacitĂ©s cognitives se trouve relativement dĂ©limitĂ© par les structures prĂ©frontales du cerveau. Les zones cĂ©rĂ©brales les plus reliĂ©es aux fonctions exĂ©cutives sont le cortex prĂ©frontal dorsolatĂ©ral, le cortex prĂ©frontal ventromĂ©dial, le cortex prĂ©frontal orbitofrontal et le cortex cingulaire antĂ©rieur. Nous pouvons obtenir une estimation de l'intĂ©gritĂ© fonctionnelle de ces structures grĂące Ă  des tests des fonctions exĂ©cutives. Avec de la pratique et un entraĂźnement cognitif, il est possible d'amĂ©liorer nos fonctions exĂ©cutives. Comment Ă©valuer et entraĂźner les fonctions exĂ©cutives ? C'est trĂšs facile, il suffit de vous sont les habiletĂ©s cognitives qui composent les Fonctions ExĂ©cutives?MĂȘme s'il existe de nombreuses opinions quant Ă  la dĂ©finition des fonctions exĂ©cutives, les diffĂ©rentes Ă©tudes sont arrivĂ©es Ă  un accord quant aux habiletĂ©s qui les composent. Les principales seraient donc FlexibilitĂ© cognitive CapacitĂ© Ă  adapter notre conduite et pensĂ©es face Ă  des situations nouvelles, changeantes ou inattendues. Inhibition CapacitĂ© Ă  contrĂŽler les rĂ©ponses impulsives ou automatiques et Ă  gĂ©nĂ©rer des rĂ©ponses modĂ©rĂ©es par l'attention et le raisonnement. Surveillance CapacitĂ© Ă  contrĂŽler notre conduite Ă  tout moment et Ă  nous assurer qu'elle est correcte. Planification CapacitĂ© Ă  penser au futur et Ă  anticiper mentalement la maniĂšre de rĂ©aliser correctement une tĂąche ou Ă  arriver Ă  un objectif spĂ©cifique. MĂ©moire de travail CapacitĂ© Ă  stocker temporairement et Ă  manipuler une information pour rĂ©aliser des tĂąches cognitives complexes. Prise de dĂ©cisions CapacitĂ© Ă  choisir une option entre plusieurs alternatives de maniĂšre efficace et rĂ©flĂ©chie. RĂ©solution de problĂšmes CapacitĂ© Ă  arriver Ă  une conclusion logique face Ă  un problĂšme. Exemples de Fonctions exĂ©cutivesLes fonctions exĂ©cutives sont impliquĂ©es dans la quasi-totalitĂ© des postes de travail. Dans toute activitĂ© professionnelle qui demande de l'organisation, de la planification, de la rĂ©solution de problĂšmes, de la prise de dĂ©cisions ou des manipulations de donnĂ©es, nous utilisons les fonctions exĂ©cutives. En effet, nous les utilisons aussi bien pour faire cuire un steak que pour planifier une chirurgie Ă  coeur ouvert. Les fonctions exĂ©cutives ont Ă©galement un rĂŽle essentiel pour nos Ă©tudes. Elle nous permettent de contrĂŽler notre attention pour ĂȘtre concentrĂ©s en classe, ou encore de nous organiser pour Ă©tudier un examen. Lorsque nous prĂ©parons notre itinĂ©raire pour un voyage en voiture, lorsque nous devons prendre une dĂ©cision rapide face Ă  un imprĂ©vu, comme par exemple dĂ©cider de ne pas doubler un autre vĂ©hicule si la situation n'est pas propice, nous utilisons les fonctions exĂ©cutives. Nous utilisons les fonctions exĂ©cutives au quotidien. Elles sont essentielles par exemple pour organiser les choses que nous programmons de faire pendant l'aprĂšs-midi, ainsi que pour nous adapter aux changements possibles si notre ligne de mĂ©tro habituelle est suspendue