GenĂšse2/18 : l’aide de l’homme; L’association homme et femme est Ă©vidente depuis le commencement. Dieu a créé un couple, selon GenĂšse 1/27. Il y a une interdĂ©pendance nĂ©cessaire dans le couple. L’Eternel dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable Ă  lui (Gen 2/18-23). Nous voyons que

Le nouveau projet du Code civil adoptĂ© en Conseil des ministres du mardi 23 mars 2021, prĂ©sidĂ© par Ali Bongo, par visioconfĂ©rence, modifie l’autoritĂ© de l’époux pour en donner une part Ă©gale Ă  l’épouse sans repartir par contre toutes les charges endossĂ©es par l’époux. L’ancien Code civil donnait plus de prĂ©rogatives au mari. Les nombreux avantages dĂ©sormais ĂŽtĂ©s Ă  l’époux, parmi tant d’autres, il y a le rĂŽle de chef de famille retirĂ© Ă  l’homme. Il devient donc l’égal de l’épouse dans le foyer. Par ailleurs, l’époux perd l’administration lĂ©gale des biens d’un mineur non Ă©mancipĂ© pour le remplacer par un exercice commun », prĂ©cise le communiquĂ© du Conseil des ministres. Plus encore, le mari perd le choix de la rĂ©sidence familial pour en faire un choix commun, contrairement au Code civil actuel. L’autre disposition majeure est la suppression de l’obligation de notifier au mari par la banque, l’ouverture d’un compte et la balance dĂ©bitrice de celui-ci par la femme pour les remplacer par un principe Ă©galitaire, en modifiant la disposition qui incombe au mari sur les charges du mariage », rappelle le communiquĂ©. Le projet de loi mentionne aussi l’augmentation des droits du conjoint survivant et des nouvelles dispositions concernant le divorce. Pour le cas du divorce, les rĂ©formes suivantes sont apportĂ©es l’inscription dans le code civil des critĂšres identiques pour la femme et l’homme pour qualifier l’adultĂšre qui demeure une cause de divorce ; le cas de l’abandon Ă©tabli comme un cas de divorce pour faute et amĂ©nager le cas Ă©chĂ©ant la prĂ©somption de filiation ; l’inscription dans les cas de divorce pour faute tout fait de violence domestique Ă©tabli Ă  l’égard d’un conjoint ; l’instauration du divorce par consentement mutuel, avec ou sans l’intervention du juge, en permettant de dĂ©sencombrer les tribunaux et simplifier les divorces non contentieux », mentionne le communiquĂ© final. A titre de rappel le projet de loi met fin Ă  l’obligation d’obĂ©issance de la femme vis-Ă -vis de son conjoint. Bien qu’étant un projet, il va ĂȘtre dĂ©battu dans les deux chambres du Parlement. Ces deux chambres sont acquises largement par le Parti dĂ©mocratique gabonais, au pouvoir depuis plus d’un demi-siĂšcle, 53 ans de rĂšgne, et rien du gouvernement comme projet n’a presque jamais Ă©tĂ© rejetĂ©. Toutefois, ce nouveau projet de loi sur le Code civil va faire couler beaucoup d’encre et de salive dans l’opinion car il bouleverse les Codes religieux y compris les us et coutumes au Gabon.
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Lepatron du groupe de courtage en assurances Assu 2000 Jacques Bouthier, mis en examen et incarcĂ©rĂ© samedi dans une enquĂȘte pour « traite des ĂȘtres humains »
Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. 8. MĂ€rz 2011 um 1402CrĂ©ation des humains"Dieu dit Faisons les humains Ă  notre image, selon notre ressemblance, pour qu'ils dominent sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bĂ©tail, sur toute la terre et sur toutes les bestioles qui fourmillent sur la terre. Dieu crĂ©a les humains Ă  son image il les crĂ©a Ă  l'image de Dieu ; homme et femme il les crĂ©a. Dieu les bĂ©nit ; Dieu leur dit Soyez fĂ©conds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui fourmillent sur la terre." GenĂšse vit alors tout ce qu'il avait fait c'Ă©tait trĂšs bon." GenĂšse de l’homme"Le Seigneur Dieu façonna l'homme de la poussiĂšre de la terre ; il insuffla dans ses narines un souffle de vie, et l'homme devint un ĂȘtre vivant." GenĂšse Seigneur Dieu dit Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je vais lui faire une aide qui sera son vis-Ă -vis." GenĂšse de la femme"Alors le Seigneur Dieu fit tomber une torpeur sur l'homme, qui s'endormit ; il prit une de ses cĂŽtes et referma la chair Ă  sa place. Le Seigneur Dieu forma une femme de la cĂŽte qu'il avait prise Ă  l'homme, et il l'amena vers l'homme." GenĂšse dit Cette fois c'est l'os de mes os, la chair de ma chair. Celle-ci, on l'appellera femme », car c'est de l'homme qu'elle a Ă©tĂ© prise." GenĂšse et la femme du rĂ©cit biblique ont les mĂȘmes valeurs, ils sont Ă©gaux et pourtant diffĂ©rents parce que Dieu les a voulus complĂ©mentaires l'un ou l'une ne peut ĂȘtre sans l'autre. La particularitĂ© du rĂ©cit biblique montre aussi que l'homme a d'abord Ă©tĂ© créé tirĂ© de la poussiĂšre, ensuite la femme tirĂ©e de l'homme. Cet ordre crĂ©ationnel a son importance au point qu'il a Ă©tĂ© repris par l'apĂŽtre Paul pour que nous comprenions, d’une part, les fondements de la famille, la cellule formant la sociĂ©tĂ© des humains vivants sur la terre pour une durĂ©e qui, finalement, est loin d’ĂȘtre Ă©ternelle et, d’autre part, pour que nous comprenions le dessein de Dieu qui se projette Ă  la fois maintenant et dans un futur cĂ©leste oĂč ces mĂȘmes humains auront leur dĂšs maintenant, la foi en JĂ©sus-Christ brise toutes les chaĂźnes de l'incomprĂ©hension et de l'injustice. La foi en JĂ©sus-Christ met sur le mĂȘme piĂ©destal l'homme et la femme. L'apĂŽtre Paul adresse ce message aux chrĂ©tiens "En effet, vous tous qui avez reçu le baptĂȘme du Christ, vous avez revĂȘtu le Christ. Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni homme libre, il n'y a plus ni homme ni femme, car vous tous, vous ĂȘtes un en JĂ©sus-Christ. Et si vous appartenez au Christ, alors vous ĂȘtes la descendance d'Abraham, hĂ©ritiers selon la promesse." Galates pour mieux comprendre encore "qu'Ă  la rĂ©surrection des morts, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges dans les cieux". Marc Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise Journal — Violences sexuelles les syndicats aussi Journal — Luttes paysannes africaines RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es
Lesmensonges les plus courants des hommes. La confiance est un Ă©lĂ©ment majeur de toutes relations affectives. Voici pourquoi : les hommes mentent aux femmes, les femmes mentent aux hommes. Et la plupart des gens sont d’accord avec le fait que, parfois, mentir est nĂ©cessaire, soit pour Ă©viter des querelles inutiles soit pour prĂ©server l’unitĂ© d’une relation. Soumission hommes et femmes dans la Bible1Ăšre questionAprĂšs voir pris connaissance de l'enseignement sur Le rĂŽle de l'homme et de la femme dans le couple», j'aurais besoin d'Ă©claircissements quant Ă  certains Ă©lĂ©ments plutĂŽt passages cf. Credo chapitre 6, 6-3-1 Le mariage et le cĂ©libat parlent de soumission mais les contextes sont diffĂ©rents Ă©poux/hommes en gĂ©nĂ©ral; Ă  qui doit se soumettre la femme», Ă  son mari ou aux hommes en gĂ©nĂ©ral ? Le thĂšme parle du rĂŽle dans le couple» mais il semble que certains de ces passages parlent des relations entre hommes et femmes et non Ă©pouse/ m'Ă©clairer et Ă©ventuellement me donner des exemples pratiques ? Comment cette soumission s'articule-t-elle par des exemples pratiques ? Merci !RĂ©ponseLe cadre de la soumission est le couple. Les femmes en gĂ©nĂ©ral n'ont pas Ă  ĂȘtre soumises aux hommes en gĂ©nĂ©ral, mais seulement l'Ă©pouse Ă  son mari. La difficultĂ© vient de nos traductions qui traduisent femme» par deux termes diffĂ©rents, soit le mot Ă©pouse» soit le mot femme» qui Ă©voque toutes les personnes de sexe fĂ©minin. L'autoritĂ© ne s'applique que du mari sur son Ă©pouse. Comme le dit l'enseignement du manuel "Credo", et en s'appuyant, par exemple, sur Ga 3,28, les deux, maris et femmes sont Ă©gaux en valeur et en dignitĂ© devant de la soumission dans le couple entre Ă©poux & Ă©pouseUn texte clair recommande la soumission de la femme Ă  son mari EphĂ©siens voir aussi 1 P Cette soumission doit ĂȘtre une attitude volontaire, et non une façade. La soumission de la femme doit ĂȘtre volontaire et non contrainte et forcĂ©e, en traĂźnant les pieds». Il ne s'agit pas non plus d'une soumission dĂ©gradante en ne prenant pas part Ă  la vie et sans discussion. Il s'agit d'un acte volontaire, d'un engagement, d'un partenariat. L'Ă©pouse dĂ©sire vivre cette soumission, d'abord parce que l'Ă©pouse aime le Seigneur et par Ă©gard envers celui qui est son Dieu, son Seigneur, son implique que l'Ă©pouse ne va pas chercher Ă  revendiquer ce rĂŽle Ă  la tĂȘte de la famille. Elle ne va pas non plus saboter toutes les dĂ©cisions. Elle accepte les dĂ©cisions de son mari et le soutient en toutes circonstances, il en a besoin. C'est lui qui doit assumer toute la responsabilitĂ© en tant que chef... et de l'aide est la bien des hommes n'assument pas leur position de chef et les responsabilitĂ©s qui vont avec, il peut aussi arriver que des femmes soient excessivement critiques ou querelleuses, sapant ainsi la relation telle que Dieu l'a soumission non seulement dans les faits, mais aussi dans les pensĂ©es pas de mĂ©pris, une chasse constante contre toutes les pensĂ©es qui pourraient ĂȘtre dĂ©gradantes pour son conjoint idem pour les hommes d'ailleurs.Il y a aussi le danger de la manipulation. Les femmes sont, souvent, pas toujours, mais bien souvent quand mĂȘme, plus subtiles que les hommes. Il en va de leur responsabilitĂ© de ne pas utiliser cette subtilitĂ© pour manƓuvrer leurs maris pour qu'ils fassent ce qu'elles attendent de lui. Le mari doit assumer l'autoritĂ© qui lui est donnĂ©e.Tout en dĂ©lĂ©guant de nombreuses tĂąches et responsabilitĂ©s aux membres de sa famille de façon Ă  mettre en valeur les compĂ©tences et capacitĂ©s de chacun, et en laissant en particulier Ă  son Ă©pouse une grande libertĂ© d'initiative, le mari et pĂšre de famille garde l'oeil sur la marche gĂ©nĂ©rale de son foyer de maniĂšre Ă  s'assurer que les choses se passent comme elles doivent et que les dĂ©cisions ou les mesures nĂ©cessaires Ă  la bonne marche du foyer et au bien-ĂȘtre de chacun de ses membres soient prises. Quelle que soit la maniĂšre d'arriver aux dĂ©cisions dans le