et nous permettre de trouver des alternatives efficaces, etc. Le Syndrome dysexĂ©cutif et les autres troubles associĂ©s aux problĂšmes des fonctions exĂ©cutivesLe dommage cĂ©rĂ©bral des structures prĂ©frontales peut provoquer, entre d'autres complications, anosognosie manque de conscience du propre dĂ©ficit, aboulie manque d'initiative, difficultĂ© pour sĂ©quencer des actions, problĂšmes pour gĂ©rer le comportement et les Ă©motions, rigiditĂ© cognitive, etc. Par ailleurs, un problĂšme au niveau des fonctions exĂ©cutives peut altĂ©rer la bonne rĂ©gulation des procĂ©dĂ©s cognitifs. Un problĂšme au niveau des fonctions exĂ©cutives peut poser des problĂšmes pour effectuer de nombreuses activitĂ©s de notre vie quotidienne. Le syndrome par excellence qui traduit un mauvais fonctionnement des fonctions exĂ©cutives est celui du Syndrome dysexĂ©cutif ou Syndrome frontal. Ce syndrome altĂšrent plusieurs habiletĂ©s cognitives, comme celle de l'initiative, la fluiditĂ©, l'inhibition, la flexibilitĂ©, l'autorĂ©gulation, la planification et la prise de dĂ©cisions. Cela provoque une conduite dĂ©sorganisĂ©e, peu adaptĂ©e Ă  l'environnement, Ă  des changements de personnalitĂ© et d'humeur jusqu'Ă  devenir Ă©gocentrique, obsessionnel et irritable. Ce syndrome peut apparaĂźtre aprĂšs un dommage cĂ©rĂ©bral au niveau du cortex dorsolatĂ©ral, dĂ©rivĂ© d'un ictus, traumatisme crĂąnien, tumeurs ou de maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives, comme la Maladie de Pick. Etant donnĂ© son importance au quotidien, il est essentiel d'Ă©valuer sĂ©rieusement les risques de syndrome plus du syndrome dysexĂ©cutif, le dommage au niveau du prĂ©frontal peut engendrer d'autres pathologies comme le syndrome orbitofrontal Ă  un niveau Ă©levĂš, il peut provoquĂ© un changement de la personnalitĂ©, dĂ©rivĂ© d'un dommage au niveau du cortex orbitofrontal, ou le syndrome mĂ©sial frontal manque d'initiative, aussi bien Ă  un niveau comportemental ou apathie qu'au niveau de la communication ou mutisme.D'un autre cĂŽtĂ©, des problĂšmes au niveau des fonctions exĂ©cutives peuvent apparaĂźtre sans dommage cĂ©rĂ©bral. Les troubles suivants peuvent Ă©galement entraĂźner une altĂ©ration des fonctions exĂ©cutives la dyslexie, la dyscalculie, le trouble du dĂ©ficit de l'attention avec hyperactivitĂ© TDAH, la schizophrĂ©nie ou l'autisme .Comment mesurer et Ă©valuer les fonctions exĂ©cutives?Les fonctions exĂ©cutives nous permet de rĂ©aliser un grand nombre de nos activitĂ©s quotidiennes rapidement et de maniĂšre efficace. Par consĂ©quent, Ă©valuer les fonctions exĂ©cutives peut ĂȘtre d'une grande aide dans plusieurs domaine dans le domaine acadĂ©mique pour savoir si l'Ă©lĂšve va contrĂŽler sa conduite en classe ou s'il va bien s'organiser pour Ă©tudier, dans le domaine de la santĂ© pour savoir si le patient va avoir des problĂšmes pour adapter ses impulsions ou son Ă©tat Ă©motionnel Ă  une situation ou dans le domaine professionnel pour savoir si un des employĂ©s va pouvoir rĂ©soudre des imprĂ©vus et prendre des dĂ©cisions pertinentes de maniĂšre appropriĂ©e. GrĂące Ă  une Ă©valuation neuropsychologique complĂšte nous pouvons Ă©valuer les diffĂ©rentes habiletĂ©s cognitives de maniĂšre fiable et efficace, comme les fonctions exĂ©cutives. CogniFit dispose d'un ensemble de tests qui Ă©value quelques-unes des habiletĂ©s cognitives qui composent les fonctions exĂ©cutives, comme l'inhibition, la planification, la flexibilitĂ© cognitive, la surveillance et la mĂ©moire de travail. Les tests qu'utilisent CogniFit pour mesurer ces habiletĂ©s cognitives sont basĂ©s sur les tests NEPSY, Test Memory Malingering TOMM, Wisconsin Card Sorting Test WCST, test de Stroop, Test de Variables of Attention TOVA, Continuous Performance Test CPT, Hooper Visual Organisation Task VOT, Wechsler Memory Scale WMS et la Torre de Londres TOL. Mis Ă  part les fonctions exĂ©cutives, le test permet Ă©galement d'Ă©valuer le temps de rĂ©ponse, la perception visuelle, la perception spatiale, la dĂ©nomination, la mĂ©moire contextuelle, la mĂ©moire visuelle, la mĂ©moire phonologique Ă  court-terme, la mĂ©moire Ă  court-terme, la reconnaissance, la vitesse de traitement, le balayage visuel, la coordination oeil-main et l'attention d'Identification COM-NAM Vous verrez apparaĂźtre des objets sous forme d'images ou de sons. Vous devrez dire sous quel format image ou son est apparu l'objet pour la derniĂšre fois, ou s'il n'est pas apparu. Test de Synchronisation UPDA-SHIF Pour ce test, vous verrez apparaĂźtre une balle en mouvement Ă  l'Ă©cran. L'objectif sera de suivre le mouvement de la balle avec le curseur de la maniĂšre la plus prĂ©cise possible. Test de SimultanĂ©itĂ© DIAT-SHIF Vous devrez suivre le parcours alĂ©atoire de la balle blanche tout en Ă©tant attentif aux mots qui apparaitront au milieu de l'Ă©cran. Lorsque le nom de la couleur coĂŻncidera avec la couleur des lettres Ă©crites vous devrez rĂ©pondre en prĂȘtant attention Ă  deux stimuli Ă  la fois. Pour ce test, vous serez confronter Ă  des changements de stratĂ©gie, de nouvelles rĂ©ponses et devrez manier la capacitĂ© de surveillance et la capacitĂ© visuelle Ă  la fois. Test de ProcĂ©dĂ© REST-INH Pour ce tests, vous verrez apparaĂźtre deux blocs de numĂ©ros et de formes diffĂ©rents. PremiĂšrement, vous devrez regarder la taille des formes et indiquer la plus grande. Ensuite, vous devrez indiquer le bloc avec le numĂ©ro le plus Ă©levĂ©. Test d'Équivalences INH-REST Pour ce test, vous verrez apparaĂźtre des mots en couleurs Ă  l'Ă©cran. Lorsque le nom de la couleur coĂŻncidera avec la couleur des lettres Ă©crites, vous devrez rĂ©pondre. S'ils ne coĂŻncident pas, vous ne devrez pas rĂ©pondre. Test de Reconnaissance WOM-REST Vous verrez trois objets communs apparaĂźtre Ă  l'Ă©cran. PremiĂšrement, vous devrez vous souvenir de l'ordre de prĂ©sentation des trois objets aussi vite que possible. Ensuite, quatre sĂ©rie de trois objets diffĂ©rents Ă  ceux prĂ©sentĂ©s au dĂ©part apparaitront Ă  l'Ă©cran. Vous devrez alors identifier la sĂ©quence initiale. Test Secuencial WOM-ASM Vous verrez apparaĂźtre une sĂ©rie de balle avec diffĂ©rents numĂ©ros. Vous