couple, quelle que soit l'implication – qu'on peut souhaiter maximale – de l'Ă©pouse dans le processus de dĂ©cision, quelle que soit la part de dĂ©lĂ©gation confiĂ©e Ă  l'Ă©pouse dans ce domaine, c'est lui qui en porte la responsabilitĂ© premiĂšre et c'est Ă  lui qu'il appartient de trancher tout en tenant compte du point de vue de son Ă©pouse et de ses enfants lorsque la discussion ne permet pas de dĂ©boucher sur un accord.» Texte de Sylvain Romerowski, La Revue RĂ©formĂ©e», n° 240.L'homme et la femme sont donc des partenaires, avec discussion, Ă©changes, mais si un dĂ©saccord subsiste, il est nĂ©cessaire qu'une personne puisse trancher, notamment lorsqu'il n'est plus possible de diffĂ©rer la dĂ©cision. C'est le rĂŽle du mari, qui doit prendre ses responsabilitĂ©s et assumer ses de l'homme dans le coupleSi Dieu demande Ă  la femme de se soumettre, il ne demande pas Ă  l'homme de dominer. Il demande d'aimer. Et aimer jusqu'au sacrifice, comme Christ a aimĂ© l'Eglise Ep romantique, l'amour liĂ© aux sentiments est une bonne et belle chose qui a toute sa place dans le mariage. La complicitĂ©, l'amitiĂ© dans le mariage sont des ingrĂ©dients beaux, utiles, forts mĂȘme. Ils font partie de la relation. Mais ce n'est pas suffisant. Il y a aussi l'amour qui se l'exemple de JĂ©sus Jn l'autoritĂ© est une autoritĂ© pour servir, pour le service des personnes sur qui l'autoritĂ© s'exerce. Le mari doit donc prendre les dĂ©cisions qui s'imposent non pas pour son propre bien, son propre intĂ©rĂȘt, mais pour le bien de son Ă©pouse et de toute sa famille le cas Ă©chĂ©ant. Il a besoin de toute l'aide de toute la sagesse divine pour mener Ă  bien cette tĂąche de l'homme et de la femme ?Un petit commentaire sur la complĂ©mentaritĂ© homme femme et le texte de GenĂšse parle souvent de complĂ©mentaritĂ© entre l'homme et la femme... enfin surtout la femme qui est complĂ©mentaire de son mari, considĂ©rĂ© comme la personne la plus importante du le rĂ©cit de la crĂ©ation, la complĂ©mentaritĂ© est absente. S'il n'est pas bon que l'homme soit seul, si la femme est tirĂ©e de l'homme, il n'est jamais dit que l'homme et la femme sont Platon qui a dit que les humains Ă©taient au dĂ©part mĂąle et femelle et que les dieux les auraient coupĂ©s en deux pour les affaiblir. D'oĂč cette recherche de sa moitiĂ© pour de nouveau vivre une certaine plĂ©nitude. Rien de biblique rien de vrai non plus!Si l'homme et la femme sont créés l'un pour l'autre, mais ils sont chacun des personnes Ă  part entiĂšre, pas besoin du mariage pour ĂȘtre une personne accomplie, mĂȘme si le mariage est une belle chose. Une personne cĂ©libataire n'est pas incomplĂšte mais elle a toute sa valeur en elle-mĂȘme... ceci dit sans minimiser les souffrances que cet Ă©tat occasionne rencontre de l'homme et de la femme n'est pas la rĂ©union de deux personnes complĂ©mentaires, mais de 2 personnes Ă  part entiĂšre qui doivent s'accepter l'une l'autre en faisant l'expĂ©rience de leur texte de GenĂšse 2 oĂč Adam reconnaĂźt Eve met surtout l'accent sur la similitude aprĂšs avoir nommĂ© tous les animaux, aprĂšs avoir vu toute la crĂ©ation, il dĂ©couvre cette femme qui lui est la femme est soumise Ă  son mari, elle lui est semblable dans l'humanitĂ©, la dignitĂ©, la valeur... cela va de soi pour nous, mais il est intĂ©ressant de pouvoir le mentionner dans notre maniĂšre de prĂ©senter la foi et notre maniĂšre de questionJ'apprĂ©cie que vous me fournissiez une rĂ©ponse prĂ©cise Ă  un sujet aussi complexe mais surtout je prends votre premiĂšre affirmation Les femmes en gĂ©nĂ©ral n'ont pas Ă  ĂȘtre soumises aux hommes en gĂ©nĂ©ral» et que je lis dans la Parole en CorinthiensJe veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ ... l'homme n'a pas Ă©tĂ© tirĂ© de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l'homme et l'homme n'a pas Ă©tĂ© créé Ă  cause de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l'homme... C'est pourquoi la femme, Ă  cause des anges, doit avoir sur la tĂȘte une marque de l'autoritĂ© dont elle dĂ©pend» 1 Cor 8-10, ainsi que Que la femme Ă©coute l'instruction en silence, avec une entiĂšre soumission. Je ne permets pas Ă  la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autoritĂ© sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a Ă©tĂ© formĂ© le premier, Eve ensuite» 1 Tim n'est-il pas en train de dire que "les femmes en gĂ©nĂ©ral" doivent ĂȘtre soumises "aux hommes en gĂ©nĂ©ral" ? Le terme homme» dans ce texte ne rĂ©fĂšre-t-il pas Ă  la race humaine mĂąle ? Utilisant le concept d'Adam et de Ève comme base de son instruction, les femmes ne doivent-elles pas ĂȘtre soumis Ă  tout homme?Merci de m'Ă©clairer, je vous avoue que tout cela est discordant, Ă  premiĂšre quelques Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse Ă  propos de textes reconnus difficiles par la majoritĂ© des spĂ©cialistes. Je ne prĂ©tends pas tout expliquer, mais je donne quelques idĂ©es, sachant que certains points demeurent texte de Galates donne une premiĂšre base pour montrer l'abolition de toute distinction de valeur devant texte de 1 Corinthiens 11 est dĂ©licat. Les versets 3-5 Ă©voquent toute femme» mais son chef» ou sa tĂȘte» selon les traductions. Si on ajoute le parallĂšle avec EphĂ©siens 5 relations mari et femmes, on voit qu'il s'agit sans doute des relations entre une femme et son mari. Cela correspond d'ailleurs bien aux conventions de l'Ă©poque la tenue vestimentaire de la femme reflĂ©tait le statut social de son mari et ĂȘtre tĂȘte nue exposait une femme aux avances masculine, d'oĂč le dĂ©shonneur pour le mari et non pour tous les hommes.Aux versets 8 et 9 Eve a Ă©tĂ© tirĂ©e de son mari, le texte montre d'ailleurs bien qu'il s'agit d'un cas particulier entre Adam et Eve dont Paul se sert pour gĂ©nĂ©raliser aux relations dans le verset 10 est, d'aprĂšs plusieurs commentateurs et spĂ©cialistes du Nouveau Testament, mal traduit. On ne trouve pas dans le grec dont elle dĂ©pend ». On retrouve 2 maniĂšres de comprendre ce verset- Soit la femme a un signe sur la tĂȘte montrant son autoritĂ© pour prophĂ©tiser elle exerce une autoritĂ©.- Soit la femme doit avoir sur la tĂȘte une marque de l'autoritĂ© qui est sur elle, c'est-Ă -dire, selon les autres textes du Nouveau Testament, son mari, et non pas les hommes en texte de 1 TimothĂ©e continue de faire couler beaucoup d'encre. Paul ne permet pas Ă  la femme d'enseigner en prenant autoritĂ© sur l'homme la prise d'autoritĂ© est liĂ©e Ă  l'enseignement, ce n'est pas un cas gĂ©nĂ©ral. Il Ă©voque ici un cas gĂ©nĂ©ral dans l'Eglise en maintenant une claire distinction des sexes, Ă©lĂ©ment normatif Ă  Ă  un texte aussi discutĂ©, je ne peux que donner quelques Ă©lĂ©ments. Paul interdisait Ă  l'Ă©poque un enseignement qui impliquait une prise d'autoritĂ© tout en permettant Ă  la femme de prier, prophĂ©tiser et ĂȘtre diacre dans l'Eglise. Il donne des directives pour organiser le culte, il y a donc une limitation dans la portĂ©e de son commandement, il ne s'applique pas hors du cadre du Le principe gĂ©nĂ©ral est la soumission de la femme Ă  son mari avec le cadre donnĂ© dans ma rĂ©ponse prĂ©cĂ©dente, l'autoritĂ© Ă©tant liĂ©e au service... un service prĂȘt Ă  se sacrifier, Ă  l'image de Christ. Paul a clairement demandĂ© que les femmes, en gĂ©nĂ©ral, ne prennent pas autoritĂ© sur les hommes dans le culte, en tout cas dans le domaine de l'enseignement. On remarque d'ailleurs que les responsables des Eglises ont longtemps Ă©tĂ© exclusivement des hommes et que c'est encore le cas dans de nombreuses Eglises, comme rĂ©action Ă  cet questionDans vos courriels, vous insistez sur la valeur Ă©gale des hommes et des femmes. Je veux que vous sachiez d'entrĂ©e de jeu que je n'ai jamais mis en cause la valeur» devant Dieu de la gente fĂ©minine; créée Ă  l'image de notre Dieu, elle est une crĂ©ature de ce mĂȘme Dieu mĂȘme si cela semble, selon la GenĂšse, s'ĂȘtre produit dans un deuxiĂšme temps. C'est sur la question du rĂŽle que se situe la difficultĂ© et comme vous le dites certains points demeurent obscurs» dans l' mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tabli un point de vue dĂ©favorable ou, disons, diffĂ©rent du rĂŽle de la femme, cela demeure difficile Ă  saisir. Ne serait-ce le fait que dans l'Ă©pĂźtre aux Corinthiens, Paul dit en mĂȘme temps que les femmes se taisent dans les assemblĂ©es, car il ne leur est pas permis d'y parler», brandissant mĂȘme la loi au fait, oĂč se trouve cette loi dans le Pentateuque ?; et Ă  la fois il leur recommande que lorsqu'elle prie et prophĂ©tise» prophĂ©tiser annoncer les oracles de Dieu Ă  l'assemblĂ©e, elle soit voilĂ©e...Priscille que l'on retrouve aux cĂŽtĂ©s de Paul et dont il est dit, qu'elle et son mari ont pris Ă  part Apollos homme trĂšs instruit nous dit le texte pour l'instruire plus exactement dans les voies de Dieu. Elle devait avoir une autoritĂ© pour enseigner ?De toute Ă©vidence, Paul ne fait aucune obstruction Ă  ses activitĂ©s d'enseignements, non ?Avez-vous des pistes de rĂ©flexion sur ces derniers points ?RĂ©ponseLes textes que vous Ă©voquez sont particuliĂšrement sensibles et difficiles, mĂȘme pour les spĂ©cialistes du Nouveau j'ai bien compris les textes, Paul souligne Ă  la fois une Ă©galitĂ© de valeur entre l'homme et la femme et une prééminence de l'homme Ă©voquĂ©e par exemple dans 1 Corinthiens dans 2 cas Il s'agit du mariage oĂč les deux Ă©poux ne forment plus qu'un» Gn mais oĂč l'homme garde une autoritĂ© liĂ©e Ă  un service et une responsabilitĂ© plus grande, tout en sachant que la femme doit se soumettre et l'homme doit non dominer, mais aimer sa femme, comme rappelĂ© en EphĂ©siens 5. On remarque aussi que dans le couple, chacun a autorité» sur le corps de l'autre 1 Co Le second cas est celui de l'Eglise qui se rassemble. Tout en autorisant et encourageant la femme Ă  exercer ses dons, Paul demande que dans le cadre de l'Eglise, les femmes en gĂ©nĂ©ral ne prennent pas autoritĂ© sur les hommes en gĂ©nĂ©ral et sur l'assemblĂ©e entiĂšre. Pour reprendre les exemples que vous citez, il est vrai que Priscille a enseignĂ©, avec son mari Ac ce qui montre au moins un ministĂšre dans le cadre du Ă©voque aussi les femmes qui prient, qui prophĂ©tisent 1 Co La dĂ©finition de la prophĂ©tie est donnĂ©e plus loin 1 Co avec une exhortation qui correspond Ă  l'application de vĂ©ritĂ©s bibliques dans la vie du croyant. En ce sens, cette prophĂ©tie n'est pas revĂȘtue d'une autoritĂ© normative. Ce sont plutĂŽt des paroles d'encouragement qui aident Ă  rendre concrĂštes les vĂ©ritĂ©s abstraites de la doctrine reste les demandes difficiles de 2 textes 1 Corinthiens et 1 TimothĂ©e Avant cela, je note pour la question du voile 1 Co 11,1-15 que le mot voile» n'apparaĂźt qu'une seule fois dans ce passage, au verset 15. Pour le reste, on parle de la tĂȘte couverte» ou non couverte», mais pas de voile et au verset 15, ce sont les cheveux qui servent de voile. Le sens gĂ©nĂ©ral du texte est de respecter l'ordre crĂ©ationnel. Les hommes sont des hommes et les femmes restent des femmes; il ne serait pas juste d'abolir toute diffĂ©rentiation Ă  la loi 1 Co n'est pas claire. Certains voient une loi civile; pour d'autres, Paul dit la loi» pour Ă©voquer l'ensemble du Pentateuque. Dans ce cas, la loi Ă©voquerait le principe de subordination de la femme créée pour l'homme voir son argumentation en 1 Co le texte de 1 TimothĂ©e les spĂ©cialistes sont d'accord pour souligner que le contexte est celui des rencontres d'Eglise, lorsque l'Eglise est rassemblĂ©e. Le sens de ce passage dĂ©pend de l'interprĂ©tation du terme rendu par enseigner» au verset 12, que certains traduisent enseigner en prenant autorité». De quel enseignement s'agit-il ? Les avis sont rĂŽle de la femme dans l'EglisePour faire court, voici 4 maniĂšres de comprendre le texte. Certains dĂ©fendent tout enseignement, et toute prise de parole de la femme, ce qui pose problĂšme avec la priĂšre publique et la prophĂ©tie pourtant autorisĂ©e ailleurs. D'autres considĂšrent que le ministĂšre d'enseignement avec autoritĂ© n'Ă©tait valable qu'Ă  une Ă©poque oĂč le Nouveau testament n'existait pas. L'ordre de Paul vise donc des femmes qui pourraient prendre autoritĂ© par leur enseignement puisqu'il n'y avait pas encore de canon de l'Ecriture formĂ©. D'autres affirment que cet ordre se limite Ă  EphĂšse et qu'il est purement contextuel. Cela ne me paraĂźt pas faire justice au texte qui est d'ordre gĂ©nĂ©ral. On peut aussi voir une interdiction pour la femme d'exercer un enseignement revĂȘtu d'autoritĂ©, c'est-Ă -dire un ministĂšre d'enseignant principal, de docteur de l'Eglise. Pour le texte de 1 Corinthiens je laisse tomber les interprĂ©tations qui voient ce texte comme un ajout ultĂ©rieur ou celles qui restreignent son application. Il ne s'agit, semble-t-il, pas non plus de bavardage. La maniĂšre de comprendre la plus probante Ă  mes yeux mais d'autres avis existe et je me prĂ©tends pas avoir la vĂ©ritĂ© sur ce texte comme sur le prĂ©cĂ©dent est de considĂ©rer le passage dans son ensemble, commençant au verset versets 33-35, Paul Ă©voque les prophĂ©ties et notamment leur Ă©valuation, puisque les prophĂ©ties du Nouveau Testament ne sont pas infaillibles et doivent ĂȘtre Ă©valuĂ©es voir verset 29. La traduction de la Bible du Semeur» favorise d'ailleurs cette interprĂ©tation, mĂȘme si cela reste une peut alors comprendre que les femmes ne peuvent exercer un ministĂšre d'autoritĂ© en Ă©valuant les prophĂ©ties, et par extension, les exhortations, tĂ©moignages, encouragements donnĂ©s en application de l'enseignement je rĂ©sume ce que ces 2 textes soulignent, j'arrive Ă  3 conclusions personnelles La femme peut prendre la parole dans l'Eglise pour apporter un encouragement, une exhortation Ă  l'application de l'Ecriture, ce que nous appelons un tĂ©moignage. Il ne lui est pas permis d'ĂȘtre docteur de l'Eglise», c'est-Ă -dire rĂ©fĂ©rence ultime en matiĂšre d'enseignement, de doctrine. Certains diront que de toute façon, tout enseignant reste soumis Ă  l'Ecriture, ce qui est vrai pour l'homme comme pour la femme. D'autres objecteront que les anciens exercent une autoritĂ© et refuseront cette fonction pour les femmes par l'autoritĂ© qu'elles prennent sur les hommes dans le cadre de l'Eglise. On note que ce sont les anciens qui sont responsables de l'enseignement et vont Ă©valuer les prophĂ©ties, les enseignements, les prises de parole publiques dans les Eglises. Paul restreint l'exercice de l'autoritĂ© de la femme sur l'Eglise, mais toutes les autres fonctions lui sont ouvertes. Il faut aussi prĂ©ciser que si la femme ne doit pas prendre autoritĂ© sur l'homme, cela ne signifie pas pour autant que tout homme a autoritĂ© sur toute femme. Le cĂŽtĂ© individuel ne s'applique pas ainsi. Les anciens collectivement, et non individuellement ont autoritĂ© sur toute l'Eglise autoritĂ© dĂ©lĂ©guĂ©e par Christ, autoritĂ© de service, mais autoritĂ© malgrĂ© tout et la femme est soumise Ă  son mari. Il n'y a pas d'autres principes qui enseigneraient une domination, une autoritĂ© des hommes sur les selon les chapitres 14 et 15 de l'Ă©pĂźtre aux Romains, nous devons veiller Ă  ne pas choquer par nos paroles et notre enseignement. Il est ainsi parfois prĂ©fĂ©rable que la femme limite certaines prises de parole si l'assemblĂ©e ne peut les livre peut vous aider, au moins dans les questions qu'il pose et par les pistes de recherche qu'il offre, mĂȘme si vous n'ĂȘtes pas obligĂ©s d'ĂȘtre d'accord avec les conclusions qu'il tire comme avec ce que j'ai partagĂ©, bien sĂ»r. Il s'agit de La femme dans l'Eglise», d'Alfred Charvin, pasteur

Hierencore, le combat des femmes (2/4) : la femme mariĂ©e, une mineure sous l'autoritĂ© de son Ă©poux 02 mars 2020 Ă  12:07 - mise Ă  jour 03 mars 2020 Ă  14:27 ‱ 4 min Par DaphnĂ© Van Ossel

Cette sĂ©rie d’articles rend compte de mon intervention lors de la journĂ©e Points Chauds » du 2 mai 2019 au Centre de Formation du Bienenberg. Pour obtenir davantage d’informations quant au journĂ©es-dĂ©bats Points chauds », visitez ce lien. ** Comme je l’indiquais la semaine derniĂšre, je publie depuis le 2 mars 2019 les notes de mon dĂ©bat avec Yoder, lors duquel je dĂ©fendais la position complĂ©mentariste traditionnelle. J’ai commencĂ© l’ensemble des textes clĂ©s de GenĂšse 1-3, que j’estime fondamentaux, et y ai relevĂ© Que la crĂ©ation de l’homme et de la femme Ă  l’image de Dieu offre quelques indices en faveur du complĂ©mentarisme voir ici Que la crĂ©ation de la femme de l’homme et pour l’homme implique une relation de direction/subordination entre les deux voir ici Que la chute a changĂ© de maniĂšre tragique cette complĂ©mentaritĂ© idĂ©ale en une relation de domination abusive, avec toutes les dĂ©rives que nous connaissons aujourd’hui voir ici MĂȘme si les textes les plus dĂ©battus se situent dans le Nouveau Testament, plus spĂ©cifiquement dans les Ă©crits pauliniens, je maintiens que la clĂ© du dĂ©bat se trouve dans l’interprĂ©tation des rĂ©cits de la crĂ©ation. Comme je l’indiquais dans le dernier article de la sĂ©rie, publiĂ© la semaine derniĂšre voir ici, l’ensemble des passages de l’Écriture ultĂ©rieurs Ă  GenĂšse 1-3 touchant directement aux questions de masculinitĂ© et de fĂ©minitĂ© font systĂ©matiquement rĂ©fĂ©rence aux rĂ©cits bibliques des origines. Ainsi, par exemple, le passage tant dĂ©criĂ© de la soumission de la femme Ă  l’homme en ÉphĂ©siens fait clairement appel Ă  Cette semaine, nous nous tournons vers un autre passage controversĂ© 😉 Un texte unique en son genre Ce passage, c’est celui de 1 Co la seule et unique rĂ©fĂ©rence au port du voile dans tout le Nouveau Testament. MĂȘme si la formule d’introduction est obscure Paul y rĂ©pond sans doute Ă  une question ou Ă  une affirmation erronĂ©e de l’une des factions qui s’entre dĂ©chiraient au sein de l’Église de Corinthe. L’objectif de Paul est apparement de justifier l’une de ses instructions antĂ©rieures relative au port du voile. Dans cet article, mes commentaires seront limitĂ©s Ă  la question de la masculinitĂ© et de la fĂ©minitĂ©. Pour une exposition plus dĂ©taillĂ©e de ce texte, et Ă©ventuellement si mon avis sur la question du port voile vous intĂ©resse, Ă©coutez ce podcast. Une analogie trinitaire Pour Paul, le port du voile est intimement liĂ© Ă  la relation qu’entretiennent les chrĂ©tiens et les chrĂ©tiennes de Corinthe. Au sein de la sĂ©rie d’arguments qu’il propose, on retrouve une analogie trinitaire mettant en parallĂšle entre le rapport ente l’homme et la femme avec le rapport en le PĂšre et Christ En substance, l’argument de Paul est hiĂ©rarchique Dieu le PĂšre est le chef litt., la tĂȘte », kephalĂš de Christ, qui est lui-mĂȘme le chef de tout homme, ce dernier Ă©tant lui-mĂȘme le chef de la femme. Selon Paul, toute femme non voilĂ©e dĂ©shonore son chef, tandis que c’est l’inverse pour l’homme GĂ©nĂ©ralement, les dĂ©bats se focalisent ici sur deux points. 1- La relation de subordination trinitaire dĂ©crite dans ce passage Cette relation intra-trinitaire a Ă©tĂ© l’objet de nombreux dĂ©bats au sein du monde Ă©vangĂ©lique ces vingt derniĂšres annĂ©es. Certains thĂ©ologiens complĂ©mentariens Bruce Ware, Wayne Grudem [qui a beaucoup Ă©voluĂ© dans ses positions], Denny Burk, Mark Thompson, Mike Ovey dĂ©fendent leur position en affirmant que le Fils est Ă©ternellement soumis au PĂšre de maniĂšre fonctionnelle au sein de la TrinitĂ© on appelle cette position EFS, Eternal Functional Submission of the Son. Les thĂ©ologiens Ă©galitariens rejettent cette affirmation au motif qu’elle est hĂ©tĂ©rodoxe, voire hĂ©rĂ©tique, et qu’elle s’écarte trĂšs nettement des dĂ©finitions Ă©tablies aux conciles de NicĂ©e et de Constantinople. Sur ce point, ce sont les Ă©galitariens qui ont raison, et les dĂ©fenseurs du thĂ©isme classique dont je suis ne peuvent que constater les dĂ©gĂąts causĂ©s par certaines formulations hasardeuses des thĂ©ologiens complĂ©mentariens mentionnĂ©s ci-dessus. L’analogie trinitaire avancĂ©e par Paul au verset 3 n’est qu’une analogie en voulant la pousser trop loin, l’on risque de glisser dans l’erreur subordinatianiste OrigĂšne. Je reste personnellement convaincu que Paul s’appuie sur la relation entre le PĂšre et le Fils incarnĂ© pour construire son analogie. Il n’est nullement nĂ©cessaire de spĂ©culer sur les relations intra-trinitaires Ă©ternelles pour affirmer ou infirmer le complĂ©mentarisme. 