devrez mĂ©moriser la sĂ©rie de numĂ©ros pour les rĂ©pĂ©ter ensuite. Pour commencer, la sĂ©rie sera composĂ©e d'un seul numĂ©ro puis augmentera petit Ă  petit jusqu'Ă  ce que vous fassiez une erreur. Vous devrez reproduire chaque sĂ©rie de numĂ©ros aprĂšs chaque prĂ©sentation. Test de Concentration VISMEN-PLAN Vous verrez apparaĂźtre des stimuli rĂ©partis alĂ©atoirement Ă  l'Ă©cran. Les stimuli s'illumineront lorsqu'un son rĂ©sonnera, le tout en suivant un ordre, jusqu'Ă  terminer la sĂ©rie. Durant la prĂ©sentation, vous devrez prĂȘter attention aussi bien aux sons qu'aux images illuminĂ©es. Lorsque viendra votre tour, vous devrez vous souvenir de l'ordre de prĂ©sentation des stimuli pour les reproduire dans le bon ordre. Test de Programmation VIPER-PLAN Vous devrez sortir la balle du labyrinthe en faisant le moins de mouvements possibles et ceci le plus rapidement possible. Comment rĂ©habiliter ou amĂ©liorer les fonctions exĂ©cutives?Toutes les habiletĂ©s cognitives y compris les fonctions exĂ©cutives, peuvent ĂȘtre entraĂźnĂ©es pour amĂ©liorer leur rendement. CogniFit vous offre la possibilitĂ© d'y parvenir de maniĂšre plasticitĂ© cĂ©rĂ©brale est la base de la rĂ©habilitation des fonctions exĂ©cutives et des autres capacitĂ©s cognitives. CogniFit dispose d'une batterie d'exercices conçus pour rĂ©habiliter les dĂ©ficits des fonctions exĂ©cutives et d'autres fonctions cognitives. Le cerveau et ses connexions de neurones se renforcent avec l'utilisation des fonctions qui dependent d'eux. De cette maniĂšre, si nous utilisons les fonctions exĂ©cutives frĂ©quemment, les connexions cĂ©rĂ©brales des structures impliquĂ©es de cette capacitĂ© seront est formĂ© d'une Ă©quipe de professionnels spĂ©cialisĂ©s dans l'Ă©tude la plasticitĂ© synaptique et des procĂ©dĂ©s de la neurogenĂšse. Ceci a permis la crĂ©ation d'unprogramme de stimulation cognitive personnalisĂ©e adaptĂ© aux besoins de chaque utilisateur. Ce programme commence par une Ă©valuation prĂ©cise des fonctions exĂ©cutives et d'autres fonctions cognitives fondamentales. Suivant les rĂ©sultats de l'Ă©valuation, le programme de stimulation cognitive de CogniFit offre de maniĂšre automatique un entraĂźnement cognitif personnalisĂ© pour renforcer les fonctions exĂ©cutives ainsi que d'autres fonctions cognitives, si nĂ©cessaire aprĂšs est indispensable de mener Ă  bien un entraĂźnement constant et appropriĂ© pour amĂ©liorer les fonctions exĂ©cutives. CogniFit dispose d'outils d'Ă©valuation et de rĂ©habilitation pour optimiser ces fonctions cognitives. Pour une bonne stimulation, 15 minutes par jour 2 Ă  3 jours par semaine sont pouvez accĂ©der au programme de stimulation cognitive de Cognifit via internet. Il contient une grande variĂ©tĂ© d'activitĂ©s interactives, prĂ©sentĂ©es sous forme de jeux pour le cerveau des plus amusants, Ă  rĂ©aliser sur ordinateur. A la fin de chaque session, CogniFit montrera l'avancĂ© de l'Ă©tat cognitif sur un graphique dĂ©taillĂ©. 4WZL8M.
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  • capacitĂ© Ă  participer aux Ă©motions des autres