2- La traduction du mot kephalĂš Depuis 1954, suite Ă  un influent article de Stephen Bedale, le sens mĂ©taphorique de direction donnĂ© Ă  kephalĂš est rĂ©guliĂšrement contestĂ© au profit de la traduction source ». Si nous devons suivre cette proposition, alors il nous faut accepter que Paul ne dĂ©veloppe aucun argument hiĂ©rarchique en 1 Cor 11, mais qu’il suit plutĂŽt la logique procrĂ©ationelle » que les Ă©galitariens pensent pouvoir lire dans les rĂ©cits des origines voir les trois premiers articles de cette sĂ©rie sur Gen 1-3, notamment celui-ci. Il m’est impossible de rendre compte de l’ensemble des dĂ©bats que cette proposition a suscitĂ©. Je reste personnellement convaincu que la traduction source » est indĂ©fendable, en particulier en 1 Cor 11, et je me rallie pleinement aux conclusions de Sylvain Romerowski dont je vous encourage Ă  lire les travaux Ă  ce sujet dans la Revue de ThĂ©ologie EvangĂ©lique. Voir l’article initial ici et son complĂ©ment ici. Grudem, Ă  mon sens, a mis fin au dĂ©bat dĂšs 1985 en analysant prĂšs de 2 336 occurrences de kephalĂš dans la littĂ©rature hellĂ©nistique voir ici, en anglais. Certes, plusieurs spĂ©cialistes Ă©galitatiens ont tentĂ© de rĂ©pondre Ă  son article, sans se montrer rĂ©ellement convaincant. Grudem rĂ©pond Ă  leurs principales critiques dans un article de JETS en 2001 voir ici, en anglais. Un appel Ă  l’ordre crĂ©ationnel Bien que Paul utilise kephalĂš dans le sens de tĂȘte », au sein d’une mĂ©taphore visant Ă  dĂ©crire une forme de hiĂ©rarchie, il fait tout de mĂȘme appel Ă  l’argument de l’origine de la femme dans un deuxiĂšme temps L’homme n’a pas Ă©tĂ© tirĂ© de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l’homme, et l’homme n’a pas Ă©tĂ© créé Ă  cause de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l’homme » Il en tire la conclusion Ă©nigmatique du C’est pourquoi la femme, Ă  cause des anges, doit avoir sur la tĂȘte [une marque de l’] autoritĂ© dont elle dĂ©pend. » Traditionnellement, la rĂ©fĂ©rence aux anges est expliquĂ©e par EphĂ©siens texte selon lequel le monde invisible, dĂ©signĂ© par le couple domination et autoritĂ© », apprend la sagesse infiniment variĂ©e de Dieu par l’Eglise ». Cette explication est plausible, mais il faut reconnaĂźtre que la formule de Paul est bien trop laconique pour trancher avec certitude. Sans doute faisait-il rĂ©fĂ©rence Ă  l’un de ses enseignements donnĂ©s Ă  Corinthe lors de son sĂ©jour, de sorte que ses lecteurs savaient exactement Ă  quoi il se rĂ©fĂ©rait. Il me semble toutefois que l’emprunt textuel appuie largement l’idĂ©e de hiĂ©rarchie Ă©tablie par Paul au dĂ©but du chapitre 11. En se rĂ©fĂ©rant Ă  la crĂ©ation de la femme de l’homme et pour l’homme, Paul rappelle que la responsabilitĂ© de direction a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  ce dernier dĂšs l’état de perfection. Et son instruction sur le voile sert Ă  manifester cette rĂ©alitĂ© Ă  cause des anges », quoi que cela signifie. AutoritĂ©, mais de qui ? Les discussions autour de cet obscur se focalisent surtout sur la notion d’autoritĂ© exoucia. Ce terme peut recouvrir une multitude de sens, comme le pouvoir, la libertĂ©, ou de droit. La frontiĂšre entre chacun de ces concepts est parfois bien fine, et ils peuvent mĂȘme se superposer en certains contextes. Comme je l’ai indiquĂ©, le laconisme du n’aide pas les interprĂštes. La plupart de nos traductions sont obligĂ©es de supplĂ©er certains mots par exemple, dans la NEG79, le terme marque » et l’expression dont elle dĂ©pend » sont en rĂ©alitĂ© interpolĂ©s par les traducteurs. Les thĂ©ologiens Ă©galitariens adoptent deux principales stratĂ©gies interprĂ©tatives ils contestent toute rĂ©fĂ©rence Ă  une notion d’autoritĂ© ou, lorsqu’ils l’acceptent, ils cherchent Ă  la confĂ©rer Ă  la femme en traduisant elle doit avoir sur la tĂȘte une marque de sa propre autoritĂ© ». Cependant, de telles interprĂ©tations n’ont aucun sens au regard de la logique employĂ©e par l’apĂŽtre dans ce passage, surtout si kephalĂš Ă©tablit un contexte de direction/subordination, comme je le pense. Avec Romerowski voir son article ici, j’estime qu’exoucia fait bien rĂ©fĂ©rence Ă  l’autoritĂ© de l’homme, chef » de la femme Reste Ă  savoir qui est l’homme dont il est question ici est-ce le mari, comme le conclut Romerowski ? Tous les hommes en gĂ©nĂ©ral ? Qui est donc ce chef de la femme » ? Je ne crois pas que 1 Cor 11 suggĂšre que toute femme est appelĂ©e Ă  se subordonner Ă  tous les hommes en gĂ©nĂ©ral. Aucun texte du canon biblique ne va dans ce sens. La relation intertextuelle que ce texte entretient avec GenĂšse 1-3 suggĂšre plutĂŽt que Paul fait simplement rĂ©fĂ©rence Ă  l’ordre crĂ©ationnel il rappelle le principe initial selon lequel la responsabilitĂ© de direction est confiĂ©e Ă  l’homme, qui en retour est appelĂ© Ă  exercer un leadership sacrificiel envers la femme, Ă  l’aimer, Ă  la chĂ©rir, et travailler conjointement avec elle Ă  l’avancement du Royaume de Dieu. C’est ce principe qui est matĂ©rialisĂ© par le port du voile. À suivre. Ces ressources pourraient vous intĂ©resser VoilĂ  pourquoi JĂ©sus peut pardonner vos pĂ©chĂ©s FĂ©minisme et esclavagisme Une autre chair », Jude 7 et l’homosexualitĂ©
Laparticipation des femmes au marchĂ© du travail y est de 35,2 % contre 58,6 pour les hommes. L’accĂšs Ă  la terre et la sĂ©curitĂ© du rĂ©gime foncier, l’accĂšs aux mĂ©canismes de financement, l’accĂšs aux facteurs de production et aux services de vulgarisa-tion, mais aussi les effets du changement climatique restent les principaux dĂ©fis pour l’autonomisation des femmes. L’élimina
Introd Le Foyer chrĂ©tien donnĂ© par DIEU Ă  la crĂ©ation, reflĂšte une vie parfaite avec DIEU. Malheureusement, il existe le pĂ©chĂ© qui met en dĂ©sordre, dĂ©saccord le mariage que DIEU a instituĂ©. 1. Le mariage. Gn ; DIEU les bĂ©nit et leur dit Soyez fĂ©cond, multipliez, dominez sur toutes choses de la terre

 Il n’est pas bon que l’homme soit seul, c’est pourquoi l’homme quittera son pĂšre et s’attachera Ă  sa femme et deviendront une seule chair.. ». DIEU mĂȘme a instituĂ© le mariage Ă  la crĂ©ation, parce qu’il voyait que l’homme serait malheureux, triste. Il doit rester ensemble afin qu’il deviennent un, une seule personne en Christ. Matt Ainsi, ils ne sont plus 2, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sĂ©pare pas ce que DIEU a joint.. ». De mĂȘme, l’homme quittera son pĂšre et s’attachera Ă  sa femme. DIEU a instituĂ© le mariage et quand un homme Ă©pouse une femme, ils sont unis pour la vie, alors l’homme ne pourra plus les sĂ©parĂ©, car ils sont pour la vie. Ex Tu ne commettra point d’adultĂšre.. ». En faite dans le mariage, il y a le pĂ©chĂ© qui fait rage. Il dĂ©truit le mariage et l’homme ou la femme va voir ailleurs ». Pourtant la loi de DIEU est contre ces choses. 2. Des conseils pour avoir un mariage heureux. Eph Femme que chacune soit soumise Ă  son mari, comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Eglise qui est son corps.. ». Pour avoir un mariage heureux, que homme et femme sont soumis l’un Ă  l’autre, comme c’est. De mĂȘme ce verset nous dĂ©clare, que l’homme est le chef du foyer, comme Christ est le chef de L’Eglise. Tite Le but d’apprendre aux jeunes femmes Ă  aimer leurs maris et leurs enfants, Ă  ĂȘtre retenus, occupĂ©s aux soins domestiques, afin que la Parole de DIEU ne soit pas calomniĂ©s.. » La femme doit aimer son mari et ses enfants. De mĂȘme son rĂŽle est de s’occuper des affaires de la maison afin que la Parole de DIEU ne soit pas calomniĂ©s Prov Mieux vaut habiter Ă  l’angle d’un toit, que de partager la demeure d’une femme querelleuse. L’ñme du mĂ©chant dĂ©sire le mal.. ». De mĂȘme pour que le foyer soit respectĂ©, il faut que la femme ne soit pas querelleuse, il doit avoir une communion intime, afin que l’amour rĂšgne dans le foyer. Eph C’est ainsi que le mari doit aimer sa femme comme son propre corps, car personne n’a pu haĂŻr sa propre chair, mais il l’a nourrit et en prends soin.. ». De mĂȘme le mari doit aimer sa femme, le chĂ©rir comme son propre corps, car il forme un seul corps par le mariage. Il doit en prendre soin, la nourrir et l’aimer de toute son cƓur. Col Mari que chacun aime sa femme et ne s’aigrisse pas contre elle.. ». En faite le principe du mariage doit ĂȘtre l’amour. Il doit ĂȘtre patient, calme. Il ne doit pas s’énerver pour rien, car on doit supporter tout. 3. L’éducation des enfants. Prov Instruit l’enfant selon la voie qu’il doit suivre, Et il sera vieux il ne s’en dĂ©tournera point 
 ». En tant que parent, nous devons Ă©duquer les enfants dans la vĂ©ritĂ©, les conduire vers Christ, notre Sauveur. L’éducation spirituelle est trĂšs importante dans sa vie future. Prov Celui qui mĂ©nage sa verge hait son fils, mais celui l’aime chercher Ă  le corriger.. ». De mĂȘme, nous voyons que l’enfant doit recevoir la correction afin de le conduire dans la bonne direction. Car DIEU lui-mĂȘme, nous donnera des Ă©preuves et difficultĂ©s Ă  surmonter qui correspondront aux corrections de nos parents qui veulent nous corriger. JosuĂ© Si nous ne trouvez pas bon de servir DIEU, choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir, soit les dieux que vos pĂšres ont servi, des dieux paĂŻens. Mais Moi et Ma maison nous serviront l’Eternel.. ». En tant que parent, nous dĂ©cidons de servir DIEU notre Sauveur. C’est pour cela qu’il enseignera Ă  leurs enfants l’importance d’obĂ©ir Ă  DIEU. Mais DIEU ne nous oblige pas Ă  lui obĂ©ir, il nous laisse le choix de le faire vr Eccl 2 Tim Des ton enfance tu connais les saintes Ă©critures, qui peuvent te rendre sage pour le salut en JC. Tout Ă©criture est inspirĂ©e pour corriger, pour instruire, nous convaincre, nous enseigner. ». L’enseignement que nous recevons de nos parents, nous permet d’obtenir le salut de JC, sa sagesse.. Conclusion Le foyer doit reprĂ©senter la vie de JC dans toute sa splendeur. Nous devons suivre l’exemple de JC, dans la vie de tout les jours donner le bon exemple de son amour pour nous. APPEL J’honorerai DIEU dans mon foyer.
Aujourdhui, la diffĂ©rence entre l’homme et la femme est une rĂ©alitĂ© indĂ©niable. Pour autant, elle ne semble pas aussi grande qu’on l’imaginait il y a quelques annĂ©es. Orientation

RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© hier Ă  0800, Mis Ă  jour hier Ă  1042 Christine Lagarde se confie Ă  Madame Figaro depuis son bureau Ă  Francfort. Matias Indjic ENTRETIEN EXCLUSIF - Pour Madame Figaro, la prĂ©sidente de la Banque centrale europĂ©enne revient sur deux annĂ©es intenses, entre pandĂ©mie, guerre en Ukraine et inflation. Elle nous parle d'elle, des dĂ©fis Ă  relever et de sa vision pour l'avenir. Pour la voir, il faut passer plusieurs sas. Celui du calendrier mĂ©diatique, d'abord. Christine Lagarde n'appartient plus Ă  la France depuis longtemps, mais doit depuis le 1er novembre 2019 – date de sa nomination Ă  la tĂȘte de la Banque centrale europĂ©enne BCE – se partager entre les 19 pays de l'Union europĂ©enne utilisant l'euro. Ce qui rĂ©duit la fenĂȘtre de tir et contribue Ă  rendre sa parole rare et prĂ©cieuse. Le second sas, lui, est physique. À l'image de cette tour Ă  la fois anguleuse et torsadĂ©e – signĂ©e de l'architecte autrichien Wolf Dieter Prix – qui s'Ă©lĂšve sur les rives du Main, Ă  Francfort, la prĂ©sidente semble presque isolĂ©e dans son bureau du 40e Ă©tage – quand seuls les badges d'une garde rapprochĂ©e peuvent dĂ©passer le 37e. Deux ascenseurs et un couloir plus loin, elle est lĂ , souriante, accessible, dans son bureau de verre qui surplombe la coulĂ©e verte du quartier d'Ostend et cette ville oĂč elle rĂ©side la semaine – elle essaie de rentrer autant que possible le week-end en
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Lamission Artémis I, premier volet du projet de la Nasa visant à retourner sur la Lune, doit décoller de Floride le 29 août prochain. Et
Question RĂ©ponse Bien que l’homme et la femme soient Ă©gaux devant Christ, les Écritures leur attribuent des rĂŽles spĂ©cifiques dans le mariage. Le mari doit assumer la direction du foyer 1 Corinthiens ÉphĂ©siens Son rĂŽle de chef de famille ne doit pas ĂȘtre autoritaire, hautain ou condescendant envers la femme, mais doit suivre l’exemple de Christ avec l’Église. Maris, aimez votre femme comme Christ a aimĂ© l’Église. Il s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour elle afin de la conduire Ă  la saintetĂ© aprĂšs l’avoir purifiĂ©e et lavĂ©e par l’eau de la parole. » ÉphĂ©siens Christ a aimĂ© l’Église son peuple avec compassion, misĂ©ricorde, pardon et respect, sans rien attendre en retour. C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs Ă©pouses. Les femmes doivent se soumettre Ă  l’autoritĂ© de leur mari. Femmes, soumettez-vous Ă  votre mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Église qui est son corps et dont il est le Sauveur. Mais tout comme l’Église se soumet Ă  Christ, que les femmes aussi se soumettent en tout Ă  leur mari. » ÉphĂ©siens Si les femmes doivent se soumettre Ă  leur mari, la Bible dit aussi Ă  plusieurs reprises aux hommes comment ils doivent se comporter avec leur femme pas comme des dictateurs, mais et la respectant, elle et ses opinions. En fait, ÉphĂ©siens exhorte les maris Ă  aimer leurs femmes comme leur propre corps, qu’ils nourrissent et dont ils prennent soin. L’amour d’un homme pour sa femme devrait ĂȘtre le mĂȘme que l’amour de Christ pour son corps, l’Église. Femmes, soumettez-vous Ă  votre mari comme il convient dans le Seigneur. Maris, aimez votre femme et ne vous aigrissez pas contre elle. » Colossiens Maris, vivez de mĂȘme en montrant de la comprĂ©hension Ă  votre femme, en tenant compte de sa nature plus dĂ©licate ; montrez-lui de l’estime, car elle doit hĂ©riter avec vous de la grĂące de la vie. Agissez ainsi afin que rien ne fasse obstacle Ă  vos priĂšres. » 1 Pierre Dans ces versets, on voit que le rĂŽle du mari comme de la femme se caractĂ©rise par l’amour et le respect. À partir de lĂ , l’autoritĂ©, la direction, l’amour et la soumission ne poseront problĂšme Ă  aucun des deux conjoints. Pour ce qui est du partage des responsabilitĂ©s au sein du foyer, la Bible demande aux maris de pourvoir aux besoins de leurs familles. Cela implique qu’il travaille et gagne assez d’argent pour pourvoir Ă  tous les besoins de la vie quotidienne pour sa femme et ses enfants. Manquer Ă  cela a des consĂ©quences spirituelles claires Si quelqu’un ne prend pas soin des siens, et en particulier des membres de sa famille proche, il a reniĂ© la foi et il est pire qu’un non-croyant. »1 TimothĂ©e Un mari qui ne fait aucun effort pour pourvoir aux besoins de sa famille ne peut donc pas, en toute bonne conscience, se dire chrĂ©tien. Cela ne signifie pas dire que l’épouse ne puisse pas l’aider dans cette tĂąche Proverbes 31 montre qu’une femme de valeur le fera certainement ; toutefois, ce n’est pas sa premiĂšre responsabilitĂ©, mais celle de son mari. Si le mari doit aider sa femme Ă  s’occuper des enfants et participer aux tĂąches mĂ©nagĂšres conformĂ©ment Ă  son devoir d’aimer sa femme, Proverbes 31 dit clairement que le foyer est la principale sphĂšre d’influence et de responsabilitĂ© de la femme. MĂȘme si elle doit se coucher tard et se lever tĂŽt, elle s’occupe bien de sa famille. Vivre ainsi n’est pas facile pour beaucoup de femmes, surtout dans les pays occidentaux dĂ©veloppĂ©s. Beaucoup trop de femmes sont stressĂ©es et dĂ©bordĂ©es jusqu’à l’épuisement. Pour Ă©viter cela, les deux conjoints doivent réévaluer leurs prioritĂ©s dans la priĂšre et suivre les injonctions bibliques quant leurs rĂŽles respectifs. Les conflits concernant la rĂ©partition des tĂąches dans le mariage sont inĂ©vitables, mais si les deux conjoints sont soumis Ă  Christ, leur ampleur restera minime. Si les disputes Ă  ce sujet sont trop frĂ©quentes ou virulentes ou semblent caractĂ©riser une union, il s’agit d’un problĂšme d’ordre spirituel. Dans ce cas, les conjoints doivent se reconsacrer Ă  la priĂšre et Ă  la soumission, d’abord Ă  Christ, puis l’un Ă  l’autre, dans une attitude d’amour et de respect. English Retour Ă  la page d'accueil en français Quel est le rĂŽle du mari et de la femme au sein de la famille ?
Lengagement de la France repose sur la Convention des Nations Unies «sur l’élimination de toutes les formes de discrimination Ă  l’égard des femmes» (CEDAW/CEDEF) signĂ©e le 17 janvier 1980 et ratifiĂ©e le 14 dĂ©cembre 1983 ainsi que sur la dĂ©claration de Beijing (1995) et sa plateforme d’actions. La France est tenue d’adapter sa lĂ©gislation interne pour la rendre French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Appui aux groupes vulnĂ©rables, en particulier les foyers oĂč la femme est chef de famille. Support for vulnerable groups, particularly female headed households. Fourniture d'une assistance de dernier recours aux handicapĂ©s et aux rapatriĂ©s vulnĂ©rables, en particulier les foyers oĂč la femme est chef de famille et les personnes ĂągĂ©es. Provision of safety-net support for handicapped, and vulnerable returnees, particularly female-headed households and the aged. Il existe Ă©galement une inĂ©galitĂ© entre les niveaux de revenu des mĂ©nages selon que l homme ou la femme est chef de famille. There is also disparity between income levels of male- and female-headed households. Catherine Birnie est emprisonnĂ©e Ă  la prison pour femme Bandyup, oĂč elle est la chef libraire. Catherine Birnie is imprisoned in Bandyup Women's Prison. No results found for this meaning. Results 15497340. Exact 2. Elapsed time 650 ms. Documents Corporate solutions Conjugation Synonyms Grammar Check Help & about Word index 1-300, 301-600, 601-900Expression index 1-400, 401-800, 801-1200Phrase index 1-400, 401-800, 801-1200 commela largeur des Ă©paules, du bassin, de la longueur des jambes, du buste et de la taille. Elle restera donc la mĂȘme durant toute votre vie et ne changera pas ! Il est possible de dĂ©nombrer 5 types de morphologie des hommes et 3 morphotypes. Elles ont toutes des atouts et c’est pour cela qu’il est important de bien la dĂ©finir. Texte Les droits de la femme Homme, es-tu capable d’ĂȘtre juste ? C’est une femme qui t’en fait la question ; tu ne lui ĂŽteras pas moins ce droit. Dis-moi ? Qui t’a donnĂ© le souverain empire d’opprimer mon sexe ? Ta force ? Tes talents ? Observe le crĂ©ateur dans sa sagesse ; parcours la nature dans sa grandeur, dont tu sembles vouloir te rapprocher, et donne-moi, si tu l’oses, l’exemple de cet empire tyrannique. Remonte aux animaux, consulte les Ă©lĂ©ments, Ă©tudie les vĂ©gĂ©taux, jette enfin un coup d’Ɠil sur toutes les modifications de la matiĂšre organisĂ©e ; et rends-toi Ă  l’évidence quand je t’en offre les moyens. Cherche, fouille et distingue, si tu le peux, les sexes dans l’administration de la nature. Partout, tu les trouveras confondus, partout ils coopĂšrent avec un ensemble harmonieux Ă  ce chef d’Ɠuvre immortel. L’homme seul s’est fagotĂ© un principe de cette exception. Bizarre, aveugle, boursouflĂ© de sciences et dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, dans ce siĂšcle de lumiĂšres et de sagacitĂ©, dans l’ignorance la plus crasse, il veut commander en despote sur un sexe qui a reçu toutes les facultĂ©s intellectuelles ; il prĂ©tend jouir de la RĂ©volution, et rĂ©clamer ses droits Ă  l’égalitĂ©, pour ne rien dire de plus. La dĂ©claration des droits de la femme et de la citoyenne, Olympe de Gouge, 1791 Introduction La RĂ©volution française constitue un bouleversement politique fondamental dans la sociĂ©tĂ© française, mettant fin Ă  lÊŒ Ancien RĂ©gime et aux privilĂšges de l’aristocratie française sur les autres classes sociales. Cependant d’un point de vue sociĂ©tal, les droits des femmes n’évoluent pas, laissant la femme Ă  un statut d’infĂ©rioritĂ© par rapport Ă  l’ʌhomme. Olympe de Gouge est considĂ©rĂ©e comme l’une des premiĂšres militantes fĂ©ministes. En sʌ’appuyant sur l’universalitĂ© de la dĂ©claration des droits de lʌ’homme, elle rĂ©clame une Ă©galitĂ© femme-homme pour libĂ©rer la femme de sa servitude domestique Ă  laquelle elle est cantonnĂ©e. Elle se livre Ă  un pastiche de la dĂ©claration des droits de l’homme en Ă©crivant celle de la femme et de la citoyenne. Dans un texte prĂ©faciel pamphlĂ©taire intitulĂ© les droits de la femme», nous verrons comment Olympe de Gouge dĂ©fend la cause des femmes en sʌ’attaquant Ă  l’ʌhomme. PremiĂšre partie l’auteure exhorte la femme Ă  ĂȘtre Ă©clairĂ©e par les principes de la philosophie des LumiĂšres pour se libĂ©rer du joug des hommes Femme, rĂ©veille-toi !
 injuste envers sa compagne ». Le texte s’ouvre sur une apostrophe au destinataire du discours. À noter la prĂ©sence de lʌ’invocation lyrique λ qui donne un souffle passionnĂ© aux mots de lʌ’auteure. Le texte repose sur lʌ’allĂ©gorie de la caverne du philosophe grec Platon. Cette partie du texte invite la femme Ă  se rĂ©veiller, Ă  sortir des tĂ©nĂšbres dans lesquelles elle vit pour accĂ©der Ă  la vĂ©ritĂ© grĂące Ă  la mĂ©taphore du flambeau de la vĂ©ritĂ© ». À noter l’énumĂ©ration des caractĂ©ristiques de l’intolĂ©rance prĂ©jugĂ©s, fanatisme, superstitions, mensonges. Le paragraphe est constituĂ© de pĂ©riphrases mĂ©taphoriques comme le tocsin de la raison » qui donne au texte une tonalitĂ© Ă©pique et guerriĂšre incitant la femme Ă  entrer en guerre. Le combat fĂ©ministe est universel ». Il transcende la notion de pays et a une dimension politique internationale pour Olympe de Gouge qui ne limite pas sa vision du monde Ă  la France, comme le montre son combat contre l’esclavagisme. Olympe de Gouge cite d’ailleurs lʌ’exemple de lʌ’homme esclave » pour dĂ©signer les citoyens qui se sont arrachĂ©s Ă  la domination de lʌ’absolutisme royal de lÊŒ Ancien RĂ©gime. Cette partie du paragraphe se clĂŽt sur le vocabulaire de lʌ’injustice que subissent les femmes par la faute de l’ʌhomme. DeuxiĂšme partie l’auteure exhorte les femmes Ă  prendre conscience de leur absence de droits dans une sociĂ©tĂ© patriarcale Ô femmes ! 
 -Tout, auriez-vous Ă  rĂ©pondre». S’engage dans cette deuxiĂšme partie du texte un dialogue imaginaire entre lʌ’autrice et les femmes Ă  qui elle sÊŒadresse. À noter que lʌ’autrice passe du singulier au pluriel dans une nouvelle apostrophe. Ce passage au pluriel donne de l’ampleur au texte du point de vue argumentatif. Il est Ă  noter Ă©galement que se poursuit l’allĂ©gorie de la caverne avec lʌ’adjectif aveugles» pour qualifier les femmes qui ne parviennent pas Ă  envisager la possibilitĂ© de se rĂ©volter. Il s’en suit une sĂ©rie de questions rhĂ©toriques qui, encore une fois, exhorte les femmes Ă  prendre conscience de la diffĂ©renciation femme-homme et de l’injustice quʌ’elles subissent. À noter particuliĂšrement l’exemple des noces de Cana JĂ©sus prononce, selon Olympe de Gouge, une phrase misogyne Ă  l’égard de Marie. Gouge montre ainsi quʌ’au commencement de la culture judĂ©o-chrĂ©tienne rĂ©side dĂ©jĂ  lʌ’inĂ©galitĂ© entre homme et femme. TroisiĂšme partie l’ʌhomme, paradoxalement, se fourvoie en se conduisant en despote dans le siĂšcle des LumiĂšres. S’ils s’obstinaient 
 vouloir». Le texte continue par une longue phrase complexe qui s’ouvre par une proposition subordonnĂ©e hypothĂ©tique. Olympe de Gouge imagine, que si les hommes continuent Ă  refuser Ă  l’émancipation des femmes, les femmes doivent s’unir pour combattre. Gouge utilise les outils rhĂ©toriques de la rĂ©pĂ©tition. En effet, le reste de la phrase est constituĂ© d’une sĂ©rie de propositions juxtaposĂ©es qui commencent par des verbes d’action conjuguĂ©s Ă  la deuxiĂšme personne de lʌ’impĂ©ratif opposez», rĂ©unissez-vous», dĂ©ployez» et enfin une derniĂšre proposition coordonnĂ©e au futur simple trĂšs importante car le verbe est voir». Les femmes recouvreront enfin la vue grĂące Ă  leur action politique. Le texte se clĂŽt par une phrase qui rappelle la phrase de Kant sur les lumiĂšres ose de servir de ton propre entendement». Gouge oppose dans cette phrase antithĂ©tique les barriĂšres» et le vouloir» qui manque aux femmes pour s’affranchir» du joug des hommes. On remarquera surtout dans cette derniĂšre partie l’habilitĂ© rhĂ©torique de Gouge Ă  user de pĂ©riphrases mĂ©taphoriques trĂšs expressives comme les Ă©tendards de la philosophie» au sens guerrier, et ces orgueilleux , non serviles adorateurs rampants Ă  vos pieds» qui dʌ’une maniĂšre pĂ©jorative jettent les hommes aux pieds des femmes. CONCLUSION Olympe de Gouge dans cette postface s’adresse, non plus aux hommes comme dans son texte liminaire, mais bien aux femmes quʌ’elle cible comme les rĂ©elles actrices de leur Ă©mancipation du joug patriarcal. L’ʌauteur dĂ©veloppe en filigrane l’allĂ©gorie de la caverne pour dĂ©fendre l’idĂ©e que les femmes demeurent ignorantes de la domination qui s’exerce sur elles et du pouvoir qui rĂ©side en elles pour se soulever contre cette injustice. Le texte semble destinĂ© Ă  ĂȘtre lu devant une assemblĂ©e de femmes, comme il en existait Ă  l’époque. En effet, il a existĂ© pendant la RĂ©volution française des assemblĂ©es de femmes qui se rĂ©unissaient pour lutter pour leurs droits. Olympe de Gouge terminera son parcours guillotinĂ©e sous le rĂ©gime de la Terreur de Robespierre. ThĂ©roigne de MĂ©ricourt, autre figure fĂ©ministe de l’époque, verra Ă©galement son combat s’interrompre par un enfermement Ă  l’asile psychiatrique oĂč elle finira ses jours. Àl’heure oĂč l’on parle en France de paritĂ© homme-femme, on a cherchĂ© s’il existait quelque part dans le monde, des communautĂ©s oĂč les
1. Quelles questions devrait se poser une sƓur qui envisage de se marier ? TOUS les chrĂ©tiens sont sous l’autoritĂ© de JĂ©sus Christ, qui est parfait. Toutefois, quand une chrĂ©tienne se marie, elle se place sous l’autoritĂ© d’un homme imparfait. Cette situation peut entraĂźner des difficultĂ©s. Alors si une sƓur envisage de se marier avec un certain frĂšre, elle devrait se demander Qu’est-​ce qui me montre que ce frĂšre sera un bon chef de famille ? Accorde-​t-​il la prioritĂ© aux activitĂ©s spirituelles ? Si ce n’est pas le cas, qu’est-​ce qui me fait penser que les choses changeront aprĂšs notre mariage ? » Bien sĂ»r, elle devrait aussi se demander Ai-​je des qualitĂ©s qui vont favoriser la rĂ©ussite de notre mariage ? Suis-​je patiente et gĂ©nĂ©reuse ? Ai-​je une amitiĂ© Ă©troite avec JĂ©hovah ? » Eccl. 49, 12. Le degrĂ© de bonheur qu’une femme connaĂźtra dans son couple dĂ©pendra, dans une certaine mesure, des dĂ©cisions qu’elle prendra avant de se marier. 2. À quelles questions rĂ©pondrons-​nous dans cet article ? 2 Des millions de sƓurs se soumettent Ă  leur mari de façon exemplaire. Elles mĂ©ritent des fĂ©licitations ! Nous sommes trĂšs heureux de servir JĂ©hovah aux cĂŽtĂ©s de ces sƓurs fidĂšles. Dans cet article, nous rĂ©pondrons Ă  ces trois questions 1 Quelles difficultĂ©s une femme mariĂ©e peut-​elle rencontrer ? 2 Pourquoi une chrĂ©tienne dĂ©cide-​t-​elle de se soumettre Ă  son mari ? 3 Qu’est-​ce que des conjoints peuvent apprendre de l’exemple de JĂ©sus, d’AbigaĂŻl et de Marie au sujet du principe de la soumission ? QUELLES DIFFICULTÉS UNE FEMME MARIÉE PEUT-​ELLE RENCONTRER ? 3. Pourquoi n’existe-​t-​il pas de mariage parfait ? 3 Le mariage est un cadeau parfait de Dieu, mais les personnes mariĂ©es, elles, sont imparfaites 1 Jean 18. C’est pourquoi la Bible les avertit qu’elles connaĂźtront des difficultĂ©s » 1 Cor. 728. Parlons de celles qu’une femme mariĂ©e peut rencontrer. 4. Pourquoi une femme pourrait-​elle penser qu’il est rabaissant de devoir se soumettre Ă  son mari ? 4 Peut-ĂȘtre en raison de son Ă©ducation, une femme pourrait se dire qu’il est rabaissant de se soumettre Ă  son mari. Marisol, une sƓur qui vit aux États-Unis, explique LĂ  oĂč j’ai grandi, on rĂ©pĂšte constamment aux femmes qu’elles doivent ĂȘtre Ă©gales aux hommes dans tous les domaines. Je sais que c’est JĂ©hovah qui a mis en place le principe de l’autoritĂ©. Je sais aussi qu’il a donnĂ© aux femmes un rĂŽle qui demande de l’humilitĂ©, mais qui est honorable. Ça n’empĂȘche que ce n’est pas toujours facile, dans un tel contexte, de garder un point de vue Ă©quilibrĂ© sur l’autoritĂ©. » 5. Quel point de vue erronĂ© certains hommes ont-​ils sur le rĂŽle de la femme ? 5 D’un autre cĂŽtĂ©, une chrĂ©tienne pourrait ĂȘtre mariĂ©e Ă  un homme qui considĂšre les femmes comme infĂ©rieures. Une sƓur appelĂ©e Ivon, qui vit en AmĂ©rique du Sud, tĂ©moigne Dans notre culture, les hommes mangent en premier et les femmes, aprĂšs. On attend des filles que, dĂšs leur plus jeune Ăąge, elles fassent la cuisine et le mĂ©nage, tandis que les petits garçons sont servis par leur mĂšre et leurs sƓurs, et on leur dit qu’ils sont les “rois de la maison”. » Une sƓur qui s’appelle Yingling et qui vit en Asie raconte quant Ă  elle Dans ma langue, il y a un dicton qui laisse entendre que les femmes n’ont pas besoin d’ĂȘtre intelligentes ou d’avoir des compĂ©tences. Elles doivent effectuer toutes les tĂąches mĂ©nagĂšres et elles n’ont pas le droit d’exprimer leur opinion Ă  leur mari. » Ces façons de penser manquent d’amour et sont contraires aux principes bibliques. Un mari qui se laisse influencer par de tels points de vue rend la vie difficile Ă  sa femme, n’imite pas JĂ©sus et n’a pas l’approbation de JĂ©hovah Éph. 528, 29 ; 1 Pierre 37. 6. Que doit faire une sƓur mariĂ©e pour renforcer son amitiĂ© avec JĂ©hovah ? 6 Comme nous l’avons vu dans l’article prĂ©cĂ©dent, JĂ©hovah veut que les maris comblent les besoins spirituels, affectifs et matĂ©riels de leur famille 1 Tim. 58. Toutefois, les sƓurs mariĂ©es doivent se rĂ©server du temps chaque jour pour lire et mĂ©diter la Bible, ainsi que pour prier JĂ©hovah du fond du cƓur. Cela peut ĂȘtre trĂšs difficile, car elles sont souvent bien occupĂ©es. Elles pourraient se dire qu’elles n’ont pas le temps ou l’énergie d’étudier et de prier, mais il est indispensable qu’elles prennent le temps de le faire. Pourquoi ? Parce que JĂ©hovah veut que chacun de nous cultive une relation Ă©troite avec lui Actes 1727. 7. Qu’est-​ce qui aidera une femme Ă  remplir le rĂŽle que JĂ©hovah lui a confiĂ© ? 7 Une femme devra peut-ĂȘtre fournir de gros efforts pour se soumettre Ă  un mari imparfait. Toutefois, si elle comprend et accepte les raisons pour lesquelles JĂ©hovah lui demande d’ĂȘtre soumise Ă  son mari, ce sera plus facile pour elle de remplir le rĂŽle qu’il lui a confiĂ©. POURQUOI UNE CHRÉTIENNE DÉCIDE-​T-​ELLE DE SE SOUMETTRE À SON MARI ? 8. En accord avec ÉphĂ©siens 522-24, pourquoi une chrĂ©tienne dĂ©cide-​t-​elle de se soumettre Ă  son mari ? 8 Une chrĂ©tienne dĂ©cide de se soumettre Ă  son mari parce que c’est ce que JĂ©hovah attend d’elle lire ÉphĂ©siens 522-24. Elle a confiance en son PĂšre cĂ©leste. Elle sait qu’il est toujours motivĂ© par l’amour et que tout ce qu’il lui demande est pour son bien Deut. 624 ; 1 Jean 53. 9. Que se passe-​t-​il quand une sƓur respecte l’autoritĂ© de son mari ? 9 Le monde incite les femmes Ă  considĂ©rer qu’il est rabaissant de se soumettre Ă  son mari, et il ne les encourage pas Ă  tenir compte des normes de JĂ©hovah. Bien sĂ»r, ceux qui dĂ©fendent de telles idĂ©es ne connaissent pas notre Dieu plein d’amour. JĂ©hovah ne donnerait jamais Ă  ses filles qu’il aime tant un commandement qui les rabaisserait. Une sƓur qui fournit des efforts pour remplir le rĂŽle que JĂ©hovah lui a confiĂ© favorise la paix dans sa famille Ps. 119165. Tout le monde tire profit de sa belle attitude son mari, ses enfants et elle-​mĂȘme. 10. Que nous apprend le tĂ©moignage de Carol ? 10 Une femme qui se soumet Ă  son mari, bien qu’il soit imparfait, prouve qu’elle aime et qu’elle respecte JĂ©hovah, celui qui a mis en place le principe de l’autoritĂ©. Carol, une sƓur qui vit en AmĂ©rique du Sud, explique Mon mari commet parfois des erreurs. Mais je sais que la façon dont je rĂ©agis quand il fait une erreur rĂ©vĂšle Ă  quel point je tiens Ă  mon amitiĂ© avec JĂ©hovah. J’essaie donc de lui rester soumise parce que je veux plaire Ă  mon PĂšre cĂ©leste. » 11. Qu’est-​ce qui aide une sƓur appelĂ©e Aneese Ă  pardonner Ă  son mari, et que nous apprend son exemple ? 11 Si une femme a l’impression que son mari ne tient pas compte de ses sentiments et de ses inquiĂ©tudes, il peut ĂȘtre trĂšs difficile pour elle de le respecter et de lui ĂȘtre soumise. Mais remarque comment rĂ©agit une sƓur appelĂ©e Aneese quand cela lui arrive. Elle dit J’essaie de ne pas garder rancune Ă  mon mari et de me rappeler qu’on commet tous des erreurs. Mon objectif est de pardonner volontiers, comme JĂ©hovah le fait. Et quand je pardonne, je retrouve ma paix intĂ©rieure » Ps. 865. Une femme qui est disposĂ©e Ă  pardonner trouvera sans doute plus facile de se soumettre Ă  son mari. DES EXEMPLES BIBLIQUES DE SOUMISSION 12. Quels exemples de soumission la Bible contient-​elle ? 12 Certains pensent peut-ĂȘtre que soumission est synonyme de faiblesse, mais c’est loin d’ĂȘtre le cas. La Bible contient de nombreux exemples de personnes qui ont acceptĂ© de se soumettre Ă  l’autoritĂ© de quelqu’un, mais qui avaient une grande force morale. Voyons ce que nous pouvons apprendre de JĂ©sus, d’AbigaĂŻl et de Marie. 13. Pourquoi JĂ©sus est-​il soumis Ă  JĂ©hovah ? Explique. 13 JĂ©sus est soumis Ă  JĂ©hovah, mais ce n’est certainement pas parce qu’il manque d’intelligence ou que ses capacitĂ©s sont limitĂ©es. Il fallait une grande intelligence pour enseigner avec simplicitĂ© et clartĂ© comme il l’a fait Jean 745, 46. JĂ©hovah connaissait trĂšs bien les aptitudes de JĂ©sus ; c’est pourquoi il lui a permis de collaborer avec lui pour crĂ©er l’univers Prov. 830 ; HĂ©b. 12-4. Et quand JĂ©sus a Ă©tĂ© ressuscitĂ©, JĂ©hovah lui a confiĂ© tout pouvoir dans le ciel et sur la terre’ Mat. 2818. MĂȘme si JĂ©sus a de grandes capacitĂ©s, il cherche toujours Ă  se laisser guider par JĂ©hovah. Pourquoi ? Parce qu’il aime son PĂšre Jean 1431. 14. Que peuvent apprendre les maris a de la façon dont JĂ©hovah considĂšre les femmes et b des pensĂ©es contenues en Proverbes 31 ? 14 Leçons pour les maris. Si JĂ©hovah a demandĂ© aux femmes de se soumettre Ă  leur mari, ce n’est pas parce qu’il considĂšre qu’elles sont infĂ©rieures aux hommes. La preuve, c’est qu’il a choisi aussi bien des femmes que des hommes pour rĂ©gner aux cĂŽtĂ©s de JĂ©sus Gal. 326-29. JĂ©hovah a montrĂ© qu’il avait confiance en son Fils en lui accordant une grande autoritĂ©. De mĂȘme, un mari fera preuve de sagesse en confiant Ă  sa femme une certaine autoritĂ©. Au sujet de la femme capable, la Parole de Dieu dit qu’elle peut assurer la gestion de sa maison, acheter et gĂ©rer des propriĂ©tĂ©s et faire du commerce lire Proverbes 3115, 16, 18. Elle n’est pas une esclave qui n’a pas le droit d’exprimer son opinion. Au contraire, son mari a confiance en elle et il est attentif Ă  ce qu’elle a Ă  dire lire Proverbes 3111, 26, 27. Quand un homme manifeste Ă  sa femme un tel respect, elle prend plaisir Ă  lui ĂȘtre soumise. JĂ©sus est soumis Ă  JĂ©hovah. Que peut apprendre une femme capable de son exemple ? voir paragraphe 15. 15. Que peuvent apprendre les femmes de l’exemple de JĂ©sus ? 15 Leçons pour les femmes. MĂȘme s’il a accompli beaucoup de choses, JĂ©sus ne trouve pas rabaissant de se soumettre Ă  l’autoritĂ© de JĂ©hovah 1 Cor. 1528 ; Phil. 25, 6. Pareillement, une femme capable qui imite JĂ©sus ne trouve pas humiliant de se soumettre Ă  son mari. Elle le soutient parce qu’elle l’aime, mais aussi et surtout parce qu’elle aime et respecte JĂ©hovah. AprĂšs avoir fait parvenir de la nourriture Ă  David et Ă  ses hommes, AbigaĂŻl est allĂ©e Ă  leur rencontre. Elle s’incline devant David et le supplie de ne pas se rendre coupable de meurtre en se vengeant voir paragraphe 16. 16. D’aprĂšs 1 Samuel 253, 23-28, quelles difficultĂ©s AbigaĂŻl a-​t-​elle rencontrĂ©es ? voir illustration de couverture. 16 AbigaĂŻl Ă©tait mariĂ©e avec Nabal, un homme Ă©goĂŻste, orgueilleux et qui manquait de reconnaissance. Un jour, David et ses hommes ont voulu le tuer. AbigaĂŻl aurait pu se taire et les laisser faire. Mais elle ne cherchait pas une solution de facilitĂ© pour mettre fin Ă  son mariage. Elle a pris des mesures pour protĂ©ger Nabal ainsi que tous ceux qui vivaient sous son toit. Imagine le courage qu’il lui a fallu pour aller au-devant de 400 hommes armĂ©s et pour faire raisonner David, avec respect. Elle a mĂȘme pris sur elle la responsabilitĂ© des mauvaises actions de son mari lire 1 Samuel 253, 23-28. David a tout de suite compris que JĂ©hovah avait utilisĂ© cette femme courageuse pour lui donner de bons conseils et l’empĂȘcher de commettre une grave erreur. 17. Que peuvent apprendre les maris du rĂ©cit concernant David et AbigaĂŻl ? 17 Leçons pour les maris. AbigaĂŻl Ă©tait une femme pleine de sagesse. David a bien fait d’écouter son conseil. Cela lui a Ă©vitĂ© de se rendre coupable de meurtre. De la mĂȘme façon, un mari fera preuve de sagesse en tenant compte de l’opinion de sa femme avant de prendre une dĂ©cision importante. Cela lui Ă©vitera peut-ĂȘtre de prendre une mauvaise dĂ©cision. 18. Que peuvent apprendre les femmes de l’exemple d’AbigaĂŻl ? 18 Leçons pour les femmes. Une femme qui aime et respecte JĂ©hovah peut avoir une bonne influence sur sa famille mĂȘme si son mari n’est pas TĂ©moin ou s’est affaibli sur le plan spirituel. Elle ne cherchera pas une solution de facilitĂ© pour mettre fin Ă  son mariage. Au contraire, elle essaiera de donner envie Ă  son mari d’en apprendre plus sur JĂ©hovah en se montrant respectueuse et soumise 1 Pierre 31, 2. Et mĂȘme s’il ne rĂ©agit pas favorablement Ă  sa belle conduite, JĂ©hovah, lui, y attache du prix et se rĂ©jouit de voir qu’elle lui reste fidĂšle. 19. Dans quel genre de situation une femme n’obĂ©ira-​t-​elle pas Ă  son mari ? 19 Toutefois, une femme soumise n’acceptera jamais de transgresser une loi ou un principe biblique, mĂȘme si son mari l’y incite. Imaginons qu’une sƓur ait un mari qui n’est pas TĂ©moin et qui lui demande de mentir, de voler ou de faire une autre chose qui dĂ©plaĂźt Ă  Dieu. Tous les chrĂ©tiens, y compris les sƓurs mariĂ©es, doivent obĂ©ir avant tout Ă  JĂ©hovah. Si le mari d’une sƓur lui demande de faire une chose qui l’amĂšnerait Ă  transgresser un principe biblique, elle doit refuser et lui expliquer avec douceur mais fermetĂ© pourquoi elle refuse Actes 529. Voir paragraphe 20*. 20. Comment savons-​nous que Marie avait une relation personnelle et Ă©troite avec JĂ©hovah ? 20 Marie avait une relation personnelle et Ă©troite avec JĂ©hovah. De toute Ă©vidence, elle connaissait bien les Écritures. Lors d’une conversation qu’elle a eue avec Élisabeth, la mĂšre de Jean le Baptiseur, elle a citĂ© plus de 20 fois les Écritures hĂ©braĂŻques Luc 146-55. Pense Ă©galement Ă  ceci MĂȘme si Marie Ă©tait fiancĂ©e Ă  Joseph, ce n’est pas Ă  lui que l’ange de JĂ©hovah est apparu en premier. Il s’est d’abord adressĂ© Ă  Marie et lui a annoncĂ© qu’elle donnerait naissance au Fils de Dieu Luc 126-33. JĂ©hovah connaissait bien Marie et il Ă©tait sĂ»r qu’elle entourerait son Fils d’amour et de soins. De son cĂŽtĂ©, Marie a sans aucun doute continuĂ© d’entretenir une relation Ă©troite avec lui, mĂȘme aprĂšs la mort et la rĂ©surrection de JĂ©sus Actes 114. 21. Que peuvent apprendre les maris de ce que la Bible dit au sujet de Marie ? 21 Leçons pour les maris. Un mari qui est sage est heureux que sa femme connaisse bien les Écritures. Il ne devrait pas y voir une menace pour son autoritĂ© ou se sentir intimidĂ©. Il comprend que la bonne connaissance que sa femme a de la Bible et de ses principes peut ĂȘtre un vĂ©ritable atout pour sa famille. Et mĂȘme s’il est moins instruit qu’elle, c’est lui qui a la responsabilitĂ© d’organiser le culte familial et de veiller Ă  ce que sa famille garde de bonnes habitudes spirituelles Éph. 64. Quel exemple Marie, la mĂšre de JĂ©sus, laisse-​t-​elle aux femmes dans le domaine de l’étude des Écritures et de la mĂ©ditation* ? voir paragraphe 22. 22. Que peuvent apprendre les femmes de l’exemple de Marie ? 22 Leçons pour les femmes. Ce n’est pas parce qu’une femme doit se soumettre Ă  son mari qu’elle n’a plus la responsabilitĂ© d’entretenir sa relation avec JĂ©hovah Gal. 65. Elle doit se rĂ©server du temps pour Ă©tudier la Bible et mĂ©diter sur ce qu’elle apprend. Cela l’aidera Ă  entretenir son amour et son respect pour JĂ©hovah et Ă  trouver de la joie Ă  se soumettre Ă  son mari. 23. Quand une femme est soumise Ă  son mari, quels bienfaits sa famille, son assemblĂ©e et elle-​mĂȘme en retirent-​elles ? 23 Les femmes qui restent soumises Ă  leur mari par amour pour JĂ©hovah connaissent une joie et une satisfaction plus grandes que celles qui rejettent le principe biblique de l’autoritĂ©. Elles donnent un bon exemple aussi bien aux jeunes hommes qu’aux jeunes femmes. Et elles favorisent une ambiance chaleureuse non seulement dans leur famille, mais aussi dans leur assemblĂ©e Tite 23-5. Aujourd’hui, la majoritĂ© des serviteurs de JĂ©hovah sont des femmes Ps. 6811. Mais tous, hommes et femmes, nous avons un rĂŽle important Ă  jouer dans l’assemblĂ©e. L’article suivant expliquera comment chacun de nous peut remplir son rĂŽle.

En2015 toujours, la part de chefs de famille monoparentale propriĂ©taires Ă©tait de 27,4% chez les femmes. C’est 20 points de plus chez les hommes. L’Insee rappelle Ă©galement que 76,0% des cadres dirigeants des entreprises sont des hommes en 2017. Les hommes sont Ă©galement majoritaires parmi les licenciĂ©s de sport avec 68,8%.

Ce mercredi 15 juin, Louise Bourrat remportait la 13e Ă©dition du concours Top Chef. PremiĂšre femme Ă  le remporter depuis prĂšs de dix ans, elle a conquis le jury et le public grĂące Ă  sa forte personnalitĂ© et sa cuisine janvier dernier, c'est dans les coulisses du mythique palace parisien le George V, que Louise Bourrat et le candidat belge Arnaud Delvenne se sont affrontĂ©s une derniĂšre fois pour remporter la finale de Top Chef». Endossant fiĂšrement les couleurs de l'Ă©quipe d'HĂ©lĂšne Darroze, la jeune cheffe de 27 ans a su s'illustrer au cours des dix-huit semaines de concours par sa cuisine audacieuse et inventive, mais Ă©galement par son caractĂšre ambitieux, qui l'a menĂ©e jusqu'Ă  la Ă  Lisbonne, son pays d'origine cĂŽtĂ© maternel, elle est Ă  la tĂȘte des fourneaux du restaurant familial Boubou's, oĂč en cuisine, ce sont majoritairement des femmes qui portent le tablier. Nous l'avons interrogĂ©e au lendemain de sa Vous ĂȘtes la premiĂšre femme Ă  remporter Top Chef» depuis prĂšs de 10 ans. Qu'est-ce que cela reprĂ©sente pour vous ?Louise Je pense que je vais mettre du temps avant de rĂ©aliser ce qui m'est arrivĂ©. C'est Ă©normĂ©ment de fiertĂ© et un grand honneur, mais Ă©videmment, cela vient avec sa part de pression les chefs qui nous prĂ©cĂšdent, comme StĂ©phanie Le Quellec, sont trĂšs importants dans le milieu. C'est aussi super galvanisant pour le futur, c'est une preuve qu'il va ĂȘtre de bon augure !Quel rĂŽle a jouĂ© HĂ©lĂšne Darroze lors decette compĂ©tition ?HĂ©lĂšne Darroze a Ă©tĂ© un soutien moral trĂšs important. Mon intuition, dĂšs le dĂ©but de la compĂ©tition, Ă©tait d'aller dans son Ă©quipe, bien que j'ai changĂ© d'avis mille fois. J'avais envie de travailler avec tous les chefs, qui ont chacun des choses diffĂ©rentes Ă  apporter aux candidats. Finalement, ma raison m'a guidĂ©e vers elle pour le simple fait que, quand j'ai commencĂ© Ă  m'entourer de femmes en cuisine, cela m'a beaucoup apaisĂ©e et jouĂ© trĂšs positivement sur mon bien-ĂȘtre. Nous avons toutes deux une cuisine qui est complĂštement diffĂ©rente, mais j'Ă©tais dans un environnement nouveau et stressant, et je me suis dit qu'il me fallait quelque chose de familier, de cours de la compĂ©tition, vous avez remportĂ© l'Ă©preuve du mono-produit d'Anne-Sophie Pic, puis l'Ă©preuve des coquillages de Dominique Crenn. Pourquoi est-ce particuliĂšrement important d'avoir la reconnaissance de femmes cheffes ?Ce n'est pas forcĂ©ment important que des femmes reconnaissent la qualitĂ© de mon travail, la cuisine est trĂšs subjective et l'objectif est que tout le monde l'apprĂ©cie. En revanche, je pense que ma cuisine a fait Ă©cho Ă  ces cheffes car nous avons une approche de la gastronomie qui est similaire. Pour moi, une cuisine d'homme est majoritairement dans la performance, alors qu'une cuisine de femme est dans le faire plaisir».C'est quoi, une cuisine fĂ©minine, pour vous ? Étrangement, on dit qu'une cuisine est fĂ©minine quand elle est dĂ©licate, Ă©purĂ©e, mais je ne suis pas d'accord. Selon moi, les hommes font une cuisine qui se place majoritairement dans l'esthĂ©tique, la prĂ©cision, la prouesse, alors que celle des femmes est dans la puissance, notamment au niveau du goĂ»t. Je ne veux pas faire de gĂ©nĂ©ralitĂ©, mais c'est ce que je retrouve dans la cuisine des femmes cheffes que je brigade, chez Boubou's, est composĂ©e majoritairement de femmes. Pourquoi avoir fait ce choix ? En quoi les interactions sont-elles diffĂ©rentes ?Au dĂ©but ce n'Ă©tait pas nĂ©cessairement un choix. Au retour du premier confinement, seules les filles sont revenues travailler. Toutes les responsabilitĂ©s qui Ă©taient donnĂ©es aux garçons, on les a prises Ă  bras-le-corps, ensemble, et on y est arrivĂ©es. L'atmosphĂšre Ă©tait tellement plus agrĂ©able, de par cette solidaritĂ©, cet Ă©tat d'esprit qui n'Ă©tait pas du tout individualiste. On s'est tellement senties valorisĂ©es que ça nous a galvanisĂ©es, et on se sentait capables de dĂ©placer des avez travaillĂ© pour beaucoup de restaurants, Ă©toilĂ©s ou non. En tant que femme, avez-vous dĂ©jĂ  souffert au sein de brigades ? Oui, j'ai failli arrĂȘter la cuisine Ă  cause de ça, alors que j'Ă©tais passionnĂ©e depuis l'enfance. Au dĂ©but de ma carriĂšre, j'Ă©tais stagiaire ou commis en plus d'ĂȘtre une femme. Je n'Ă©tais donc pas du tout prise au sĂ©rieux. C'est quand j'ai dĂ©mĂ©nagĂ© au Royaume-Uni que les choses ont changĂ©. J'Ă©tais respectĂ©e, on prenait ma parole en considĂ©ration ; j'ai dĂ©couvert un nouveau mode de management qui Ă©tait beaucoup plus inclusif, et j'ai Ă©voluĂ© dans le bon sens, heureusement ! Mais il faut savoir qu'il n'y a pas de virulence seulement envers les femmes les stagiaires souffrent, les commis aussi
 Au nom de l'excellence, les cuisiniers s'infligent eux-mĂȘmes ce quel scĂ©nario espĂ©rez-vous voir le monde de la gastronomie se diriger dans le futur ? Une perspective plus fĂ©ministe ?Il faut savoir que le secteur est dĂ©jĂ  en pleine transition, car nous n'arrivons plus Ă  recruter. Plus personne ne veut travailler dans le secteur de la restauration, ce qui est fort comprĂ©hensible les salaires sont trop bas, les heures trop longues, avoir un Ă©quilibre entre travail et vie personnelle est difficile. Il y a beaucoup trop de stress, ce qui engendre des problĂšmes d'addiction. Alors aujourd'hui on augmente les salaires, ce qui est dĂ©jĂ  une trĂšs bonne chose. Nous n'avons donc plus d'autres choix que de faire Ă©voluer le scĂ©nario vers quelque chose de plus positif et en gastronomie, c'est une position difficile Ă  assumer ?Non pas du tout. Le fĂ©minisme est quelque chose de trĂšs positif, et n'a rien contre les hommes. L'objectif ce sont les femmes les valoriser, les aider et leur dire qu'elles peuvent y arriver. Dans la vie, il faut aller chercher ce que l'on dĂ©sire, et c'est un discours qui vaut pour tout le monde. Il ne faut pas avoir peur et y aller avec toute l'humilitĂ©, la force, le courage et la vulnĂ©rabilitĂ© que l'on a. Un message pour les jeunes femmes qui veulent devenir cheffes?Je pense que les femmes ont tendance Ă  avancer avec plus d'humilitĂ©, Ă  s'excuser d'ĂȘtre lĂ . Mais le problĂšme, c'est que c'est une place que l'on ne nous fait pas si on ne va pas la chercher. Mon conseil serait de ne pas avoir peur. Il faut y aller avec toute l'humilitĂ©, la force, le courage et la vulnĂ©rabilitĂ© que l'on a, et c'est valable aussi bien pour les femmes que pour les hommes. Il faut foncer, mais avec curiositĂ©, amour et empathie. C'est sĂ»r qu'ĂȘtre une femme qui rĂ©ussit ce n'est pas Ă©vident, ce n'est pas ce que l'on attend de nous et il faut avoir la tĂȘte sur les Ă©paules. Les plus jeunes seront confrontĂ©es Ă  ça, mais il le faut pour la bonne projets pour le futur ?Ma vie est au Portugal et je suis trĂšs heureuse lĂ -bas. Je veux continuer Ă  travailler dans mon restaurant, Ă  satisfaire mes clients. Je veux aussi poursuivre ce nouveau style de management que l'on a commencĂ© depuis deux ans, en porter l'Ă©tendard, et petit Ă  petit, changer les codes. Je veux aussi profiter de la vie ! Je suis ambitieuse mais je ne perds pas de vue que ce qui compte les choses simples. J'ai envie de cuisiner, voir mes amis, aller Ă  la plage. Je veux profiter, tout simplement.
\n\n\n \n \nl homme est le chef de la femme
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